Science / Technologie
Global report: Fauci voices Covid-19 fears for Trump rally as São Paulo faces cemetery crisis
Rallies and protests present infection risk; Brazilian city to exhume bodies to free up more space; fresh domestic cases cause alarm in Beijing

Dr Anthony Fauci, a senior US infectious disease official, has warned of the dangers of holding Trump election rallies during the pandemic, adding that rising coronavirus hospitalisations in some states could get out of control unless robust contact-tracing regimes were in place.
Fauci warned there was a risk of either “acquiring or spreading” the virus for those who attend the president’s planned rally in Oklahoma next week, although he said he had not raised the issue with him.
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In Brazil, the city of São Paulo has said it will exhume bodies buried years ago and store their bagged remains in large metal containers in a bid to free up space during the crisis.
The municipal funeral service said in a statement on Friday the remains would be placed in numbered bags, then stored temporarily in 12 containers it has bought. The containers would be delivered to several cemeteries within 15 days.
The country marked a grim milestone the same day, overtaking the UK to become the country with the second-highest Covid-19 death toll in the world.
In Argentina, a pastor turned his church into a bar in protest at the uneven easing of restrictions in his Santa Fe province. Church leaders were dressed as waiters carrying Bibles on their trays in a mock service. Pastor Daniel Cattaneo said: “So, apart from the breaded veal headed for table four, here goes the word of God.”
India reported its biggest daily jump in cases on Saturday, adding 11,458 confirmed infections and taking the its total count to more than 300,000, according to data from the federal health ministry.
India is the fourth-worst affected country in the world, having passed the UK on Friday, with cases steadily increasingly despite a nationwide lockdown that began in late March and has since been loosened.
China reported 11 new cases on Saturday, including six domestic cases in the capital, Beijing, that raised concerns about a resurgence. Most of China’s cases in recent months have been overseas nationals tested as they returned home. The new cases have prompted Beijing officials to delay the return of students to primary schools and suspend all sporting events and group dining. City authorities on Friday also closed two markets visited by one of the known cases.
The first new case in Beijing after two months – who had no recent travel history outside the city – was reported on Thursday, and authorities confirmed two more infections the next day. The other five cases reported Saturday were brought in from overseas.
New Zealand has now gone for 22 days in a row without recording a new case. Following the recovery of an Auckland woman on Monday, it has no known active cases of Covid-19, and no one is in hospital with the virus.
Le premier vol habité de SpaceX a décollé avec deux astronautes à son bord
Les astronautes américains Bob Behnken et Doug Hurley se sont envolés, samedi, du centre spatial Kennedy en Floride à bord d’une fusée SpaceX. La société privée appartenant à Elon Musk est la première à se voir confier par la Nasa une mission aussi prestigieuse et risquée.
La capsule de SpaceX s’est amarrée, les astronautes américains sont dans l’ISS
Après la réussite du décollage du premier vol habité de SpaceX samedi de Floride, la capsule Crew Dragon s’est amarrée comme prévu dimanche à la Station spatiale internationale (ISS). les deux astronautes, Bob Behnken et Doug Hurley, sont maintenant à bors de l’ISS.
Trump cuts all ties with WHO, continues to blast China for COVID-19 response and Hong Kong laws
U.S. President Donald Trump officially cut ties with the World Health Organization, continued to criticize China for its COVID-19 response and blasted the country for a new law targeting Hong Kong. Priviledges granted to Hong Kong to be suppressed.
Donald Trump choisit la guerre froide avec la Chine
Le président américain a acté la cassure en multipliant les gestes de défiance, notamment à propos de Hongkong. Sa détermination tranche avec la mansuétude dont il a longtemps fait preuve à l’égard de la Chine.
Entre la Chine et les Etats-Unis, l’heure est désormais à la guerre froide. Donald Trump l’a acté, vendredi 29 mai, en multipliant les gestes de défiance vis-à-vis de Pékin. Le président des Etats-Unis va ainsi lancer le processus de révocation des exemptions accordées à Hongkong, du fait de la remise en cause de son statut spécial par les autorités chinoises.
« Cette décision aura un impact sur l’ensemble des accords que nous avons avec Hongkong », a assuré Donald Trump, qui a qualifié de « tragédie pour le peuple de Hongkong, pour la Chine, et pour le monde entier » les atteintes contre l’autonomie concédée en 1997 par les autorités chinoises, lors de la rétrocession du territoire à la Chine par la Couronne britannique. Cette autonomie devait s’étendre pendant un demi-siècle. Pékin « n’a pas tenu sa parole », a assuré le président après le feu vert donné à une loi de sécurité nationale par le Parlement chinois. « La Chine a remplacé sa formule promise “un pays, deux systèmes”, par “un pays, un système” », a-t-il ajouté.
Facebook refuse de supprimer les publications de Donald Trump
Twitter avait signalé une publication du président américain pour «apologie de la violence».

Donald Trump, se sentant victime d’une censure politique, a engagé une bataille contre Twitter qui a supprimé l’une de ses publications concernant les émeutes dans le Minnesota. Contrairement au réseau social à l’oiseau bleu, Facebook a décidé de ne pas masquer les messages du président américain.
Dans une publication sur son réseau social, le fondateur Mark Zuckerberg a expliqué son choix : «Je sais que beaucoup de gens nous en veulent de ne pas avoir modéré les publications du président, mais nous pensons que nous devons permettre toute expression tant qu’elle n’implique pas de risque imminent.«
Il avait déjà défendu cette prise de position sur Fox News : «Nous avons une politique différente. J’ai simplement la conviction que Facebook ne devrait pas être l’arbitre de la vérité de ce que les gens disent sur Internet«. Ce qui lui a valu d’être pointé du doigt par de nombreux internautes, estimant qu’il prenait le parti de Donald Trump.
Fake News: Trump contredit par Twitter, une première
À cause de l’épidémie de coronavirus, les votes vont se faire par correspondance aux États-Unis. Une pratique que Donald Trump n’apprécie pas beaucoup. D’ailleurs, ces dernières heures, il a publié un message contre une supposée fraude électorale en Californie.
Mais la nouvelle fonctionnalité de Twitter a classé son tweet dans la liste de ceux supposés diffuser des fausses informations. En effet, la mention « obtenez les faits sur les votes sur correspondance » est apparue en bas de celui-ci. Bien évidemment, cela n’a pas plu à Donald Trump. Mais ce dernier n’est pas le seul dirigeant à être victime du redressement de Twitter.
Ce réseau social a aussi supprimé des tweets du président brésilien Jair Bolsonaro fin mars.
Selon la BBC sur les Fake news: Twitter invite ses utilisateurs à vérifier des déclarations de Trump

Pour la première fois, un message du président américain Donald Trump a été accompagné par la mention « fact-check » sur Twitter.
Le président Trump a tweeté : « Il n’y a AUCUN moyen (ZERO !) que les bulletins de vote par correspondance soient moins que substantiellement frauduleux. »
Twitter a apposé une étiquette d’avertissement sous le message et un tweet ultérieur dans le cadre de sa nouvelle politique sur les informations trompeuses.
M. Trump a répondu en tweetant à nouveau, déclarant que le géant des médias sociaux « étouffe complètement la liberté d’expression ».
« Et en tant que président, je ne permettrai pas que cela se produise », a-t-il déclaré, accusant Twitter d’interférer dans l’élection présidentielle de 2020 aux États-Unis.
La notification de Twitter affiche un point d’exclamation bleu sous les tweets, suggérant aux lecteurs de « se renseigner sur les bulletins de vote par correspondance »
Coronavirus : Le Japon sort de l’état d’urgence et prend la route du déconfinement
- Le Premier ministre nippon a annoncé ce lundi la levée de l’état d’urgence dans tout l’Archipel.
- En vigueur depuis le 7 avril, il avait été progressivement levé dans 42 des 47 départements japonais.
- Le déconfinement peut désormais commencer, par étapes, à Tokyo et dans son agglomération.
Un pas supplémentaire vers un retour à la normale encore lointain. Le Premier ministre nippon Shinzo Abe a déclaré ce lundi la levée de l’état d’urgence dans l’ensemble du Japon, où la pandémie de coronavirus a fait 839 morts, attirant l’attention sur l’aspect « effrayant » du virus, qui « continuera à exister autour de nous et recommencera à se propager si l’on relâche notre vigilance ».
L’état d’urgence, d’abord déclaré début avril dans sept départements japonais, avait été étendu à l’ensemble du pays dix jours plus tard, permettant aux gouverneurs locaux de demander à la population d’éviter les sorties non indispensables et à certains commerces de cesser ou de restreindre leurs activités. Prévu pour un mois initialement, il avait été prolongé jusqu’au 31 mai, mais par la suite levé progressivement. Depuis jeudi, il ne concernait plus que Tokyo et trois départements environnants, où se concentrent plus de 35 millions d’habitants et la moitié des 16.600 cas recensés en tout au Japon, ainsi que l’île septentrionale d’Hokkaido.
Lundi, le panel d’experts qui conseille le gouvernement pendant la crise du coronavirus a jugé que la situation ne nécessitait pas le maintien du pays sous état d’urgence. L’un des objectifs fixés, un nombre de nouveaux cas de contaminations hebdomadaires inférieur à 0,5 pour 100.000 habitants, a été atteint à Tokyo (0,36 entre lundi dernier et dimanche) et dans deux autres départements, mais reste légèrement supérieur dans la région de Yokohama et à Hokkaido. Soulignant des critères « très stricts », Shinzo Abe a vanté « la force du modèle japonais » qui a permis de les satisfaire alors que l’état d’urgence n’est pas assorti d’amendes en cas de non-respect des recommandations.
(20minutes.fr)
Le prix Templeton décerné au généticien américain Francis Collins
Olivier Bonnel – Cité du Vatican

Son visage est célèbre depuis quelques semaines car, de par son statut de directeur du NIH, l’Institut national américain de santé, il est en première lignes aux côté de l’administration américaine pour lutter contre l’épidémie de Covid dans son pays. Mais Francis Collins est avant tout une personnalité très respectée dans la communauté scientifique mondiale. Il a reçu le 20 mai le prestigieux prix Templeton qui fêtait sa 50 ème édition. Selon un communiqué de la fondation britannique, le lauréat est récompensé pour « avoir démontré comment la foi religieuse peut motiver et inspirer une recherche scientifique rigoureuse ».
Célèbre en 2003 pour avoir annoncé avoir séquencé en entier le génôme humain, après des années de travail en compagnie de ces équipes, ce médecin généticien de 70 ans a publié en 2006 « le langage de Dieu », un ouvrage best-seller et qui dresse un pont entre sa recherche scientifique et sa foi en Dieu, racontant son passage de l’athéisme des années 70 à sa conversion au christianisme évangélique.
Membre de l’Académie pontificale des Sciences
Nommé en 2009 par Benoît XVI à l’Académie pontificale des sciences, le Dr Collins a enseigné la médecine interne et la génétique humaine à l’Université du Michigan avant de diriger l’équipe de chercheurs qui a déchiffré le génome humain.
«Le Dr Collins incarne les idéaux et croyances fondamentaux qui ont inspiré mon grand-père à créer le prix Templeton : que la recherche rigoureuse, en particulier dans le domaine de la science, peut aider l’humanité à aborder les questions les plus profondes et les plus difficiles de l’existence», a commenté la présidente de la Fondation, Heather Templeton Dill.
«Comme philosophe et théologien amateur, je suis profondément honoré de recevoir le prix Templeton» a t-il réagit sur son compte Twitter. Créé en 1972, le prix Templeton a récompensé des personnalités aussi diverses que le Dalaï-lama, Sainte Teresa de Calcutta, le rabbin Jonathan Sacks, frère Roger, fondateur de la communauté de Taizé, Chiara Lubich, fondatrice du mouvement des Focolari ou encore le roi Abdallah II de Jordanie.
Covid Organics ou Tambavy CVO: le DG de l’OMS soutient les initiatives malagasy
Au cours d’une visio-conférence avec le président Rajoelina, le DG de l’OMS a invité Madagascar à participer au « Solidarity trial » qui est un programme international sur des essais cliniques des nouveaux traitements inventés afin d’enrayer la propagation de la pandémie Covid-19.
Bulgarian fossils show early arrival of Homo sapiens into Europe
WASHINGTON (Reuters) – Fragmentary bone fossils and a molar found in Bulgaria dated to roughly 45,000 years ago show that Homo sapiens populations swept into Europe – until then a bastion for the Neanderthals – earlier than previously known, scientists said on Monday.

Researchers said DNA from the five fossils from Bulgaria’s Bacho Kiro cave demonstrated they belonged to anatomically modern Homo sapiens. This evidence resolved a debate over who made a remarkable array of artifacts at the site including stone and bone tools and pendants made of the teeth of cave bears – it was our species in the cave and not Neanderthals.
The research pushes back by thousands of years the arrival of Homo sapiens in Europe, a milestone in the history of a species that arose in Africa about 300,000 years ago and then spread worldwide.
Human remains from the cave range from 43,000 to 46,000 years old while associated artifacts were up to 47,000 years old, said paleoanthropologist Jean-Jacques Hublin, director of the Department of Human Evolution at the Max Planck Institute for Evolutionary Anthropology in Germany.
