Merkel
Merkel and Johnson Blame Trump for Riot, but Europe Also Expresses Hope
As America’s European allies digested events that rocked Washington, many expressed faith in the strength of U.S. democracy to prevail.

BERLIN — Chancellor Angela Merkel of Germany and Prime Minister Boris Johnson of Britain on Thursday placed the blame for mob violence at the U.S. Capitol squarely on President Trump.
Ms. Merkel and other leaders of the United States’ strongest allies in Europe expressed faith in the strength of American democracy, although Mr. Johnson said that the riot had undermined the image of the United States.
“These pictures made me angry and sad,” Ms. Merkel said, speaking before an online gathering of her conservative party’s Bavarian partners, the Christian Social Union, minutes after the United States Congress confirmed President-elect Joseph R. Biden Jr.’s victory.
“I deeply regret that since November, President Trump has not accepted that he lost, and did not do so again yesterday,” Ms. Merkel said. “He stoked uncertainties about the election outcome, and that created an atmosphere that made the events of last night possible.”
Speaking at a news conference in London, Mr. Johnson condemned Mr. Trump for encouraging mob violence.
“Insofar as he encouraged people to storm the Capitol, and insofar as the president consistently has cast doubt on the outcome of a free and fair election, I believe that that was completely wrong,” Mr. Johnson said at a news conference in London.
He said he wanted to “unreservedly condemn encouraging people to behave in the disgraceful way that they did in the Capitol.”
Mr. Johnson, who until recently cultivated close ties to Mr. Trump, suggested that the values America represented for the rest of the world had been endangered.
“All my life America has stood for some very important things, an idea of freedom and an idea of democracy,” Mr. Johnson said.
(source: nytimes.com)
La CDU tourne la page Merkel, après 18 ans de règne: Annegret Kramp-Karrenbauer lui succède
Agée de 56 ans, celle qui en était depuis dix mois la secrétaire générale a été élue, vendredi 7 décembre, à Hambourg, présidente de l’Union chrétienne-démocrate (CDU).

De fait, les différences entre les deux femmes sont nombreuses. Née en 1962 dans la Sarre, près de la frontière française, où elle a fait toute sa carrière politique, catholique pratiquante et mère de trois enfants, « AKK » n’incarne pas la même Allemagne que Mme Merkel, fille de pasteur protestant, élevée à l’est du rideau de fer et dont le fief électoral se trouve à Stralsund (Mecklembourg-Poméranie-Occidentale), au bord de la Baltique, en ex-République démocratique allemande.
Merkel soutient Macron sur la création d’une armée européenne
Après les offensives répétées de Donald Trump ce mardi, la chancelière allemande s’est rangée aux côtés d’Emmanuel Macron sur la question de la création d’une armée européenne.

Angela Merkel a apporté son soutien au président français Emmanuel Macron ce mardi, prônant à son tour la création d' »une armée européenne », à laquelle le président américain Donald Trump est fermement opposé.
Dans un discours au parlement européen à Strasbourg sur sa vision de l’Europe, Angela Merkel a appelé à « élaborer une vision nous permettant d’arriver un jour à une véritable armée européenne », se faisant applaudir par son camp des députés de droite du Parti Populaire Européen (PPE) et huer par des eurosceptiques d’extrême droite.
« Ce n’est pas une armée contre l’Otan »
Deux jours après avoir célébré le centenaire de l’Armistice à Paris aux côtés d’Emmanuel Macron, Angela Merkel a rappelé aux eurodéputés les propos du président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, il y a quatre ans : « une armée commune européenne montrerait au monde qu’entre les pays européens, il n’y aura plus jamais de guerre ».
Tentant de prévenir les critiques, la dirigeante allemande a lancé: « Ce n’est pas une armée contre l’Otan, je vous en prie ».
La création d’une force militaire européenne inquiète non seulement Donald Trump mais aussi l’Otan. Son secrétaire général, Jens Stoltenberg, a mis en garde lundi contre tout éventuel renforcement de l’Europe de la défense au détriment de l’Alliance atlantique.
Des propos vagues
La chancelière allemande n’a cependant pas précisé quand cette armée européenne pourrait être créée et n’a pas donné de détails sur cette force militaire. Le caractère vague de ces propos a été aussitôt critiqué par l’eurodéputé français des Républicains Arnaud Danjean sur Twitter : « quelle chaîne de commandement? Quelle responsable politique? Quelles règles d’engagement? ».
(source: bfmtv)
Angela Merkel ne briguera pas de nouveau mandat et renonce à la présidence de la CDU
Angela Merkel a annoncé lundi la fin de sa carrière politique en affirmant qu’elle ne briguerait pas de nouveau mandat de chancelière en 2021 ainsi que sa décision de renoncer en décembre à la présidence de son parti, l’Union chrétienne-démocrate.

Bientôt la fin d’une ère. Angela Merkel a confirmé, lundi 29 octobre, qu’elle ne briguerait pas de nouveau mandat de chancelière en 2021 et a également annoncé qu’elle ne serait pas candidate à sa réélection à la présidence de son parti, lors d’une conférence de l’Union chrétienne-démocrate (CDU) qui aura lieu en décembre.
Assumant la responsabilité des événements qui se sont succédé depuis les législatives de septembre 2017, la chancelière allemande, qui s’exprimait au lendemain d’une nouvelle débâcle électorale des partis de sa coalition dans le Land de Hesse, a précisé qu’elle ne serait pas candidate en cas d’élections anticipées.
« Ce mandat est mon dernier en tant que chancelière », a-t-elle dit devant la presse, précisant qu’elle ne solliciterait « aucune fonction politique après la fin de [son] mandat en 2021 », signant ainsi la fin de sa carrière politique.
« Je crois que nous avons besoin de tourner la page »
Merkel, qui dirige le gouvernement fédéral allemand depuis 2005, a jugé que son gouvernement de coalition, difficilement négocié entre ses conservateurs de la CDU-CSU et les sociaux-démocrates du SPD, avait perdu sa crédibilité.
« Je crois que nous avons besoin de tourner la page », a-t-elle encore dit, alors que les alliés de sa « Grande coalition » ont essuyé à quinze jours d’intervalle de sérieux revers électoraux aux scrutins régionaux en Bavière puis dans le Land de Hesse.
Angela Merkel, âgée de 64 ans, présidente de la CDU depuis 2000, a également annoncé qu’elle laisserait quelqu’un d’autre prendre la tête de son parti en décembre prochain. Elle avait pourtant jusqu’ici toujours dit considérer que la présidence de son parti et la chancellerie allaient de pair, au risque sinon pour le chef du gouvernement de perdre en crédibilité et en autorité. En agissant ainsi, elle permet donc à une ou un successeur d’émerger.
Les prochaines élections législatives sont prévues en 2021. Angela Merkel n’a pas caché son soutien à la secrétaire générale de la CDU, Annegret Kramp-Karrenbauer.
Avec AFP et Reuters
Conférence de presse conjointe de Poutine et d’Angela Merkel à Sotchi
Le président russe et la chancelière allemande s’adressent conjointement à la presse depuis Sotchi, dans un contexte international particulièrement chargé, notamment sur fond de tensions entre Washington et l’Europe quant à l’accord iranien.
Martin Schulz renonce à entrer dans le prochain gouvernement d’Angela Merkel
ALLEMAGNE – Il n’y était pas encore officiellement entré, qu’il lui faut déjà en sortir. Ce vendredi 9 février, Martin Schulz a indiqué qu’il renonçait à entrer dans le prochain gouvernement d’Angela Merkel, où il était pressenti au poste de ministre des Affaires Etrangères.

« Je déclare par la présente renoncer à mon entrée au gouvernement », dit-il dans un communiqué, alors qu’il avait revendiqué le poste de chef de la diplomatie mercredi, dans le cadre d’un accord de coalition difficilement conclu avec Angela Merkel et la CDU/CSU.
Cette annonce intervient alors que l’actuel ministre en poste, le social-démocrate Sigmar Gabriel, a implicitement critiqué les ambitions de Martin Schulz. « Ce qui reste, c’est seulement le regret de voir à quel point chez nous au SPD, on agit avec peu de respect les uns envers les autres et de voir que la parole donnée compte si peu », a jugé Sigmar Gabriel dans les colonnes du groupe de journaux régionaux Funke parus ce vendredi.
Une décision stratégique avant le référendum du SPD
Avant la conclusion de l’accord de coalition, Martin Schulz avait en effet catégoriquement exclu de rejoindre un gouvernement dirigé par la dirigeante conservatrice. L’actuel dirigeant du SPD (qui avait cependant annoncé vouloir renoncer à ce poste pour entrer au gouvernement) a donc été très critiqué au sein de son parti après son revirement.
Or, les 400.000 militants du SPD doivent encore se prononcer sur la grande coalition, au cours d’un référendum interne dont le résultat est attendu pour le 4 mars. Un résultat positif étant loin d’être acquis, Martin Schulz a expliqué qu’il se retirait pour éviter de galvaniser les opposants. « Les débats autour de ma personne menacent le succès du vote. Je déclare donc par la présente renoncer à mon entrée au gouvernement », a-t-il dit dans un communiqué.
Le quatrième gouvernement d’Angela Merkel est critiqué de toute part, alors qu’il n’a même pas pris ses fonctions. Nombre de conservateurs reprochent à la chancelière d’avoir fait trop de concessions au SPD pour conserver son poste.
(Huffpost)