Imran Khan

Imran Khan aims to be Oxford University’s next chancellor

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Adviser to imprisoned former prime minister of Pakistan says he submitted application to run in October election

Imran Khan served as Pakistan’s prime minister from 2018 to 2022, until he was ousted through an army-backed vote of no confidence. Photograph: Akhtar Soomro/Reuters

Imran Khan, the imprisoned former prime minister of Pakistan, is aiming to become Oxford’s next chancellor when the university’s graduates and staff vote later this year.

Syed Zulfi Bukhari, one of Khan’s advisers, said the former international cricket star had submitted an application to run in the election in October to replace Chris Patten, the former Conservative minister.

Khan, 71, served as Pakistan’s prime minister from 2018 to 2022 as the leader of the Pakistan Tehreek-e-Insaf (Movement for Justice) party he founded in 1996. He was ousted as prime minister through an army-backed vote of no confidence in Pakistan’s parliament and has been in jail on a string of charges for the past 12 months.

For several hundred years, elections to the largely ceremonial role of Oxford chancellor required graduates and staff to be in Oxford and wearing academic dress to vote. But Khan’s candidacy has been eased by new rules allowing nominations and voting to be carried out online.

Other than his political standing, Khan’s qualifications include eight years as chancellor of the University of Bradford, and studying politics, philosophy and economics at Oxford’s Keble College in the 1970s while winning honours for the university’s cricket team. He captained the Pakistan men’s cricket team when they won the World Cup in 1992.

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Au Pakistan, « la jeune génération en a assez des dynasties politiques »

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Le chercheuse Ayesha Siddiqa décrypte les ressorts de la crise déclenchée par la brève arrestation de l’ex-premier ministre Imran Khan.

Des policiers escortent l’ex-premier ministre pakistanais Imran Khan (au centre) à son arrivée à la Haute Cour d’Islamabad, le 12 mai 2023. AAMIR QURESHI / AFP

Ayesha Siddiqa, chercheuse associée au King’s College à Londres et spécialiste de l’armée pakistanaise, revient sur la crise sans précédent que traverse le Pakistan et sur le mouvement de protestation qui a éclaté après l’arrestation, mardi 9 mai, d’Imran Khan. L’ancien premier ministre a été libéré, vendredi, sur ordre de la justice, pour deux semaines.

Quelles sont les raisons de la colère des Pakistanais ?

Les Pakistanais qui manifestent sont des partisans du Pakistan-Tehrik-e-Insaf (PTI), la formation d’Imran Khan, mais le mouvement est spontané et n’est pas contrôlé par les cadres du parti. La colère soudaine représente sept décennies de frustrations dans une société qui a vu l’armée se mêler constamment des affaires politiques, économiques et même sociétales du pays.

L’armée est donc au cœur des problèmes que connaît aujourd’hui le Pakistan…

Elle fait partie du problème. Très tôt après la création du Pakistan, il y a soixante-quinze ans, l’armée a étendu son pouvoir et a essayé d’établir son autonomie vis-à-vis du Parlement et des acteurs politiques. Initialement, les civils étaient aux commandes et l’armée suivait, mais cette relation a commencé à changer avec la première loi martiale en 1958. Aujourd’hui, l’armée donne le la et les acteurs civils suivent.

Le contrôle des militaires sur l’Etat et le conflit civilo-militaire qui a suivi ont détruit toutes les institutions. Le système judiciaire est divisé. La bureaucratie civile est complètement affaiblie, incapable de remplir sa mission. Les partis politiques sont profondément désorientés, ils ne savent pas comment structurer leurs forces au Parlement, une institution dans laquelle ils ne croient pas. Le conflit entre les civils et les militaires est devenu particulièrement intense dans les années 1990, l’armée tentant d’établir son hégémonie politique, économique mais aussi intellectuelle.

Imran Khan est-il le seul à contester le pouvoir de l’armée ?

En surface, mais dans la réalité cette contestation est beaucoup plus large et englobe les autres partis politiques qui ont poussé Imran Khan vers la sortie, avec le soutien des militaires. Ils reprochent à l’armée d’avoir porté Imran Khan au pouvoir en 2018 et pensent que le temps est venu pour eux de s’imposer. Ils considèrent que l’armée doit désormais les soutenir. Les militaires demeurent centraux, même dans l’affrontement entre les partis. Il ne s’agit pas simplement d’une question d’élections.

(source: lemonde.fr)

 

Imran Khan released by Pakistan Supreme Court | Chief Justice slams PTI workers for violence

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Pakistan’s former Prime Minister Imran Khan’s arrest in the Qadir Trust case has been termed ‘illegal’ by the Supreme Court. It said that the way Imran Khan was arrested was wrong and hence ordered ‘immediate’ release for him.

Imran Khan: Pakistan ex-PM charged under terrorism act

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Police in Pakistan have filed terrorism charges against the former Prime Minister Imran Khan – after he gave a speech at the weekend vowing to sue police officers and a female judge, and claiming that a close aide had been tortured after his arrest.

Mr Khan could face several years in prison under the charges, and is likely to appear in front of an anti terrorism court later this week.

Former Pakistan PM Imran Khan has warned Pakistan army of consequences as he blamed the military for crackdown on his party after he was booked under terrorism charges. Islamabad witnessed overnight drama as hundreds of PTI workers assembled at Imran Khan’s house after they anticipated that he would be arrested by police.

Pakistan : des milliers de manifestants réunis en soutien à l’ex-Premier ministre Imran Khan

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Jeudi 21 avril, des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées à Lahore, au Pakistan, à l’appel de l’ex-Premier ministre Imran Khan, renversé par une motion de censure le 10 avril. Il souhaite poursuivre les manifestations contre le nouveau gouvernement, même si son personnage ne fait pas l’unanimité.


Shehbaz Sharif élu Premier ministre après la chute d’Imran Khan

Manifestations.Le Pakistan donne des gages aux islamistes face à la France

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Après des rassemblements qui ont dégénéré à Islamabad, le gouvernement d’Imran Khan aurait promis aux manifestants, furieux de la republication des caricatures de Mahomet, d’expulser prochainement l’ambassadeur de France.

C’est du jamais-vu dans la république islamique du Pakistan. Mardi 17 novembre, le mouvement islamiste Tehrik-e-Labaik Pakistan (TLP) a annoncé qu’il allait cesser de manifester contre Emmanuel Macron et de bloquer l’entrée de la capitale, Islamabad, dans le quartier de Faizabad, “un accord ayant été trouvé avec le gouvernement d’Imran Khan sur l’expulsion de l’ambassadeur de France”, rapporte le site d’information Gandhara.

“Le mouvement antifrançais avait démarré fin octobre”, lorsque l’hôte de l’Élysée avait défendu publiquement le droit de publier des caricatures du prophète Mahomet. Depuis, quelques milliers de militants du TLP défilaient régulièrement dans les rues et défiaient la police et les troupes paramilitaires déployées sur le terrain. “Un responsable religieux radical appelait le gouvernement pakistanais à renvoyer l’ambassadeur de France à Paris et à annoncer un boycott officiel des produits français” dans tout le pays.

“Montée de l’islamophobie”

Lundi 16 novembre, le ministre de l’Intérieur, Ijaz Shah, et celui des Affaires religieuses, Pir Noorul Qadri, “se sont entretenus avec les leaders” du mouvement antifrançais et “leur ont assuré que le Parlement examinerait l’expulsion de l’ambassadeur de France dans un délai maximum de trois mois”. Selon le journal Dawn, le gouvernement Khan aurait par ailleurs “pris l’engagement de ne pas nommer de nouvel ambassadeur du Pakistan à Paris”, où le poste se trouve être vacant depuis le mois d’août.

Autre concession : les 400 membres du TLP arrêtés ces derniers jours pour violences sur la voie publique “devraient être rapidement relâchés”, et les 850 personnes faisant l’objet de poursuites judiciaires devraient voir ces dernières “abandonnées”.

La semaine dernière, le chef de l’exécutif avait dénoncé “la montée de l’islamophobie en Europe” et appelé son cabinet à trouver une porte de sortie “pacifique” au problème. Mercredi soir, néanmoins, aucune confirmation de l’accord revendiqué par le TLP n’avait encore été publiée. Et contrairement à ce que prétendent les islamistes, aucune promesse n’aurait été donnée quant à un gel éventuel des importations de produits d’origine française.

(source: courrier international paris)

Pakistan: Imran Khan, le Trump pakistanais, élu Premier ministre

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L’ancien champion de cricket Imran Khan, sera le futur PM pakistanais. Son parti, le PTI, a remporté les élections de mercredi mais il n’obtient pas la majorité absolue et devra former une coalition.