Argentine
David Cameron aux Malouines, une présence et des propos qui mettent les gouverneurs argentins en colère
Alors que David Cameron vient de réaffirmer l’appartenance des Malouines à « la famille britannique », les gouverneurs argentins se disent prêts à retrouver leur territoire colonisé.

INTERNATIONAL- Une présence qui n’a pas fait l’unanimité. Le chef de la diplomatie britannique, David Cameron a visité lundi 19 février, les îles Malouines, dont la souveraineté est disputée entre le Royaume-Uni et l’Argentine. Durant cette rencontre, l’homme politique s’est empressé de réaffirmer l’appartenance à la « famille britannique » de ce territoire. Des propos qui n’ont pas plu aux gouverneurs argentins.INTERNATIONAL- Une présence qui n’a pas fait l’unanimité. Le chef de la diplomatie britannique, David Cameron a visité lundi 19 février, les îles Malouines, dont la souveraineté est disputée entre le Royaume-Uni et l’Argentine. Durant cette rencontre, l’homme politique s’est empressé de réaffirmer l’appartenance à la « famille britannique » de ce territoire. Des propos qui n’ont pas plu aux gouverneurs argentins.
Le désaccord remonte aux années 1980. Les îles Malouines, situées à 400 kilomètres des côtes argentines et à presque 13 000 km du Royaume-Uni ont été disputées par Londres et Buenos Aires lors d’un conflit éclair en 1982, qui a fait plus de 900 morts des deux côtés en 74 jours.
Pour l’Argentine, ces îles arides héritées de la couronne espagnole après l’indépendance du pays ont été occupées par les troupes britanniques en 1833, le gouverneur et les colons argentins étant alors expulsés vers le continent. Depuis les années 1980, ce territoire est resté dans le giron britannique et ne semble pas prêt d’appartenir à l’Argentine, comme le montre le référendum de 2013, où la quasi-totalité des 2 000 habitants de ces îles ont approuvé le maintien sous contrôle britannique.
Le voyage de David Cameron était la première visite d’un ministre des Affaires étrangères aux Malouines depuis près de trente ans. Celle-ci lui a permis de découvrir plusieurs champs de bataille du conflit de 1982, afin de rendre hommage aux 255 soldats britanniques qui ont perdu la vie. Il en a aussi profité pour exprimer son souhait que ce rattachement avec le Royaume-Uni dure « longtemps, très longtemps, peut-être pour toujours ».
David Cameron a aussi fait savoir aux habitants que tant qu’ils souhaitaient rester dans la « famille britannique », ils étaient « absolument bienvenus » et recevraient le soutien et la protection de Londres, a rapporté l’agence de presse britannique PA.
L’Argentine prête à récupérer les îles Malouines
Néanmoins, sa visite n’a pas fait l’unanimité et a réveillé beaucoup de tensions. La présence de David Cameron a même suscité la colère de Gustavo Melella. Selon le gouverneur de la province argentine de Terre de Feu, qui engloberait les Malouines compte tenu des revendications de Buenos Aires, ce voyage constitue « une nouvelle provocation du Royaume-Uni, qui cherche à saper nos droits souverains légitimes sur nos territoires, et à soutenir le colonialisme au XXIe siècle », a-t-il déclaré sur le réseau social X.
Gustavo Melella n’est pas le seul à s’être exprimé puisque le président argentin Javier Milei a aussi fait part de son intention de « récupérer » les Malouines de manière diplomatique ».
Mais cette récupération ne semble pas gagner d’avance dans la mesure où David Cameron a fait savoir dans un communiqué que la question de la souveraineté des Malouines « ne sera pas discutée » tant qu’elles « voudront continuer à faire partie (de la famille britannique) ».
Le chef de la diplomatie britannique a aussi souligné qu’il réaffirmerait « l’engagement du Royaume-Uni à défendre le droit des habitants à l’autodétermination ».
(source: huffingtonpost.fr)
En Argentine, le président ultralibéral Javier Milei confronté à une première grève générale contre ses mesures
Alors qu’un vaste projet de loi comportant plus de 600 articles est en discussion au Parlement, le gouvernement a reculé sur certains points, mais n’envisage pas de dialoguer avec la Confédération générale du travail, la première force syndicale du pays.

Un record de précocité. Mercredi 24 janvier, soit seulement quarante-cinq jours après son arrivée au pouvoir, le président ultralibéral argentin, Javier Milei, était confronté à sa première grève générale. Du jamais-vu depuis le retour à la démocratie, en 1983. La principale centrale syndicale du pays, la Confédération générale du travail (CGT, revendiquant 7 millions d’affiliés) et d’autres syndicats et organisations de gauche appelaient à des rassemblements massifs dans Buenos Aires et dans d’autres villes du pays, contre le démantèlement de l’Etat voulu par le gouvernement.
« Quand tout sera privé, nous serons privés de tout », « La patrie n’est pas à vendre », « Manger n’est pas un privilège » : les pancartes relayaient l’opposition aux mesures libérales portées par le gouvernement. Au total, 80 000 personnes ont défilé dans la capitale du pays, selon la police, plus de 600 000 selon la CGT. Une mobilisation « pacifique », selon ce que rapporte au Monde le syndicat, alors que, depuis des semaines, le gouvernement durcit son discours sécuritaire, en menaçant, par exemple, de supprimer les aides sociales aux manifestants coupant la circulation.
« Cette grève est très rapide, car Javier Milei l’a aussi été dans ses mesures, avec des changements qui touchent directement les syndicats. La CGT souhaite marquer le terrain. Elle y est parvenue, car la mobilisation dans la rue a été importante », analyse Facundo Cruz, politologue à l’université de Buenos Aires. De nombreux commerces sont restés ouverts, et les transports actifs en journée dans Buenos Aires et sa banlieue, afin de faciliter la mobilisation des manifestants.
« On demande aux députés (…) de ne pas trahir les travailleurs », a déclaré Pablo Moyano, cosecrétaire de la CGT, de la place jouxtant le Congrès, où se rassemblaient les manifestants. Il a particulièrement visé les députés péronistes, au pouvoir jusqu’en décembre 2023 : « Qu’ils disent publiquement s’ils sont du côté des travailleurs ou des corporations et du modèle économique portés par Javier Milei. »
Reculs du gouvernement
Car l’avenir des réformes du président ultralibéral se joue actuellement au Parlement. Appelés à siéger lors de sessions extraordinaires jusqu’au 15 février, les députés doivent se prononcer sur un projet de loi touffu, comportant plus de six cents articles, dévoilé le 27 décembre.
Dans le cadre de négociations en commission, le gouvernement, qui a reconnu des « erreurs » de rédaction, a reculé sur plusieurs points sensibles : la firme pétrolière YPF ne fait plus partie des entreprises à privatiser ; …
(source: lemonde.fr)
CDM – Foot Qatar: le Prince MbS offre une Rolls Royce Phantom à tous les joueurs saoudiens
Tous les joueurs arabe saoudien appelé avoir reçu un cadeaufou du prince d’Arabie saoudite Mohammed bin Salman (MbS) après avoir remporté 2-1 contre l’Argentine en Coupe du monde 2022.
L’Arabie saoudite s’est montrée impressionnante lors du premier match de la Coupe du monde 2022 contrel’Argentine, championne de la Copa America, au stade Lusail, mardi 22/11.
Laissée à la traîne par un penalty de Lionel Messi à la 10e minute, l’Arabie Saoudite menait 2-1 en seconde périodegrâce à Saleh Al Shehri (48e) et Salem Al Dawsari (53e).
La victoire sur l’Argentine a placé les Green Falcons en tête du groupe C en récoltant trois points.
Non seulement cela, l’Arabie saoudite a également battu un certain nombre de records, à commencer par la première équipe asiatique à marquer contre l’Argentine avec deux buts, la première victoire lors du premier match de la Coupe du monde, à la première victoire sur l’Albiceleste.
La belle performance de l’équipe d’Hervé Renard a été saluéepar le Royaume d’Arabie Saoudite. Le prince saoudienMohammed bin Salman Al Saud aurait offert à chaque joueursaoudien une voiture Rolls Royce Phantom en cadeau après une fantastique victoire contre l’Argentine.
Le cadeau fou de Prince MbS au joueur saoudien est devenuviral sur les réseaux sociaux Twitter. L’homme d’affairesindien Suhel Seth était l’un de ceux qui ont mis en ligne la nouvelle qu’un joueur saoudien avait obtenu une Rolls Royce de Prince MbS.
Un activiste bien connu des médias sociaux qui est égalementdentiste, Awab Alvi, a déclaré que tous les joueurs saoudiensavaient des voitures Phantom Rolls Royce.
Cité de Rolls-Royce Pasadenale prix du type Phantom sorti en 2022 varie de 460 000 à 550 000 USD, soit l’équivalent de Rs19.5 million hors taxe à Rs 23.3 million hors taxe.
(source: minorityvoice.info/)
Après l’Argentine, le Guatemala : un amendement pro-avortement retiré sous la pression populaire avant même son vote au parlement

Il y a un mois le Sénat argentin rejetait une loi légalisant l’avortement. Sous la pression populaire, le parlement guatémaltèque vient de retirer un amendement proposé par le parti de gauche (opposition) Convergencia pour autoriser les jeunes filles mineures à avorter jusqu’à la 12e semaine en cas d’abus sexuels. Au Guatemala, l’avortement n’est autorisé qu’en cas de risque grave pour la vie de la femme enceinte. Ce pays d’Amérique centrale est un ferme défenseur du droit à la vie de la conception à la mort naturelle, et l’année dernière il n’a pas hésité à recourir à l’armée pour bloquer le bateau de l’ONG néerlandaise Women on Waves qui prétendait distribuer illégalement des pilules abortives. En décembre, la Cour suprême du Guatemala interdisait la distribution d’un manuel de « santé reproductive » de l’ONU favorable à l’avortement et le dimanche 2 septembre une grande marche contre la légalisation de l’avortement se déroulait dans la capitale. Quelques jours avant la marche pour la vie, le président Jimmy Morales redisait clairement son opposition à l’avortement et aux « mariages » entre personnes du même sexe.
( … lire l’intégralité sur reinformation.tv)
