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Trump Fails To Convince Michigan Lawmakers That Joe Biden Didn’t Win The Election
“Michigan’s certification process should be a deliberate process free from threats and intimidation,” declared state legislators.
President Donald Trump failed to convince Michigan lawmakers in a White House meeting that Joe Biden fraudulently won the presidential election in their state, they said in a statement.
“We have not yet been made aware of any information that would change the outcome of the election in Michigan, and as legislative leaders, we will follow the law and follow the normal process regarding Michigan’s electors,” state Senate Majority Leader Mike Shirkey and Speaker of the Michigan House Lee Chatfield, both Republicans, said in a joint statement.
They noted that “allegations of fraudulent behavior should be taken seriously, thoroughly investigated, and if proven, prosecuted to the full extent of the law.” But they also emphasized that “candidates who win the most votes win elections and Michigan’s electoral votes. These are simple truths that should provide confidence in our elections.”
Biden leads Trump by more than 140,000 votes in Michigan, which Trump carried in 2016 by about 11,000 votes. Trump has not yet conceded the election to his rival, making unsubstantiated claims of mass voter fraud that many Republican politicians have parroted.
(source: huffpost.com)
Aux Etats-Unis, l’obstination de Donald Trump fracture le camp républicain
Des élus ont pris leurs distances avec les thèses complotistes soutenues activement par un écosystème de médias conservateurs, ainsi que par le président américain.

Donald Trump n’a pas pu se retenir. A l’occasion d’un bref point de presse consacré aux prix des médicaments, vendredi 20 novembre, il a évoqué la « campagne, que j’ai d’ailleurs gagnée » alors que son adversaire démocrate, Joe Biden, a été déclaré vainqueur de la présidentielle depuis près deux semaines, le 7 novembre.
À deux semaines du vote, Donald Trump veut croire que rien n’est perdu
Les démocrates espèrent la victoire à portée mais restent hantés par la défaite surprise de 2016.

À deux semaines du scrutin, l’étrange élection présidentielle américaine a beau se dérouler sur un fond inédit de pandémie et de crise économique, républicains comme démocrates restent obnubilés par le précédent de 2016.
Les premiers espèrent reproduire l’exploit qui avait permis la victoire surprise de Donald Trump contre Hillary Clinton, à l’époque favorite dans les sondages. Les seconds craignent de voir se reproduire le scénario catastrophe d’une victoire populaire suivie par une défaite au collège électoral, qui décide de l’élection dans le système américain.
Avec 11 points d’avance Joe Biden, le candidat démocrate, devance largement depuis plusieurs semaines son adversaire dans les sondages nationaux. Mais ce score, en apparence confortable, rappelle de façon troublante aux démocrates les 10 points dont était créditée Hillary Clinton à quinze jours du vote quatre ans plus tôt. Et l’avance de Joe Biden se réduit dans quelques-uns des États clés, où va se jouer l’élection.
Discours de Donald Trump à l’ONU
Au premier jour de l’Assemblée générale de l’ONU, les chefs d’État prennent tour à tour la parole à l’occasion de la grand-messe diplomatique annuelle, organisée en visioconférence en raison de la crise sanitaire de Covid-19. Face au Covid-19, « nous allons distribuer un vaccin » et « mettre un terme à la pandémie, » promet le président américain Donald Trump, lors de son discours prononcé à l’ONU.
Discours du président chinois Xi Jinping à l’occasion de la 75e Assemblée générale de l’ONU
Maison Blanche: signature des accords historiques entre Israël, les Emirats arabes et le Bahrein
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a signé mardi des accords historiques avec les Émirats arabes unis et Bahreïn, qui reconnaissent désormais l’État hébreu, sous l’égide du président américain Donald Trump, à la Maison Blanche. Le président américain a évoqué l’avènement d’un « nouveau Moyen-Orient ».
Après l’annonce, la signature. Le 13 août, Israël et les Émirats ont annoncé avoir conclu, sous l’égide des États-Unis, un accord historique qui fait de la monarchie pétrolière du Golfe le troisième pays arabe à reconnaître l’État hébreu, après l’Égypte et la Jordanie. Bahreïn a décidé la semaine dernière d’en faire autant. Mardi 15 septembre, les Émirats et Bahreïn ont donc signé les accords de normalisation avec Israël lors d’une cérémonie à la Maison Blanche. Cette cérémonie, présidée par Donald Trump, s’est déroulée en présence de plusieurs centaines de personnes sur les pelouses de la Maison Blanche.
« Quand je suis arrivé, on m’avait dit que ce serait impossible », s’est félicité mardi matin le président américain, assurant que « beaucoup d’autres » pays arabes suivraient cet exemple, ainsi que les Palestiniens. « Nous sommes très avancés avec environ cinq pays, cinq pays supplémentaires », a ajouté Donald Trump dans le Bureau ovale en compagnie du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu.
Pays du Golfe: Bahreïn normalise ses relations avec Israël
Le petit royaume de Bahreïn rejoint les Émirats arabes unis (EAU) pour signer un accord établissant des relations diplomatiques avec Israël.
C’est le président américain Donald Trump qui a annoncé cet accord, tout comme il l’avait fait il y a près d’un mois pour celui intervenu entre les Émirats arabes unis et Israël.
L’accord sera signé officiellement lors d’une cérémonie à Washington mardi prochain en présence du ministre bahreïni des Affaires étrangères, Abdullatif ben Rashid al Zayani, du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et du chef de la diplomatie émiratie, Abdullah ben Zayed al Nahyan.
L’établissement des relations diplomatiques entre Israël et les alliés arabes des États-Unis est un objectif clé de la stratégie de M. Trump au Moyen-Orient pour isoler l’Iran.
La République islamique d’Iran est devenue depuis plusieurs années l’ennemi commun de Washington, d’Israël et de la majorité des monarchies du Golfe.
Bahreïn, dont la majorité de la population est chiite, accuse notamment Téhéran d’instrumentaliser cette communauté contre la dynastie sunnite régnante.
Un coup de poignard
L’Autorité palestinienne et le Hamas ont immédiatement fustigé cette annonce comme ils l’avaient fait pour l’accord avec les Émirats arabes unis.
Donald Trump sanctionné par Facebook et Twitter, après des propos jugés mensongers sur la pandémie
Les deux réseaux sociaux ont fait retirer mercredi une vidéo dans laquelle Donald Trump expliquait, dans un entretien à la chaîne Fox News, que les enfants étaient « presque totalement » immunisés, de par leur âge, contre le Covid-19.
Négociations entre TikTok et Microsoft : le feu vert… et l’ultimatum de Donald Trump
Le président américain a validé les discussions entre l’application chinoise et le géant américain, mais réclame un accord avant le 15 septembre. En cas d’échec, ce sera l’interdiction.

La guerre technologique entre les Etats-Unis et la Chine se poursuit, les Américains ne supportant pas l’émergence de géants technologiques chinois incontournables en Occident. Après Huawei, champion de la 5G, dont ils tentent d’orchestrer le boycottage, c’est au tour de l’application vidéo TikTok d’être dans le collimateur de Washington. L’administration Trump va forcer la vente du réseau social à des intérêts américains. L’application a connu un succès mondial foudroyant, y compris aux Etats-Unis, avec 180 millions de téléchargements. En cas d’échec, le président américain menace de l’interdire sur son territoire.
L’hypothèse la plus probable est un rachat des activités américaines de l’entreprise par Microsoft, qui entend poursuivre ses négociations et les boucler d’ici au 15 septembre – date butoir fixée par la Maison Blanche. C’est ce qu’a déclaré l’entreprise dans la foulée d’un entretien entre son PDG Satya Nadella et le président Donald Trump.
Ce dernier a indiqué, lundi 3 août, qu’il laisserait Microsoft mener à bien ces discussions. « J’ai dit : voyez, cela ne peut pas être contrôlé par la Chine pour des raisons de sécurité. Voilà l’accord, cela ne me gêne pas que ce soit Microsoft ou quelqu’un d’autre, une grosse entreprise, une entreprise sûre, une entreprise très américaine peut l’acheter », a déclaré M. Trump. Il a estimé, sans donner d’autres détails, que le Trésor américain devrait bénéficier de l’accord, puisque rien ne peut se faire sans lui. Et il a enfin suggéré à Microsoft d’acheter l’intégralité de l’entreprise.
Colin Powell (Républicain): « Trump s’est écarté de la Constitution », et va voter pour Joe Biden
La colère gronde aux États-Unis après la mort de Georges Floyd, cet Afro-Américain asphyxié par un policier blanc. Les manifestations se multiplient dans des centaines de villes au son de « Black Lives Matter » (La vie des Noirs compte) : Minneapolis, Washington, New York, San Francisco, Los Angeles…
A cinq mois de la présidentielle, Donald Trump dénonce les pillages et menace d’envoyer l’armée. Son rival, le démocrate Joe Biden, critique la réponse sécuritaire et dénonce un racisme institutionnel. La société américaine est-elle raciste ? Quel impact pour la présidentielle?
Saying Trump ‘drifted away’ from Constitution, Colin Powell picks Biden
CONCERNED REPUBLICANS
Several Republican groups have formed to oppose Trump’s reelection, including a super PAC, the Lincoln Project, and a new initiative called Republican Voters Against Trump, which last week kicked off a $10 million digital ad campaign.
“There are legions of privately concerned Republicans in Washington,” said Tim Miller, who advised Republican Jeb Bush’s 2016 presidential campaign and helped launch Republicans Voting Against Trump.
“That doesn’t do a whole lot for me. If you’re not willing to say it, you may as well put on the red hat,” he added, referring to Trump’s signature campaign baseball cap.
Powell said he would vote for Biden, going a step further than some other Republicans who have said they do not support Trump but have not backed his Democratic rival.
Lincoln project: ces républicains en campagne contre Trump
G7 : Trump annonce qu’il va reporter le sommet et inviter d’autres pays
Le président américain, Donald Trump, a annoncé samedi qu’il allait reporter à une date non précisée le sommet du G7 prévu en juin aux Etats-Unis et inviter d’autres pays à se joindre à la réunion, parmi lesquels la Russie.
« Je n’ai pas le sentiment que le G7 représente correctement ce qui se passe dans le monde. C’est un groupe de pays très dépassé« , a déclaré M. Trump à des journalistes dans l’avion Air Force One, ajoutant qu’il aimerait inviter la Russie, la Corée du Sud, l’Australie et l’Inde à se joindre à un sommet élargi à l’automne.
Cela pourrait se produire en septembre, avant ou après l’Assemblée générale des Nations unies, a ajouté M. Trump, précisant qu’il pourrait aussi « peut-être le faire après l’élection » présidentielle de novembre où il va briguer un second mandat. Qualifiant cette rencontre de « G-10 ou G-11 », M. Trump a indiqué avoir abordé « sommairement » le sujet avec les dirigeants des quatre pays qu’il souhaite voir se joindre à ce sommet.
