Trum

Trump démolit une partie de la Maison Blanche pour assouvir ses envies démesurées

Publié le

Les coûts de construction de la salle de bal de Donald Trump sont évalués à 250 millions de dollars, alors que les États-Unis connaissent depuis vingt jours une situation de « shutdown »

CELAL GUNES / Anadolu via AFP Une partie de la Maison Blanche a été démolie ce lundi 20 octobre pour construire la future salle de bal de Donald Trump.

ÉTATS-UNIS – C’est l’un des plus gros et coûteux chantiers du célèbre édifice depuis plus d’un siècle. Une partie de la Maison Blanche a été démolie ce lundi 20 octobre pour construire la future salle de bal de Donald Trump. Et ce, en dépit de sa promesse que la construction de l’extension n’« interférerait » pas avec le bâtiment existant.

« Je suis heureux d’annoncer que les travaux ont commencé à la Maison Blanche pour construire la nouvelle, grande et magnifique salle de bal », s’est félicité le président américain sur sa plateforme Truth Social.

La salle de bal, dont les coûts de construction sont évalués à 250 millions de dollars, doit avoir une surface de plus de 8 000 mètres carrés et accueillir jusqu’à 1 000 personnes. Elle sera utilisée pour de grands dîners donnés en l’honneur de chefs d’État étrangers et autres événements d’ampleur, a précisé le président.

Construction en pleine paralysie budgétaire aux États-Unis

L’imposant édifice blanc aux très hautes fenêtres, selon les maquettes, sera construit à l’emplacement de l’actuelle aile orientale, ou « East Wing », où se trouvent traditionnellement les bureaux de la Première dame. L’aile de la Maison Blanche est en train « d’être complètement modernisée » et « sera plus belle que jamais une fois les travaux terminés », s’est encore réjoui Donald Trump lundi. Lire la suite »

« Ancrage historique » de l’Italie aux Etats-Unis

Publié le Mis à jour le

Journaux papiers et télévisés n’ont donné que peu de relief à la rencontre Trump-Gentiloni. Elle a pourtant été un événement tout autre que formel. Pour Paolo Gentiloni il s’agissait de dissiper les ombres sur l’attitude de son gouvernement envers le nouveau président états-unien, ombres laissées par le soutien ouvert du gouvernement de Matteo Renzi (dans lequel Gentiloni était ministre des Affaires étrangères) à Barack Obama et à Hillary Clinton contre Donald Trump dans les élections présidentielles.

Premier contact Gentiloni-Trump à Washington

Gentiloni y est très bien arrivé en confirmant, indépendamment de qui siège à la Maison-Blanche, l’ « ancrage historique » de l’Italie aux États-Unis, « pilier de notre politique étrangère ». Le président Trump a félicité l’Italie, en rappelant que « plus de 30 000 militaires américains et leurs proches sont basés à travers tout votre pays » et que l’Italie, après les États-Unis, « est le second plus grand contributeur de troupes dans les conflits en Irak et en Afghanistan ». Lire la suite »