John Bolton
Bolton makes prediction on Trump’s political career after indictment
Former National Security Adviser John Bolton tells CNN’s Phil Mattingly why he thinks Donald Trump’s political career will be over following a second indictment against him.
President Trump fires John Bolton
Donald Trump used his now traditional method of mass communication, Twitter, to tell the world that he had parted company with his security adviser
John Bolton. Bolton hit back on the same social media site to say that he had actually offered to resign first. What isn’t in dispute is the fact that there were huge divisions within the Trump cabinet over plans to hold peace talks in the United States with the Taliban.
Intel Chair Schiff: Bolton Should Have Never Been National Security Advisor
House Intelligence Chairman Adam Schiff says that the newly-ousted John Bolton left several foreign policy matters, like Iran, most volatile. Schiff also discusses upcoming moves by the Judiciary Committee on impeachment.
Washington renonce à un retrait militaire rapide de Syrie
« Nous partirons à un rythme approprié tout en continuant à nous battre contre [les djihadistes] et à faire tout ce qui est prudent et nécessaire ! », a assuré Donald Trump.

Donald Trump a eu tôt fait d’identifier le coupable. Sur son compte Twitter, il a accusé, lundi 7 janvier, le New York Times d’avoir « sciemment écrit une histoire très inexacte sur mes intentions concernant la Syrie ». Le quotidien n’avait pourtant que rapporté les propos de son conseiller à la sécurité nationale, John Bolton, écartant la veille toute perspective de retrait rapide des forces spéciales américaines déployées dans le nord-est de la Syrie contre l’organisation Etat islamique (EI).
Ces propos, a assuré le président des Etats-Unis, ne sont, « pas différents de mes déclarations initiales ». « Nous partirons à un rythme approprié tout en continuant à nous battre contre [les djihadistes] et à faire tout ce qui est prudent et nécessaire ! », a-t-il ajouté.
Le 19 décembre 2018, Donald Trump avait pourtant pris de court son administration et ses alliés en annonçant ce retrait sur Twitter. « Ils rentrent tous, et ils rentrent maintenant », avait-il ajouté à propos de ces combattants dans une vidéo diffusée dans la journée.
Le président des Etats-Unis hostile de longue date à ce déploiement avait justifié sa décision en annonçant la défaite de l’EI que ces forces spéciales combattaient en s’appuyant sur une milice majoritairement composée de Kurdes syriens.
Trump nomme le «faucon» Bolton conseiller à la sécurité nationale
WASHINGTON | Le président américain Donald Trump a annoncé jeudi, d’un tweet, le départ de son conseiller à la sécurité nationale, H.R. McMaster, et son remplacement par le très conservateur John Bolton, ancien ambassadeur des États-Unis à l’ONU.

« Je suis heureux d’annoncer qu’à compter du 9 avril 2018, John Bolton sera mon nouveau conseiller à la sécurité nationale », a indiqué M. Trump annonçant ce nouveau changement de taille dans son équipe après une cascade de limogeages et de démissions ces derniers mois.
Celui qui fut l’un des chefs de file des « faucons » au sein de l’administration de George W. Bush avant de devenir commentateur sur Fox News est en particulier connu pour son style abrasif.
Saluant « le travail extraordinaire » de H.R. McMaster, M. Trump assuré qu’il resterait toujours son « ami ».
Depuis plusieurs semaines, H.R. McMaster, général trois étoiles, avait vu sa position affaiblie par le manque de soutien évident du président américain et les rumeurs sur son possible renvoi imminent.
Cette annonce intervient dix jours après le limogeage brutal du secrétaire d’Etat Rex Tillerson, qui sera remplacé par l’actuel directeur de la CIA, Mike Pompeo, lui aussi un républicain « faucon ».
John Bolton est notamment l’un des grands pourfendeurs de l’accord sur le nucléaire iranien signé par les grandes puissances en juillet 2015 pour empêcher l’Iran de se doter de la bombe nucléaire.
« Avec la nomination de John Bolton, l’équipe de politique étrangère de Trump sera la plus conservatrice et idéologique et la moins pragmatique de mémoire récente à un moment où les défis sur la scène internationale nécessitent de la fermeté mais aussi de la flexibilité et du pragmatisme », a réagi Aaron David Miller, diplomate chevronné qui a travaillé dans des administrations démocrate comme républicaines.
(canoe avec afp)