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Donald Trump dans l’embarras après sa visite au cimetière militaire d’Arlington

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L’US Army a confirmé qu’une employée d’Arlington avait été « poussée brusquement », lors de la visite de l’ancien président, alors qu’elle cherchait à faire appliquer une loi fédérale qui interdit toute activité politique dans l’enceinte du cimetière.

Donald Trump au cimetière militaire d’Arlington, le 26 août 2024. ANNA MONEYMAKER /

Kamala Harris a accusé, samedi 31 août, son rival républicain Donald Trump d’avoir « manqué de respect » au « sol sacré » du cimetière militaire d’Arlington, où sa visite, au début de la semaine, a donné lieu à un incident.

L’ancien président s’est rendu, lundi, dans ce cimetière national, proche de Washington, pour participer à une cérémonie en hommage aux treize soldats tués lors du retrait des forces américaines d’Afghanistan, en août 2021. Une altercation a eu lieu pendant cette visite entre son équipe, qui cherchait à faire des photos de l’événement, et celle du cimetière, avait annoncé, mercredi, la direction du site.

« Donald Trump a choisi de filmer une vidéo là-bas, ce qui a abouti à une altercation avec le personnel du cimetière. Que ce soit clair : l’ancien président a manqué de respect à un sol sacré, tout cela pour un coup d’éclat politicien », écrit, sur X, la vice-présidente des Etats-Unis, qui brigue en novembre la succession de Joe Biden.

Quelque 400 000 anciens combattants et leurs familles ainsi que deux présidents américains, dont John Fitzgerald Kennedy, sont enterrés au cimetière national d’Arlington.

L’entourage du candidat républicain, qui ne cesse de critiquer les démocrates au sujet du retrait chaotique d’Afghanistan, a partagé, mercredi, un communiqué dans lequel les familles de soldats assurent que la présence de photographes a bien été « validée » par leurs soins.

L’US Army a confirmé, jeudi, qu’une employée d’Arlington avait été « poussée brusquement », lors de la visite de Donald Trump, alors qu’elle essayait de faire appliquer une loi fédérale qui interdit toute activité politique dans l’enceinte du cimetière. « C’était un malencontreux incident et il est aussi malheureux que l’employée (du cimetière) et son professionnalisme aient été injustement remis en cause », déplore un porte-parole de l’armée américaine, dans un communiqué.

« Devoir simple et sacré »

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US Forces Reportedly Building New Base in Northeast Syria

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FILE – U.S. military vehicles are seen near Hasakah, Syria, Nov. 4, 2018.

WASHINGTON – The United States military has begun building a new base in northeast Syria, according to local reports.

The new U.S. military base reportedly is located in the city of Hasakah, one of the largest cities in Syria’s northeast.

A local reporter told VOA that the U.S. maintains another base outside the city, “but this is the first time that U.S. forces have begun building a base in the city center.”

“The U.S. flag is now raised over a building,” said journalist Jindar Berekat, who lives in Hasakah, adding that “it is not clear how many American soldiers will be stationed at this location, but their armored military vehicles are here and it looks like they are still constructing parts of it.”

The base was previously occupied by Kurdish-led Syrian Democratic Forces (SDF), a local military alliance that has been a major U.S. partner in the fight against the Islamic State (IS) terror group.

It is located near a major prison that holds hundreds of IS fighters. The SDF says it currently holds about 2,000 IS foreign fighters and 12,000 IS-affiliated women and children.

‘Redeployment strategy’

Hasakah is largely controlled by Syrian Kurdish fighters, but Syrian government and Russian forces have a significant military presence in the city as well.

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