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La flamme olympique arrive à Marseille !

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Arrivée de la flamme olympique à Marseille : le rappeur Jul invité surprise, la foule accueillant le « Belem » dans le Vieux-Port…

Ce qu’il faut retenir de cette journée.

 

2nd Guerre Mondiale : La Résistance en France, Ils ont osé face à Vichy – Documentaire

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Comment réagit la société civile quand elle est confrontée à la barbarie ? S’appuyant sur les récentes recherches d’historiens, ces films jettent un regard neuf sur la France des années 1940-44. Une collection qui raconte autrement l’histoire de ces anonymes qui ont combattu Vichy et les nazis dès juin 1940, et qui retrace le destin méconnu de ceux qui ont risqué leur vie pour sauver les juifs.

00:00 Resistance 04:31 Survivre et résister 20:30 La presse clandestine 30:40 Le sabotage comme forme de résistance 01:00:27 Apprendre les techniques de la clandestinité 01:11:00 La création du Conseil National de la Résistance 01:33:04 Les combats acharnés des Maquis des Glières 01:46:27 Négociations de l’armistice avec l’occupant 02:00:57 Grève des mineurs dans le Nord-Pas-de-Calais 02:30:01 Le sacrifice des résistants et l’héritage familial 02:54:15 La France rurale bascule dans la résistance 03:02:22 La Résistance réinvente les valeurs nationales

Koloina Andriamanantsoa: actrice et réalisatrice dans le 7ème Art

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Koloina Andriamanantsoa est la première réalisatrice de film malgache à participer au Festival de Cannes.

Discours d’ouverture de Mr Jean Jacques Rabenirina, président par interim de l’Assemblée nationale malgasche

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Ouverture de la session parlementaire du 07 Mai 2024 au Palais de Tsimbazaza

Richard Ravalomanana vs Jean Jacques Rabenirina : Le patron du Sénat fustige le président de la Chambre basse

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Richard Ravalomanana et Jean Jacques Rabenirina ont animé l’ouverture de la session parlementaire, hier.

L’ouverture de la session parlementaire a été marquée par une passe d’armes entre les partisans du pouvoir et le président par intérim de l’Assemblée nationale.

Il fallait s’y attendre. Le remplaçant de Christine Razanamahasoa à Tsimbazaza a suivi les traces de cette ancienne patronne de la Chambre basse. Il s’agit de Jean Jacques Rabenirina qui assure l’intérim de la présidence de cette institution depuis le départ in extremis de la magistrate. En tant que doyen parmi les membres du bureau permanent, Jean Jacques Rabenirina est de la même trempe que Christine Razanamahasoa et, à l’occasion de l’ouverture de la session parlementaire hier à Tsimbazaza, il a tenu un discours très critique contre le régime en place. « Inflation galopante et  insécurité grandissante » sont les « maux » qui sont soulevés par Jean Jacques Rabenirina hier. « La population est dans le désarroi total actuellement », soutient-il devant une assemblée à moitié vide et les chancelleries étrangères presque au grand complet.

Zélateur

Le président par intérim de l’Assemblée nationale a choisi de tenir un discours en français devant ses invités de marque à Tsimbazaza. Durant son intervention, il a réitéré ses critiques. Mais ce choix de vouloir s’exprimer en langue de Molière au perchoir a ouvert un angle d’attaque contre Jean Jacques Rabenirina. À peine sorti de la séance, aussitôt que le rideau est tombé sur la cérémonie, Richard Ravalomanana a sauté sur l’occasion pour fustiger devant la presse, Jean-Jacques Rabenirina. Le président du Sénat accuse son homologue de l’Assemblée nationale de zélateur. « Je suis étonné de le voir s’exprimer en français alors qu’ils sont, eux-mêmes, auteurs de slogans anti-vazaha » a lancé Richard Ravalomanana. « Je pense qu’il est motivé par ses intérêts particuliers pour agir ainsi sinon je trouve déplorable une telle attitude », poursuit-il.

Campagne avant l’heure

La déclaration du président du Sénat a fait l’effet d’une bombe dans les couloirs de la Chambre basse. Quoiqu’il en soit, la messe est dite pour Jean Jacques Rabenirina. Le président par intérim de l’Assemblée nationale garde le cap à la veille de l’ouverture des campagnes des législatives et enfonce le clou en disant que « certains candidats soutenus par le régime en place tentent d’abuser de l’utilisation d’infrastructures publiques à des fins électorales ». Des propos qui ont aussi étonné Richard Ravalomanana. « Je ne vois aucun candidat du camp présidentiel qui a déjà fait campagne avant l’heure contrairement à d’autres », a affirmé, hier devant la presse, le président du Sénat. Jean Jacques Rabenirina, quant à lui, veut que « la transparence, l’égalité des chances entre les candidats, la neutralité de l’administration » règnent durant cette période électorale.

(Source: Rija R. – Midi M/kara)

Xi Jinping en France : Macron salue les «engagements» chinois «à s’abstenir de vendre toute arme» à Moscou, , et remercie Xi de soutenir une «trêve olympique»

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Xi Jinping a entamé lundi une visite d’État de deux jours en France, où il assure vouloir «œuvrer» avec son homologue français à «résoudre la crise» en Ukraine et continuer à investir dans l’Hexagone.

Emmanuel Macron a salué mardi «les engagements» chinois «à s’abstenir de vendre toute arme» et «tout aide à Moscou», lors d’une déclaration à la presse à Paris au côté du président Xi Jinping.

«Nous respectons les liens anciens qui unissent la Chine à la Russie», a fait valoir le président français et «au vu de cette histoire complexe, nous accueillons favorablement les engagements des autorités chinoises à s’abstenir de vendre toute arme, toute aide à Moscou et à contrôler strictement l’exportation des biens à double usage» pouvant servir à des fins militaires.

Évoquant «la guerre d’agression menée par la Russie contre l’Ukraine», Emmanuel Macron s’est dit désireux de «maintenir un étroit dialogue» avec la Chine, alors que Paris entend profiter de la venue de Xi Jinping pour s’assurer que Pékin ne bascule pas dans un soutien clair à l’effort de guerre russe. «Je vous remercie de ce moment de coordination que vous avez souhaité avant la visite du président (russe Vladimir) Poutine en Chine, ce qui permettra aussi d’avoir un agenda commun et de pouvoir identifier les volontés ou non d’aller vers cette paix durable», a-t-il poursuivi.

Il a souligné que les Occidentaux n’avaient pas «une approche consistant à rechercher un changement de régime à Moscou». Le président français s’est également félicité de la «volonté» de son homologue chinois de «demander à toutes les parties prenantes» des différents conflits «une trêve olympique» durant les Jeux de Paris cet été.

Emmanuel Macron prône devant Xi Jinping des «règles équitables pour tous» dans le commerce

(source: lefigaro.fr)


Chrétiens et bouddhistes, marcher ensemble pour la paix

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Célébration de la fête de Vezak en Indonésie en 2021.

À l’occasion de la fête de Vesak, le dicastère pour le Dialogue interreligieux a publié un message adressé aux millions de bouddhistes à travers le monde. Signé par le cardinal préfet Miguel Ángel Ayuso Guixot, le message dresse une parallèle entre la tradition bouddhiste et celle catholique: toutes deux s’appuient sur la résilience et la réconciliation pour promouvoir la paix.

Jean-Benoît Harel – Cité du Vatican

Le jour de «Vesak», jour de la pleine lune du mois de mai, est le jour le plus sacré pour les plus de 600 millions de bouddhistes à travers le monde. C’est le jour de la naissance du Bouddha, il y a 2 500 ans, en 623 av. J.-C., mais également la date qui commémore l’état d’illumination du Bouddha pour ses fidèles ainsi que son décès dans sa 80e année. Il tombe cette année le jeudi 23 mai.

Mettre fin à la haine

Dans un message publié ce lundi 6 mai, le cardinal Miguel Ángel Ayuso Guixot encourage à l’occasion de cette fête à réfléchir à la responsabilité des chrétiens et des bouddhistes «à promouvoir la paix, la réconciliation et la résilience, des valeurs profondément enracinées dans [les deux] traditions religieuses respectives».

Citant l’appel du Pape Paul VI aux Nations unies le 4 octobre 1965, «jamais plus la guerre, jamais plus la guerre! C’est la paix, la paix, qui doit guider le destin des peuples et de toute l’humanité!», le message appelle au renforcement de l’engagement commun des bouddhistes et des catholiques pour «mettre fin à la haine et au désir de vengeance qui conduisent à la guerre».

Ce message traditionnel du dicastère intervient chaque année, et est destiné à promouvoir les liens entre chrétiens et bouddhistes. Début 2024, le dicastère a organisé plusieurs événements pour faire avancer le dialogue interreligieux vers les spiritualités asiatiques en mars, notamment en lien avec le confucianisme et le taoïsme.

La réconciliation et la résilience pour parvenir à la paix

«Pardonner et se réconcilier, ce n’est pas prétendre que les choses sont différentes de ce qu’elles sont» disait l’archevêque anglican Desmond Tutu. C’est en s’inspirant de son exemple que le cardinal Ayuso Guixot vante l’indispensable promotion de «l’équité et justice dans la vie politique, économique et culturelle».

Le message souligne que dans la tradition bouddhiste comme dans la tradition catholique, «la réconciliation et la résilience sont les remèdes nécessaires à une culture de la violence qui est souvent justifiée comme étant une réponse regrettable mais nécessaire à des actions militaires agressives ou terroristes». Elles seules permettent de pardonner et de rechercher le pardon, poursuit le message.

Le cardinal préfet Miguel Ángel Ayuso Guixot.

Redécouvrir ces valeurs présentes dans nos traditions respectives
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Groupement pétrolier : 418 milliards d’ariary d’arriérés au Fonds Routier

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Le Fonds Routier aurait organisé des rencontres entre les parties prenantes depuis le mois de janvier dernier pour tenter de trouver une entente pour la méthode d’apurement de ces dettes.

La tension monte d’un cran. L’Etat malgache donne le feu vert au Fonds Routier afin d’engager une réquisition de paiement si le Groupement pétrolier ne paye pas immédiatement les arriérés de Redevance pour l’Entretien Routier (RER) de cette année 2024. La question a été évoquée durant le Conseil des ministres de jeudi dernier. Face à la dégradation des routes nationales, le Gouvernement décide de mettre la pression sur les compagnies pétrolières pour assumer leurs contributions, importantes à la réhabilitation des routes. De 2021 à la fin du mois de janvier 2024, ces dernières accusent des arriérés d’un montant de plus de 419 milliards d’ariary dont 10 milliards ariary de dettes pour l’année 2015 ; 6 milliards d’ariary en 2018 ; 21 milliards d’ariary en 2020 ; 77 milliards d’ariary en 2021 ; 144 milliards d’ariary en 2022 ; 139 milliards d’ariary en 2023 et 20 milliards d’ariary d’arriérés en ce début d’année 2024. En effet, le problème ne date pas d’aujourd’hui. C’est un vrai dilemme pour tous les régimes qui se sont succédé.

Réquisition de paiement. Au mois de décembre 2023, un protocole d’accord a été trouvé entre le ministère de l’Economie et des Finances, le ministère de l’Energie et des Hydrocarbures, la Jirama et le Groupement des Pétroliers de Madagascar en vue, entre autres, de l’apurement des arriérés des droits et taxes à l’importation 2022 et 2023. Dans ce protocole d’accord, le GPM s’est engagé à régulariser la RER pour un montant de 382 milliards d’ariary jusqu’au 31 mars 2024 et de reprendre le paiement normal des redevances pour l’entretien routier à compter de janvier 2024. Un engagement que les compagnies pétrolières n’ont apparemment pas respecté à ce jour malgré la tentative de médiation effectuée par le Fonds Routier. En effet, d’après les informations, le Fonds Routier aurait organisé des rencontres entre les parties prenantes depuis le mois de janvier dernier pour tenter de trouver une entente pour la méthode d’apurement de ces dettes. Mais pour l’heure, les négociations sont vouées à l’échec. D’où ce projet de réquisition de paiement. Il faut admettre toutefois que cette affaire est délicate puisqu’en face, les compagnies pétrolières réclament aussi, à l’Etat malgache le paiement de leurs dettes relatives à l’approvisionnement de la Société Jirama qui s’élèveraient à plusieurs milliards d’ariary. Histoire à suivre.

(source: Davis R – Midi M/kara)

Pour l’accélération de la mise en place du Conseil Économique, Social et Culturel (CESC), article 105 de la Constitution du 11 Déc. 2010

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Les participants à la rencontre avec la délégation de l’Union des Conseils Économiques et Sociaux d’Afrique.

Youness Benakki, secrétaire général de l’Union des conseils économiques et sociaux d’Afrique, actuellement en mission à Madagascar, a rencontré hier à Anosy les acteurs socioéconomiques du pays pour soutenir la mise en place du Conseil Économique, Social et Culturel (CESC).

« Nous sommes ici pour réunir tous les prérequis à une installation réussie et à un positionnement optimal de cette institution constitutionnelle à Madagascar. Nous avons eu des échanges très fructueux avec toutes les parties prenantes malgaches, y compris la société civile, le secteur privé et les représentants du gouvernement », a rapporté Youness Benakki, également secrétaire général du Conseil économique, social et environnemental du Royaume du Maroc.

La pertinence, l’utilité et l’importance de cette institution pour répondre aux besoins et aspirations légitimes des citoyens ont été discutées. « Les discussions progressent bien, avec l’espoir d’accélérer vers les prochaines étapes. Cela démontre la volonté de toutes les parties d’avancer ensemble, d’autant plus que le CESC joue un rôle crucial dans la promotion de l’approche participative dans l’élaboration, l’évaluation et la mise en œuvre des politiques publiques. Cette fois-ci, nous aurons une plateforme institutionnelle permettant au secteur privé, à la société civile et aux syndicats de donner leur avis sur les politiques publiques, pour une meilleure adaptation aux aspirations des citoyens », a souligné Harijaona Niaina Andriamoraniaina, représentant de la société civile.

Accélération
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À Madagascar, le Pape nomme le nouvel évêque de Maintirano

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Le Pape a nommé, jeudi 2 mai, le père Clément Herizo Rakotoasimbola évêque de Maintirano, à Madagascar. Il était jusqu’à maintenant curé du district d’Antsalova et vicaire délégué de l’administrateur apostolique de Maintirano.


Marie José Muando Buabualo – Cité du Vatican

Mgr Clément Herizo Rakotoasimbola est né le 27 novembre 1974 à Ambohipihaonana – Ambohimanga. Après avoir étudié la philosophie au séminaire Saint-Paul de Tsaramasoandro, il a suivi sa formation en théologie au grand séminaire de Faliarivo. Il a prononcé sa première profession parmi les Missionnaires de Notre-Dame de la Salette en 2010 et a ensuite obtenu une maîtrise en théologie biblique à l’université catholique de Madagascar à Ambatoroka.

Après avoir effectué deux années d’expérience pastorale à Ankavandra et Mandoto et avoir fait le juvénat au centre spirituel d’Antsahasoa, il a prononcé ses vœux perpétuels en 2015. Il a été ordonné prêtre le 30 juillet 2016. Il a occupé les fonctions de vicaire paroissial à Ankazomiriotra et directeur du lycée Saint-Michel dans la même cité. Depuis 2019, il est curé d’Antsalova; vicaire général de Maintirano de 2021 à 2023. Il est, depuis 2023, vicaire délégué et administrateur apostolique du même diocèse.

(source: vaticannews.va/fr)