bombe atomique
Oppenheimer | Le père de la bombe atomique | Biographie complète
Robert Oppenheimer, connu en tant que créateur de la bombe atomique, était un physicien américain, un homme d’une extraordinaire intelligence et une personne simplement incroyable et extraordinaire. Robert Oppenheimer a-t-il regretté la création de la bombe atomique ? A quelles difficultés Robert Oppenheimer a-t-il dû faire face lors de la création de la bombe atomique ? Oppenheimer était-il un vilain ou un génie ? C’est Le Biographe. Dans notre vidéo du jour, nous parlerons de la création de la bombe atomique et de l’homme dont l’invention a scindé la vie entre avant et après – Robert Oppenheimer.
Comment les Russes ont eu la bombe atomique
Staline envoie dès 1941 Elisabeth Zaroubine, une espionne, voler les plans de la bombe atomique américaine et infiltrer les milieux scientifiques, qui comptent des personnalités comme Albert Einstein. Elle parviendra à convaincre des chercheurs européens de l’équipe d’Oppenheimer de partager les plans pour que l’arme atomique ne reste pas entre les mains d’une seule puissance.
Quand l’URSS déroba les plans de la bombe atomique américaine – Projet Manhattan
Les États-Unis vont développer une nouvelle bombe atomique
La bombe à gravité B61-13, trente fois plus puissante que celle d’Hiroshima, figurera parmi les armes nucléaires tactiques de l’arsenal américain.
Le département américain de la Défense a annoncé vendredi 27 octobre le développement d’une nouvelle bombe nucléaire à gravité, la B61-13, variante modernisée des traditionnelles B61. Cette décision est néanmoins tributaire de «l’autorisation et de l’approbation du Congrès», le Parlement américain, précise le communiqué du DoD (Department of Defense) qui ajoute que «la production de la B61-13 n’augmentera pas le nombre total d’armes dans notre stock nucléaire».
Les nouvelles B61-13 remplaceraient officiellement certaines B61-7 qui figurent dans l’arsenal nucléaire tactique américain, lequel comprend à ce jour environ 200 bombes B61, dont une centaine déployée en Europe. Le développement de cette nouvelle arme nucléaire tactique «reflète un environnement de sécurité changeant et des menaces croissantes émanant d’adversaires potentiels», a affirmé le secrétaire adjoint à la Défense, John Plumb, qui observe que «les États-Unis ont la responsabilité de continuer à déployer les capacités dont nous avons besoin pour dissuader de manière crédible et, si nécessaire, répondre aux attaques stratégiques, et rassurer nos alliés».
Le père de la bombe atomique au Pakistan A.Q. Khan est mort à 85 ans

Le scientifique, qui avait fait du pays la première puissance nucléaire islamique, était accusé d’avoir diffusé illégalement des technologies vers l’Iran, la Corée du Nord et la Libye.
Abdul Qadeer Khan, père de la bombe atomique au Pakistan et héros national pour ses admirateurs, est mort à 85 ans, ont indiqué les autorités pakistanaises dimanche, après avoir été testé positif au Covid-19 et hospitalisé plusieurs fois depuis août. Le scientifique nucléaire pakistanais, admiré pour avoir fait du pays la première puissance nucléaire islamique, mais accusé d’avoir diffusé illégalement des technologies vers l’Iran,la Corée du Nord et la Libye, est mort après avoir été transféré à l’hôpital KRL d’Islamabad pour des problèmes pulmonaires, selon la télévision pakistanaise publique PTV.
Le Dr Khan avait déjà été hospitalisé dans cet établissement en août après avoir été testé positif au Covid, puis renvoyé chez lui, avant que son état ne se dégrade dimanche matin, a précisé la chaîne. Le président pakistanais Arif Alvi s’est dit sur Twitter «profondément attristé» par le décès du scientifique, qu’il connaissait depuis 1982. «Il nous a aidés à développer une dissuasion nucléaire critique pour la survie de la nation, et le pays, reconnaissant, n’oubliera jamais ses services», a déclaré Arif Alvi.
Au coeur d’une polémique
Le Dr Khan avait gagné son statut de héros national en mai 1998 lorsque la République islamique du Pakistan est devenue officiellement une puissance atomique militaire, grâce à des essais conduits quelques jours après ceux de l’Inde, l’éternelle rivale. Il s’est ensuite retrouvé au cœur d’une polémique, accusé de diffuser illégalement des technologies, et a été placé de facto en résidence surveillée à Islamabad à partir de 2004.
Atteint d’un cancer de la prostate en 2006, il s’était remis grâce à une opération. En 2009, un tribunal avait prononcé la fin de son placement en résidence surveillée. Depuis, il était resté soumis à une protection ultra-rapprochée, contraint d’informer à l’avance les autorités de chacun de ses mouvements.
(source: Le Figaro)