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NBA Draft 2025 : Mathias M’Madi renonce pour raisons médicales

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Le basketteur malgache Mathias M’Madi ne participera pas à la NBA Draft 2025. Sa décision, motivée par une blessure à la cheville, intervient après plusieurs semaines de préparation auprès de différentes franchises américaines.

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Blessure compromettante

L’annonce du retrait de Mathias M’Madi survient à un moment critique de son parcours vers la NBA. Alors qu’il participait à un entraînement avec les Cleveland Cavaliers dans le cadre du processus de présélection (« workout »), le joueur a été victime d’une blessure à la cheville. Malgré quelques échanges avec les Milwaukee Bucks et une présence sans contact lors d’un échauffement avec le Orlando Magic, son état physique ne lui a pas permis de poursuivre son objectif dans des conditions satisfaisantes.
Estimant qu’il ne serait pas totalement rétabli à temps pour la NBA Summer League — à laquelle il était invité —, Mathias M’Madi a fait le choix de se retirer officiellement de la Draft.

Priorité à la récupération

Le joueur a indiqué vouloir désormais se concentrer sur son rétablissement complet. En ligne de mire : l’AfroBasket FIBA 2025, prévu en août en Angola, où il prévoit de porter les couleurs de l’équipe nationale malgache. Il s’agit pour lui d’un objectif important, à la fois sur le plan sportif et symbolique, dans une période où sa progression individuelle se conjugue avec l’enjeu collectif de la sélection.
Mathias M’Madi a remercié les trois franchises NBA qui l’ont reçu au cours de ce processus, ainsi que son agent. Il envisage son retour à la compétition lors de la saison 2025-2026, avec l’intention de se réengager dans un projet sportif à moyen terme, après une remise en condition complète.

(source: moov.mg)

 

Basketball NBA Draft 2025 : Mathias M’Madi en test chez les Cleveland Cavaliers

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(©ùoov.mg)

À 20 ans, le basketteur malgache Mathias M’Madi participe à des entraînements aux États-Unis, en préparation de la NBA Draft 2025. Son évolution illustre un tournant pour le basket malgache, qui cherche à gagner en visibilité sur la scène internationale.

Dans les radars de la NBA

Mathias M’Madi a récemment été invité par la franchise des Cleveland Cavaliers pour un entraînement individuel. Ce test s’inscrit dans le cadre de la NBA Draft prévue pour la fin juin. Né à Antsiranana, le meneur de jeu s’est déjà illustré lors de l’Adidas Eurocamp à Trévise, en Italie, début juin. Sa prestation lors du premier match, notamment ses six passes décisives, a attiré l’attention des recruteurs. Cette invitation aux États-Unis représente une nouvelle étape dans son parcours.
M’Madi, qui mesure 1,96 m, possède un profil recherché pour le jeu moderne : bon tireur à distance, actif en défense, capable de créer pour ses coéquipiers. Deux autres franchises NBA l’attendent pour d’autres essais avant la sélection officielle.

Trajectoire individuelle

Le nom de M’Madi est déjà familier pour les supporters malgaches. Lors des qualifications à l’AfroBasket 2025, il a porté l’équipe nationale avec des statistiques régulières : plus de 13 points, 5 rebonds et 4 passes par match. Grâce à son apport, Madagascar s’est qualifié pour la phase finale prévue en août, en Angola.

Après son séjour américain, M’Madi retournera en France pour se préparer à ce tournoi continental. Sa progression reflète un nouveau visage du basketball malgache : des joueurs qui évoluent à l’étranger, mais qui conservent un lien fort avec la sélection. Ce parcours montre que le développement du sport passe aussi par les trajectoires individuelles.
En se faisant une place dans les circuits internationaux, M’Madi ouvre des perspectives pour d’autres jeunes issus de Madagascar.

(source: moov.mg)

Basket – USA: Mathias et Donovan gravissent les échelons

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Les choses se passent à merveille pour les deux internationaux malgaches, Mathias M’Madi et Donovan Rakotonanahary qui évoluent aux Etas–Unis. Mieux, les deux basketteurs malgaches ont reçu des propositions pour rejoindre la division I de la National Collegiate Athletic Association (NCAA), en vue de la prochaine saison.

Ainsi, les deux jeunes Ankoay auront un mois du 17 avril au 15 mai, pour se décider et signer la lettre officialisant leur sélection au sein d’une université en lice dans la première division de cette NCAA, l’organisation sportive qui supervise les programmes et les compétitions universitaires américaines.
Pour l’instant, Donovan Rakotonanahary, l’ancien du lycée d’Oak Hill Academy, a déclaré avoir obtenu une offre de la part de l’University of Albany de la division 1 et du Benedict Collège, de la division II. Ainsi lors des prochains jours il envisage de visiter Mount Vernon Nazarene University, un établissement classé dans la National Association of Intercollegiate Athletics (NAIA), une ligue distincte de la NCAA.

Quant à M’Mathias, le MVP de l’Afrobasket U18 en 2022 préfère encore ne pas dévoiler les noms de clubs qui l’ont contacté. L’on sait qu’après une saison passée dans le Junior Collège Basketball, plusieurs établissements universitaires souhaitent recruter le meneur malgache.

(source: Soafara Pharlin – newsmada.com)

Basketball Without Borders – NBA Global: Mathias M’Madi parmi les 40 Top prospects aux USA

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Basketball Without Borders (BWB) is a premier opportunity for elite players to learn the game from world-class players and coaches; showcase their skills in front of NBA, WNBA and FIBA coaches, players and scouts; and compete against the top talent in the world. Players enhance their basketball and life skills during four-day BWB camps and have the opportunity to return years later as a coach when they are leaders in the NBA or WNBA to inspire future basketball stars.

Basketball – Lova et Donovan se sont envolés pour les Etats-Unis

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L’aventure va se poursuivre aux Etats-Unis, au pays du basketball pour deux des joueurs de l’équipe nationale U18.

Après le parcours héroïque et la performance individuelle des deux joueurs durant l’African Championships Under U18 ou Afrobasket pour les moins de 18 ans, Lova et Donovan ne cessent de s’illustrer. L’ambassadrice des Etats-Unis à Madagascar Claire Pierangelo n’a cessé de les soutenir en publiant des mots d’encouragement pour les Ankoay notamment pour Rakotonanahary Donovan (Mb2All, 1m97, poste 3) et Andriatsarafara Lovasoa (Ascut, 2m05, poste 5), les membres de l’équipe nationale malagasy, qui devraient poursuivre leur carrière à l’étranger.

Les deux garçons ont quitté le pays mardi dernier pour s’envoler vers les Etats-Unis. Ils viennent de décrocher une bourse d’étude de la part de l’ambassadrice des Etats-Unis pour étudier au « Redemption Christian Academy ». Jr. NBA Madagascar et la Fédération malagasy de Basketball les ont toujours soutenus et formés pour aller le plus loin possible tant dans leur carrière que leur statut de joueurs de basketball.

Membre du Club English Jr.NBA et More than Basektball, l’ambassadrice Pierangelo était surprise de les voir parler couramment l’anglais après quelques échanges avec eux. A force de sacrifice et d’autodiscipline, les deux stars du basketball malagasy vont continuer leurs rêves au sein de Redemption Christian Academy à New York.

Recueillis par E.F. – laverite.mg

NBA: Bill Russell of the Boston Celtics passed away

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At the age of 88 (1934-2022), he’s been remembered tonight also as a champion of Civil Rights in the United States, along with Martin Luther Kings Jr, Malcom X, Mohamed Ali (then called Cassius Clay) and other national figures. He used his position to move forward the entire american society. President Obama rewarded him of the Presidential medal of Freedom: « he’s been a Champion for All ».

Finales NBA : vainqueurs sur le parquet des Celtics, Curry et les Warriors au septième ciel

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Quatrième sacre pour Curry et premier titre de MVP des Finales. Paul Rutherford / REUTERS

Golden State a disposé de Boston sur les planches du TD Garden (90-103) cette nuit et ainsi enlevé le septième titre de champion NBA de son histoire.

La victoire et le sacre pour Golden State. Emmenés par le MVP des Finales NBA 2022, Monsieur Stephen Curry, auteur de 34 points à 6/11 à trois points jeudi soir, avec 7 rebonds et 7 passes décisives en prime, les Warriors ont disposé des Celtics (90-103) au TD Garden, dans le Massachusetts, et remporté la série 4-2, empochant ainsi leur quatrième titre depuis 2015 et le septième dans l’histoire de la franchise. Seuls deux clubs ont plus de bannières accrochées au plafond de leur salle : les Celtics de Boston et les L.A. Lakers (17).

Repoussés à 22 longueurs au plus fort de la domination de Golden State jeudi, Jaylen Brown (32 pts), Al Horford (19 pts, 14 rbs) et compagnie ont tenu tant qu’ils ont pu. Mais comment espérer la victoire avec 22 pertes de balle… Surtout quand l’autre star locale, Jayson Tatum termine à 6/18 aux tirs (13 pts) ! Côté Warriors, 18 points d’Andrew Wiggins, 16 pour Jordan Poole, 12 pour Klay Thompson, maladroit (5/20), et 12 points, 12 rebonds, 8 passes, 2 interceptions, 2 contres à mettre au crédit de Draymond Green. Le compte est bon pour les Californiens, derniers au classement de la saison 2019-20 (15-50) et désormais de retour au sommet. «Personne ne croyait qu’on serait là il y a un an, à part les gens qui sont là, sur le parquet», a rappelé Curry, ému aux larmes à la fin. Fort, très fort.

Boston démarre fort, mais…

Tout avait pourtant idéalement commencé pour les joueurs d’Ime Udoka, développant un basket de rêve offensivement et profitant des pertes de balle en cascade des visiteurs (14-2). Ça n’allait pas durer… Curry et compagnie retrouvaient leurs esprits, leur jeu, leur défense, et les C’s commençaient eux aussi à multiplier les pertes de balle alors que les triples tombaient comme la pluie côté Warriors. Le début d’un 21-0 à cheval sur les deux premiers quarts (22-16, puis 22-37) ! Du rythme, de l’adresse, Poole en dynamiteur en sortie de banc : Boston submergé… mais pas noyé, avec un 7-0 pour relancer la machine et le suspense (29-37). Malgré la dissuasion de Robert Williams III (10 pts, 7 rbs, 5 cos) dans la peinture, Golden State repartait de plus belle pour (re)prendre le large (33-54) et boucler la première période à +15 (39-54 MT). 24 points pour les «Splash Brothers», 26 rebonds à 17 pour les Warriors, 10 majorés à 3, 12 pertes de balle pour les C’s (à 8)… Les Dubs juste un cran au-dessus.

Le festival Curry

Un cran au-dessus, mais pas encore assez pour crier victoire, avec toujours ces pertes de balle et Horford qui mettait le nez à la fenêtre (44-57, puis 47-60). Le moment que choisissait Curry pour monter dans les tours et prendre feu : trois majorés pour lui, en plus des deux d’Otto Porter Jr (50-72). Le festival Curry, après son match à 0/9 de loin lundi dernier, au Chase Center, il fallait bien s’y attendre…

Habitués aux renversements de situation, les C’s n’avaient toutefois pas encore dit leur dernier mot, emmenés par Brown et Horford, ce dernier, auteur d’un troisième quart de folie, faisant exploser le TD Garden en contrant Poole (65-74, puis 66-76 fin 3e QT). Prenant froid de loin, avec une série de 11 triples ratés, les visiteurs laissaient la porte ouverte, Brown ramenant les siens à -8 à 5’35 du terme (78-86). Jamais plus près. Les Warriors inscrivaient 10 des 13 points suivants (81-96), avec un triple de Curry qui climatisait le TD Garden. Celui de Wiggins, encore magnifique en défense, avec moins de 2 minutes à jouer, tuait le match (84-99, puis 90-103 score final).

Tatum et Brown, l’avenir devant eux

Après avoir écarté Brooklyn (4-0), les tenants de Milwaukee (4-3) et Miami (4-3), les Celtics, en quête d’un 18e sacre et de leur premier depuis 2008, ont trouvé à qui parler. Les Warriors, eux, ont été au bout de leur odyssée après avoir sorti Denver (4-1), Memphis (4-2) et Dallas (4-1). Reste à savoir s’ils auront l’occasion d’embellir encore un peu plus leur palmarès dans les années à venir, alors que Stephen Curry, Klay Thompson et Draymond Green ont tous passé la trentaine. À 24 et 25 ans, Jayson Tatum et Jaylen Brown, eux, ont tout l’avenir devant eux. Leur heure n’était simplement pas encore venue. C’était encore celle de ces Warriors qu’on croyait fini après le départ de Kevin Durant en 2019 et les blessures des «Splash Brothers», notamment Klay Thompson. On se trompait. La preuve.

(source: lefigaro.fr)

En NBA, les Grizzlies écrasent Oklahoma City avec le plus grand écart de score de l’histoire

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Avec un score de 152 à 79, les Grizzlies de Memphis deviennent la première équipe à gagner un match en NBA avec un avantage de plus de 70 points.

via Associated Press

NBA – Record battu dans le basket américain. Les Memphis Grizzlies ont écrasé jeudi 2 décembre l’Oklahoma City Thunder avec un écart de 73 points (152-79), le plus grand de toute l’histoire de la NBA.

Les Grizzlies deviennent aussi la première équipe à gagner un match en NBA avec un avantage de plus de 70 points. Le précédent record était un écart de 68 points (148-80) obtenu par les Cleveland Cavaliers contre le Miami Heat le 17 décembre 1991.

L’Américain Jaren Jackson a mené l’assaut avec 27 points, aidé par l’ailier fort espagnol Santi Aldama, auteur de 18 points et 10 rebonds. Au total, six joueurs des Grizzlies ont marqué plus de dix points, devant les plus de 18.000 spectateurs aux anges au FedExForum de Memphis.
Jusqu’à 78 points d’avance

“Battre des records, c’est évidemment formidable. Je suis fier de nos gars, même s’ils ne jouent pas en pensant à ça”, a déclaré Taylor Jenkins, l’entraîneur de Memphis, cinquième de la conférence Ouest. “Nous sommes juste motivés par le fait atteindre nos standards chaque nuit. Et ce soir, c’était le cas, tant sur le plan offensif que défensif.”

Les Grizzlies ont eu jusqu’à 78 points d’avance au cours du match, le plus gros écart enregistré en NBA depuis la saison 1996-1997. C’est la troisième victoire d’affilée pour les Grizzlies, malgré l’absence pour blessure de leur star Ja Morant.

“On savait ce qu’on avait à faire en son absence: il fallait y aller”, a commenté l’arrière De’Anthony Melton. “Ca fait du bien d’être dans les livres d’histoire, surtout devant son propre public”.

Quant au Thunder, son nouveau record d’équipe la plus lourdement battue en NBA s’ajoute à celui, tout aussi peu glorieux, du plus lourd écart de score subi à domicile (57 points, en mai contre les Indiana Pacers).

“Cette nuit, nous n’avons pas nécessairement été nous-mêmes”, a déclaré le coach d’Oklahoma City Mark Daigneault. “Ceci n’est pas indicatif de ce qu’est notre équipe”.

(source: huffingtonpost.fr)