Mike Pompeo
Bientôt des F16 «made in Morocco»
Des ingénieurs marocains vont moderniser les célèbres chasseurs américains pour atteindre le standard «Viper»
C’est probablement un pas de géant que le Maroc compte effectuer dans l’industrie militaire. La flotte marocaine F16 des Forces Royales Air (FRA) sera toute de standard Viper, l’un des modèles les plus performants du célèbre chasseur américain. Si un nouveau escadron sera fabriqué dans les usines de Lockheed Martin sur le sol américain, un autre escadron des FRA sera modernisé directement par les ingénieurs marocains au Royaume.
En effet, le département de la Défense américain via l’US Air Force avait attribué un contrat à Lockheed Martin, le constructeur du F-16, pour la fabrication de 24 F-16V, dans les usines de Lockheed Martin à Greenville, en Caroline du Sud et à Fort Worth, au Texas. Mais l’accord en question prévoit également l’octroi de 23 kits Viper F16 pour moderniser ses actuels F-16 marocains. Concrètement, la modernisation des 23 F-16B pour atteindre le standard Viper sera entièrement assurée par des Marocains au Maroc. Plus concrètement encore, des ingénieurs marocains feront le déplacement aux USA pour prendre part à la transformation d’un F16B au standard Viper.
La seconde étape consistera bien évidemment à la transformation de pas moins de 22 appareils à la «Base Ecoles des Forces Royales Air et l’Ecole Royale de l’Air, Marrakech» par des militaires marocains.
Pope Refuses Meeting With Pompeo
Topline
Pope Francis declined to meet with Secretary of State Mike Pompeo during his trip to Rome on Wednesday so as to avoid being used as a tool for President Trump’s reelection, according to Vatican officials, a decision that comes as Republicans attempt to baselessly accuse Democrats of resisting Trump’s Supreme Court nominee over anti-Catholic bias.

Asked by Italian news publication ANSA if the meeting was denied out of worries it would amount to “exploitation” prior to the November presidential election, Bishop Paul Richard Gallagher said, « Yes, that is precisely why the Pope will not meet American Secretary of State Mike Pompeo. »
Pompeo visited Rome on Wednesday to push back against the renewal of a 2018 deal between China and the Vatican, with some Catholic leaders like Cardinal Oscar Maradiaga saying, « They’re looking for Donald Trump to get elected, and everything is based on that logic. »
(source: forbes.com)
Washington unilaterally reimposes UN sanctions on Iran despite opposition from UN Security Council members – including US allies

He proceeded to threaten any nation that refuses to comply with Washington on the matter with « consequences, » according to the official statement.
« If UN member states fail to fulfill their obligations to implement these sanctions, the United States is prepared to use our domestic authorities to impose consequences for those failures and ensure that Iran does not reap the benefits of UN-prohibited activity. »
Pompeo promised to announce measures against those who defy the « obligations. »
However, Washington’s NATO allies UK, France and Germany have strongly opposed the move in a letter to the UN Security Council cited by AFP.
« Any decision or action taken with a view to re-installing [the sanctions] would be incapable of legal effect. »
Hours before Pompeo’s announcement, Iranian Foreign Minister Mohammad Javad Zarif called on the international community to stand against the Trump administration’s latest move against Tehran.
« The Americans as a rule act as a bully and impose sanctions. The world community should decide how to act towards bullying. »
Washington’s unilaterally-imposed UN sanctions on Iran are in force starting at 12am GMT on Sunday.
Tensions between Iran and the US reignited after the Trump administration unilaterally withdrew from the 2015 Iran nuclear deal – also known as the Joint Comprehensive Plan of Action, or JCPOA. The agreement was aimed at halting Iran’s nuclear program in exchange for sanctions relief. It was signed by Iran, the US, Russia, China, the UK, Germany and France.
(source: rt.com)
Five Afghan Women Negotiators for Peace Talks with Taliban in Doha
The #Taliban say a senior delegation has returned to #Qatar, paving the way for the start of peace talks with the Afghan government. Taliban spokesman #SuhailShaheen said efforts are being made to resolve issues.
La Cour pénale internationale sanctionnée par les États-Unis
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«Aujourd’hui nous passons de la parole aux actes, car la Cour pénale internationale continue de viser des Américains» a déclaré Mike Pompeo, lors d’une conférence de presse. Le Secrétaire d’État américain a affiché sa détermination, précisant que «tout individu ou entité qui continuerait à assister matériellement» la procureure Bensouda «s’exposait également à des sanctions». Phakiso Mochochoko, directeur de la division de la compétence, de la complémentarité et de la coopération de la juridiction qui siège à La Haye, aux Pays-Bas est également concerné par les sanctions américaines.
Des sanctions «inacceptables» pour la CPI
Depuis mars dernier, Washington avait déjà annoncé de premières sanctions, interdisant par exemple aux membres de la CPI de voyager aux Etats-Unis. Cette décision avait été prise après l’ouverture par la Cour d’une enquête pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité en Afghanistan visant des soldats américains. Des allégations de torture ont également été formulées à l’encontre de la CIA. «Nous ne tolérerons pas les tentatives illégitimes de la CPI de soumettre les Américains à sa juridiction» a rappelé le chef de la diplomatie américaine.
La CPI a condamné des sanctions «inacceptables» et «sans précédent». L’ONG Human Rights Watch dénonce, pour sa part, «une perversion ahurissante des sanctions américaines, censées pénaliser ceux qui violent les droits humains» et Amnesty International fait état d’ «une nouvelle attaque éhontée contre la justice internationale».
(Avec l’AFP)
Mer de Chine méridionale: Pompeo qualifie “d’illégales” les revendications de Pékin
Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a intensifié lundi la pression de l’administration Trump contre la Chine sur ses revendications territoriales dans la mer de Chine méridionale, affirmant que les États-Unis rompraient avec leur neutralité antérieure et condamnant comme “illégale” la politique “d’intimidation” de Pékin.

“Les affirmations de Pékin sur les ressources offshore dans la majeure partie de la mer de Chine méridionale sont totalement illégales, tout comme sa campagne d’intimidation pour les contrôler”, a déclaré le secrétaire d’Etat dans un communiqué.
M. Pompeo a expliqué que les États-Unis s’alignaient officiellement sur la décision de 2016 d’un tribunal international qui a rejeté les revendications de Pékin sur la mer de Chine méridionale comme n’ayant “aucun fondement en droit international”, indique la même source.
Pompeo ignorant on four areas on HK issues says China’s Foreign Ministry

US Secretary of State Mike Pompeo fabricates and disseminates rumors so frequently that it reveals his ignorance and prejudice against China, the spokesperson of China’s Ministry of Foreign Affairs said, highlighting four things that embody Pompeo’s ignorance.
Zhao Lijian made the remarks at a Thursday press conference, when he was asked to comment on Pompeo’s statement that Beijing treats Hong Kong as « one country, one system, » and undermines the Hong Kong people’s human rights and basic freedom.
Zhao presented four things to explain Pompeo’s ignorance.
For one, he knows nothing about the national security law for Hong Kong, which clearly states that human rights should be respected and protected. « The law punishes the very few while protecting the majority. After the law was enacted, Hong Kong’s social order will be stabilized and the business environment will be improved, which will benefit the majority of Hong Kong residents and international investors. »
Le Liban rejette les propositions de Mike Pompeo
C’est la première fois depuis la fin de la guerre civile et les accords de Taëf (1989) que les dirigeants libanais s’accordent sur leurs intérêts nationaux.
En voyage officiel au Liban, le 22 mars 2019, le secrétaire d’État US Mike Pompeo a rencontré les trois présidents : celui de l’Assemblée nationale (le musulman chiite Nabih Berri), celui du gouvernement (le musulman sunnite Saad Hariri) et celui de la République (le chrétien Michel Aoun).

Sur les questions énergétiques, il a proposé que l’État reconnaisse la ligne tracée par l’ambassadeur Frederic Hof partageant les zones maritimes israélienne et libanaise de manière à faciliter l’exploitation des réserves de gaz. Ses interlocuteurs ont refusé cette idée qui fait passer un sixième des eaux territoriales libanaises sous contrôle israélien.
Sur la question syrienne,
• il a d’abord tenté d’obtenir le ralliement du Liban à la position du « petit groupe » (Arabie saoudite, États-Unis, France, Jordanie, Royaume-Uni). Les Libanais lui ont rappelé s’être engagés en juin 2012 —à la demande de Washington— à la neutralité de l’État (déclaration de Baabda) et ne pas pouvoir changer cette position sans une large concertation ;
• il a également demandé de garder les réfugiés syriens de manière à les utiliser comme moyen de pression sur la Syrie, mais ils s’y sont opposés. Il n’y a pas de raison de les conserver au Liban alors que les combats ont cessé dans presque toute la Syrie où l’on a besoin d’eux.
(Voltairenet)
