Science / Technologie
Tiana Razafindralambo: promu Docteur en Informatique de l’Université de Limoges
Ce 24 Novembre 2016, le jeune malgache de 28 ans, Tiana Razafindralambo a brillamment soutenu – intégralement en anglais svp., système de pool mondialisé oblige!- sa Thèse de Doctorat à la Faculté des Sciences et Techniques de l’Université de Limoges avec un thème très pointu dans le domaine des NTIC, intitulé: sécûrité des microprocesseurs embarqués: des cartes à puces aux appareils mobiles, à l’issue de laquelle il a obtenu la mention « Très honorable » de la part d’un jury chevronné dont voici le rapport officiel:


Voici un autre lien pour mieux connaitre les origines du jeune docteur
Conférence de Basarab Nicolescu: Unité du monde physique, biologique et psychique
« Qu’est-ce que la Réalité? Unité du monde physique, biologique et psychique » est le titre de l’intervention de Basarab Nicolescu , qui a lieu dans le cadre du Colloque « Les nouvelles logiques du vivant », organisée par l’Université Interdisciplinaire de Paris et la Fondation Denis Guichard le 12 avril 2014 à l’Espace Bellechasse à Paris.
Un dialogue est impossible en l’absence de méthodologie
La fascinante nouvelle carte 3D animée de l’univers observable (Vidéo)
Une équipe internationale de chercheurs a mis en place une extraordinaire carte vidéo 3D de l’univers proche avec une profondeur de 300 millions d’années-lumière. La vidéo est un rappel, qui n’est pas si subtil, de la façon dont nous sommes ridiculement minuscules, et encore, ce n’est que la partie visible de l’univers, une infime partie de celui-ci
Ce travail fait partie d’un projet appelé Cosmic Flows (flux cosmique) et il consiste à cartographier la densité de la matière à la fois visible et noire autour de notre galaxie, jusqu’à une distance de 300 millions d’années-lumière. La carte, qui est présentée au format vidéo, présente notre voisinage intergalactique immédiat à travers une série de représentations dynamiques en 3D. C’est la carte la plus détaillée jamais créée de notre voisinage local.
Il est important de se rappeler que cette cosmographie de l’univers local représente une fraction infime de notre univers, environ 0,32%. L’univers observable (ce qui nous est encore permis d’observer, expansion de l’univers oblige), fait 13,7 milliards d’années-lumière de diamètre, il est estimé contenir plus de 7000 milliards de galaxies naines. Tandis que l’univers dans son intégralité (partie non-observable incluse) est estimé faire 93 milliards d’années-lumière.
(… Lire l’intégralité de cet époustouflant article sur gurumed.org)
Quantum Reality and the Spiritual Mind
The Spiritual Mind is a mind that can search for truths in the non-empirical background of the universe. The phenomena of quantum physics show that such a background exists, which doesn’t consist of material things, but of non-material forms or patterns of information.
These forms are real, even though they are invisible, because they have the potential to act on us. They form a realm of potentiality in the background of the visible reality and all empirical things and concepts are emanations out of this realm.
There are indications that the forms in the realm of potentiality are contiguous and mind-like, like the thoughts in our mind. Thus, the background of the universe now appears as an indivisible wholeness, and consciousness is a cosmic property that is mystically connected with our mind.
LOTHAR SCHÄFER, PH.D.
Professor of Physical Chemistry (emeritus) at the University of Arkansas
Lothar Schäfer is a Distinguished Professor of Physical Chemistry (emeritus) at the University of Arkansas. His research in the areas of Physical Chemistry, Electron Diffraction, Applied Quantum Chemistry, and Computational Chemistry led his team to develop the first real-time gas electron diffraction instrument in which diffraction data are recorded on-line, enabling the first pulsed-beam, Time-Resolved Electron Diffraction studies of laser-excited molecules.
Additionally, they performed the first quantum chemical geometry determinations of peptide molecules, predicting structural trends in proteins a decade before they were experimentally observed. He is the author of the book, « In Search of Divine Reality – Science as a Source of Inspiration which has been translated in Portuguese, Russian, and Spanish.
Since 1998, Dr. Schaffer has given more than 160 public lectures in the US and abroad. He has been a guest on CUNY-TV and Chopra radio.
Incroyable! L’eau aurait une mémoire?!
« L’esprit de l’eau »: c’est le titre quelque peu provocateur de cette remarquable vidéo qui illustre les étonnantes découvertes de la science.
« Nous avons réalisé de nombreuses expériences en exposant des échantillons d’eau à diverses influences, diverses forces, telles que des champs magnétiques ou électrostatiques, diverses substances, ou encore à des émotions humaines. Il est alors apparu clairement que ce sont les émotions humaines, positives ou négatives, qui représentent la plus importante de toutes les influences. » —
Konstantin Korotkov, Professeur de physique, Université de St Pétersbourg, Président de l’IUMAB (International Union of Medical and Applied Bioelectrography).
On a retrouvé la Mémoire de l’eau, Luc Montagnier, Juillet 2014
Mort en 2004, Jacques Benveniste, chercheur à l’Inserm, fut au centre d’une controverse mondiale avec sa thèse sur la mémoire de l’eau. Appliquant cette théorie à ses propres recherches, le prix Nobel de médecine Luc Montagnier a fait un constat surprenant qui provoquera peut-être une révolution en matière médicale…
A l’origine de la vie sur Terre, l’eau est indispensable à la survie des espèces. Mais, pour certains scientifiques, cet élément fondamental aurait des capacités insoupçonnées. Dans les années 1980, un médecin immunologue de renom, Jacques Benveniste, affirmait avoir découvert que l’eau serait capable de garder en mémoire les propriétés des molécules avec lesquelles elle a été en contact, même lorsqu’elles ne s’y trouvent plus.
Une étonnante théorie qui a fait l’objet d’une énorme controverse. Rapidement, la validité de ses travaux fut mise en doute et Benveniste, rejeté par la communauté scientifique. Mais, poussé par la curiosité, Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour la découverte du VIH, a repris ses recherches. Dès la première expérience sur le plasma sanguin de malades infectés par le virus du sida, il détecte des ondes électromagnétiques.
« Ça a été une vraie surprise. Je ne m’y attendais pas et j’étais fasciné par ce phénomène », se souvient le médecin virologue, qui pense immédiatement aux « applications médicales ». Pour mettre en lumière les étonnantes propriétés de l’eau découvertes par celui qu’il considère comme « le Galilée du XXe siècle », Luc Montagnier a décidé de lever le voile sur ses recherches en cours et propose de réaliser, devant la caméra, une expérience surprenante : la transduction de l’ADN.
Vers la biologie numérique ?
Des molécules d’ADN d’un patient infecté par le VIH hautement diluées dans de l’eau stérile sont placées sur un capteur d’ondes électromagnétiques relié à un ordinateur. Le signal obtenu, numérisé, est ensuite envoyé par mail à l’université du Sannio de Benevento, en Italie. Après avoir exposé un tube d’eau pure à ces ondes numérisées, l’équipe transalpine utilise la PCR, une technique révolutionnaire qui permet de répliquer une séquence d’ADN. Contre toute attente, une molécule identique à 98 % à l’originale parisienne a bien été reconstituée dans la solution aqueuse. L’eau aurait donc bien une mémoire ! Et les ondes électromagnétiques auraient les mêmes propriétés que la matière qui les a émises. Comment cela est-il possible ? Difficile de le savoir, car « le problème que ça pose actuellement, c’est que cela demande aux biologistes d’être à la fois des physiciens et des chimistes, et ça, ce n’est pas forcement facile pour eux », explique Marc Henry, professeur de chimie et de physique quantique à l’université de Strasbourg.
Pour le Pr Luc Montagnier, qui travaille déjà sur des applications concernant le virus du sida, l’autisme, certaines scléroses en plaques, les maladies d’Alzheimer et de Parkinson, les débouchés sont immenses. Car cette découverte remettrait en cause l’approche médicale actuelle, autant sur le plan du diagnostic que sur celui de la thérapie — le corps humain étant composé à 70 % d’eau. « Le jour où l’on admet donc que les ondes peuvent agir, on peut agir par les ondes, souligne Luc Montagnier. Et à ce moment-là, on peut traiter par les ondes. C’est un nouveau domaine de la médecine qui fait peur à l’industrie pharmaceutique. »
Amandine Deroubaix
La physique quantique et ses mystères…
La physique classique en vigueur à la fin du XIXe siècle comprenait les théories suivantes :
- la mécanique newtonienne, publiée par Isaac Newton en 1687 et perfectionnée par des générations ultérieures de physiciens pour les besoins de la mécanique céleste.
- la théorie de l’électromagnétisme, développée par James Clerk Maxwell en 1865 et reformulée par Hendrik Lorentz en 1895. Cette théorie inclut l’optique ondulatoire comme cas particulier.
- la thermodynamique, formalisée dans les années 1850 par Rudolf Clausius, et une première version de la physique statistique : la théorie cinétique des gaz, développée par Maxwell et Ludwig Boltzmann.
La physique quantique a apporté une révolution conceptuelle ayant des répercussions jusqu’en philosophie (remise en cause du déterminisme) et en littérature (science-fiction). Elle a permis nombre d’applications technologiques : énergie nucléaire, imagerie médicale par résonance magnétique nucléaire, diode, transistor, microscope électronique et laser. Un siècle après sa conception, elle est abondamment utilisée dans la recherche en chimie théorique (chimie quantique), en physique (mécanique quantique, théorie quantique des champs, physique de la matière condensée, physique nucléaire, physique des particules, physique statistique quantique, astrophysique, gravité quantique), en mathématiques (formalisation de la théorie des champs) et, récemment, en informatique (ordinateur quantique, cryptographie quantique). Elle est considérée avec la relativité générale d’Einstein comme l’une des deux théories majeures du XXe siècle.
La physique quantique est connue pour être contre-intuitive, choquer le « sens commun » et nécessiter un formalisme mathématique ardu. Richard Feynman, l’un des plus grands théoriciens spécialistes de la physique quantique de la seconde moitié du XXe siècle, a ainsi écrit :
« Je crois pouvoir affirmer que personne ne comprend vraiment la physique quantique. »
La raison principale de ces difficultés est que le monde quantique (limité à l’infiniment petit, mais pouvant avoir des répercussions à plus grande échelle) se comporte très différemment de l’environnement macroscopique auquel nous sommes habitués…
Physique quantique et spiritualité: entretien avec Père Philippe Dautais
Naissance de la Terre
Documentaire sur une science étonnante de notre Planète
Ce qu’Einstein ne savait pas encore: Bienvenue dans la 11e dimension
Einstein a toujours rêvé d’une théorie unique qui définirait le fonctionnement de l’univers dans son ensemble, regroupant la relativité générale et la mécanique quantique. Les scientifiques seraient, avec la théorie des cordes, sur le point de la découvrir. Si cette théorie se vérifie, notre perception de l’univers qui nous entoure s’en trouvera complètement chamboulée.
Ce documentaire présenté par le grand manitou de la théorie des cordes Brian Greene est un incontournable : très facile à comprendre et abondamment illustré, il constitue une excellente vulgarisation des fondamentaux de la relativité générale et de la mécanique quantique.
Comment les maths ont vaincu Hitler
Et si le débarquement de Normandie n’avait été possible que grâce à un mathématicien antimilitariste et anticonformiste, dont le rêve était de construire un cerveau artificiel ? Le doux rêveur en question s’appelle Alan Turing et son domaine d’études est la branche la plus fondamentale des mathématiques : la logique. Bien loin, en principe, de toute application concrète. Comment ce savant excentrique a-t-il pu contribuer à la victoire des Alliés ? La réponse se trouve dans la petite ville de Bletchley Park, dans la grande banlieue londonienne. C’est ici que s’est jouée pendant la Seconde Guerre mondiale une vaste partie d’échecs dont l’enjeu était le décryptage des communications secrètes de l’armée allemande. Une partie dont la pièce maîtresse a justement été Alan Turing – l’inventeur de ce qui ne s’appelait pas encore l’ordinateur. Esprit plus que brillant, Turing sera pourtant traité de manière odieuse au lendemain de la guerre : son homosexualité lui ayant valu des poursuites judiciaires, il se suicidera en 1954 après avoir dû subir une castration chimique.
La guerre des codes
L’accès récent à de nouvelles archives permet aujourd’hui de porter un regard neuf sur la bataille de l’Atlantique, la campagne d’Afrique ou encore le débarquement de 1944. Ce documentaire mêle avec vivacité et pertinence des archives, des entretiens avec des historiens et des séquences en animation. À la lueur d’une guerre des codes longtemps restée secrète, il propose de relire un épisode historique sur lequel tout semblait avoir été dit.
Alan Turing: The Scientist Who Saved The Allies | Man Who Cracked The Nazi Code
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