Eléonore Johasy
29 Mars 1947, Vehivavy sy Pôlitika: Rtoa isany Johasy Eléonore sy Baomiavotse V. Raharinirina
Lohahevitra: Fiandrianam-pirenena sy Fandrosoana. Mpanolotra ny fandaharana: ny minisitra sady efa solombavambahoaka teo aloha, Ramatoa Johasy Eléonore;
Vahiny: Baomiavotse Vahinala Raharinirina, minisitra sady efa Talen’ny Kabinetran’ny Fiadidiana ny Repoblika teo aloha, sy mpanolo-tsaina manokan’ny Filoham-pirenena Andry Nirina Rajoelina.
Gascar Fenosoa: Fandaharana manokana 10 Febroary 2023
Hitondran’i Rivo RAKOTOVAO – Mpandrindra Nasionalin’ny Antoko HVM – Eléonore JOHASY – Solombavambahoakan’i Madagasikara Voafidy tao Vangaindrano – VONINAHITSY Jean Eugène – Solombavambahoakan’i Madagasikara Voafidy tao Morafenobe ny heviny eo amin’ny toe-draharaham-pirenena.
Assemblée nationale – Une deuxième proposition de loi boudée

DÉPITÉE. Un sentiment palpable chez la députée Eléonore Johasy, élue à Vangaindrano. Sa proposition de loi sur l’évaluation des politiques publiques, inscrite à l’affiche de l’Assemblée nationale, hier, n’a ni été débattue, ni été votée. En fait, la séance plénière prévue, hier, dans la matinée, n’a finalement pas eu lieu.
Le scénario qui s’est joué, hier, à l’institution de Tsimbazaza, a été inédit. Selon l’ordre du jour de la Chambre basse, la séance plénière pour les débats et le vote de la proposition de loi initiée par l’élue de Vangaindrano devait démarrer à 10 heures. Comme à l’accoutumée, les députés sont arrivés un à un et en retard. Au final, quelques parlementaires ont été présents dans les travées de l’institution. Ils étaient “plus d’une vingtaine”, selon la députée Johasy.
Face au retard du coup d’envoi des débats, la députée de Vangaindrano a commencé à sortir de sa réserve, d’autant plus que la cloche devant sonner l’entrée des députés dans la salle de séance n’a toujours pas retentit. “Il a fallu que j’arpente moi-même les couloirs de l’Assemblée nationale pour demander aux députés d’entrer dans la salle de séance et que je hausse le ton pour que les responsables se décident à sonner la cloche”, déplore Eléonore Johasy.
Une fois dans la salle de séance, les députés présents ont attendu de longues minutes avant de quitter les lieux. La raison est que le perchoir de la Chambre basse a été vide. Il n’y a pas eu de membre du bureau permanent pour conduire la séance plénière. “La séance devait démarrer à 10 heures. Je suis partie à 12 heures 20 minutes, mais il n’y a eu personne au perchoir”, dénonce l’initiatrice de la proposition de loi à l’affiche.
Réflexion et soupçon