FIFA
Coupe du monde : Combien toucheront les Bleus … en cas de victoire ou défaite ?

Que ce soit en cas de victoire ou de défaite ce dimanche en finale de Coupe du monde, les Bleus et la FFF toucheront des primes conséquentes pour leur parcours au Mondial.
Un joli pactole. La Fédération française de football empochera 40,2 millions d’euros en cas de victoire de ses Bleus ce dimanche soir à Doha. Si défaite il y a contre l’Argentine, la somme de 28,5 millions d’euros sera reçue après le joli parcours des hommes de Didier Deschamps au Qatar pour la première Coupe du monde disputée dans un pays arabe. Une somme rondelette qui fera du bien aux comptes (positifs) de la plus puissante des fédérations sportives de France. Signe que la crise n’est pas la même pour tout le monde, la FIFA a octroyé des recettes plus conséquentes aux deux pays finalistes, alors que les Bleus avaient touché la somme de 32,2 M€ il y a quatre ans en Russie après leur victoire. La raison ? L’instance internationale redistribuera 411,8 millions d’euros aux trente-deux sélections présentes au Qatar, contre 322M€ en 2018. Énième preuve que la Coupe du monde reste une fabuleuse machine à cash et ne cesse de croître en termes de bénéfices.
Pour rappel, la FFF, comme elle le fait habituellement, avait simplement budgété une place de quart de finaliste, l’équivalent de 28,5 millions d’euros, ce qui permettra au final dans les prochaines semaines de bénéficier plus que prévu. Des sommes importantes qui seront reversées, en grande partie, au monde amateur. Une autre question demeure. Quid de la répartition aux principaux acteurs, à savoir les joueurs et les membres du staff de Didier Deschamps ? Sur les montants globaux, la FFF, après négociation avec les cadres de l’équipe de France, va reverser 30% des sommes perçues aux internationaux, qui sont au nombre de 26 malgré les forfaits de Karim Benzema et Lucas Hernandez, ainsi qu’aux principaux éléments de l’encadrement de « DD ».
Coupe du Monde de football au Qatar/LGBT+ : L’Allemagne réplique à la FIFA
Dans ce Mondial, la question LGBT+ est au centre de l’attention avec des critiques en Europe occidentale qui visent aussi bien la Fédération internationale de football que Doha

Un bâillon mimé par les joueurs, une ministre qui arbore le brassard « One Love », l’affirmation que les droits humains ne sont « pas négociables » : avant de jouer contre le Japon, l’Allemagne a riposté mercredi à la Fifa et ses menaces de sanctions visant à empêcher le port du brassard inclusif durant le Mondial.
Dans cette compétition, la question des droits des personnes LGBT+ est au centre de l’attention, avec des critiques en Europe occidentale, visant aussi bien la Fédération internationale de football (Fifa) que le Qatar, où relations sexuelles hors mariage et homosexualité sont passibles de poursuites pénales.
Arguant que « la provocation n’est pas le bon chemin », que les droits des homosexuels sont « un processus », ou regrettant les « leçons de morale » venues d’Occident, le président de la Fifa Gianni Infantino a clairement exprimé son rejet du brassard inclusif « One Love » que voulaient porter les capitaines de sept sélections, Allemagne, Angleterre, pays de Galles, Pays-Bas, Belgique, Danemark et Suisse.
Lundi, il a remporté une première manche : ces pays ont reculé devant la menace de « sanctions sportives », des cartons jaunes. La Fifa n’a pas donné de détail sur lesdites sanctions mais dans un entretien au site anglophone The Athletic, le directeur général de la Fédération danoise Jakob Jensen a raconté que, ce jour-là, « la situation s’est encore aggravée lorsque la Fifa a demandé à l’Angleterre une réunion d’urgence » juste avant son match contre l’Iran.

‘Suspension’
« Ils ont clairement fait savoir qu’il y aurait des sanctions sportives et au moins un carton jaune si un joueur portait le brassard » et que « le capitaine aurait pu se voir infliger une suspension de plusieurs matches », a raconté le responsable.
De fait, l’Anglais Harry Kane s’est présenté sur la pelouse contre l’Iran avec le brassard fourni par la Fifa, frappé d’un coeur et aux messages beaucoup plus consensuels. Lire la suite »
Football : prison avec sursis requise contre Platini et Blatter
Le parquet suisse a requis mercredi 15 juin un an et huit mois de prison avec sursis contre Michel Platini et l’ex-président de la Fifa Sepp Blatter, les accusant d’avoir escroqué l’instance mondiale du football en obtenant un paiement injustifié.
Procès en juin en Suisse pour Sepp Blatter et Michel Platini
Une date de procès a été fixée pour Michel Platini et l’ex-président de la Fifa Sepp Blatter : ils vont comparaître pour escroquerie du 8 au 22 juin en Suisse, dans l’affaire de paiement suspect qui, au sommet de leurs carrières respectives, les avait fait redescendre de leur piédestal doré en 2015.
Le Français de 66 ans et le Suisse de 86 ans seront également jugés pour « gestion déloyale », « abus de confiance » et « faux dans les titres » dans le même dossier, précisions du Tribunal pénal fédéral du canton suisse du Tessin.
Après plus de six ans d’enquête, les deux alliés devenus rivaux sont accusés d’avoir « obtenu illégalement, au détriment de la Fifa, un paiement de 2 millions de francs suisses » (1,8 million d’euros) « en faveur de Michel Platini« , selon le tribunal.
Visés l’un comme l’autre par d’autres procédures, en France pour Michel Platini et en Suisse pour Sepp Blatter, ils encourent cinq ans d’emprisonnement ou une amende s’ils sont reconnus coupables d’escroquerie.
(source: euronews.com)
FMF – FIFA : Victorien Andrianony confirmé président par intérim par la FIFA
Après plusieurs mois de tergiversations concernant l’affaire au sein de la fédération malagasy de football, la FIFA a finalement tranché. L’organisation des élections à travers la constitution d’une commission électorale a été recommandée par la FIFA. L’instance internationale a attendu presque 6 mois pour étudier tous les cas et dossiers reçus de la part de parties protagonistes.

La révocation des quatre membres du Comité exécutif a été refusée par la FIFA. « Par ailleurs, tenant compte de l’information officielle reçue par nos instances faisant état de l’arrestation du Président élu de la FMF, Raoul Rabekoto Arizaka, il y a lieu de s’accorder sur l’application de l’article 43 al.1 des Statuts de la FMF selon lequel « en cas de vacance ou d’empêchement dûment constaté du président, ses fonctions sont exercées par le Vice-président. Ainsi et suivant la pratique en la matière, nous estimons que l’intérim de la présidence de la FMF doit être assurée par le 1er Vice-président de la FMF, Victorien Andrianony », a souligné la décision de la FIFA.
L’instance internationale estime que les élections devront être impérativement organisées en conformité avec les principes et exigences de la FIFA en matière électorale (cf. art. 19 des Statuts de la FIFA). « En d’autres termes, les élections ne sauraient être organisées par le Comité exécutif en tant que tel, étant donné que cela serait contraire au principe de séparation de pouvoirs tel que prôné par la FIFA. Nous recommandons ainsi la nomination en assemblée générale de commissions électorales (première instance et recours) qui agiront sur la base de textes conformes, dont un code électoral à jour. Il conviendra donc à la FMF de travailler dans les prochaines semaines en étroite collaboration avec la FIFA et la CAF pour l’élaboration des textes pertinents pour ce faire », continue la décision de la FIFA.
Une mission conjointe FIFA-CAF sera prochainement dépêchée à Antananarivo dès que possible afin d’accompagner la FMF dans les étapes clés de cette transition. La FIFA reste aussi intransigeant sur la question de protection des membres, les organes et l’administration de la FMF qui doivent diriger leurs affaires en toute indépendance et sans l’immixtion indue de parties tierces (cf. art.14 al. 1 let. i) et art. 19 des Statuts de la FIFA).
Kitra malagasy: Nanapa-kevitra ny FIFA
FIFA: Arizaka Raoul Rabekoto reste à la tête du FMF.
Arizaka Raoul Rabekoto reste à la tête du FMF.
Selon une lettre de la Fédération internationale de football association ( FIFA), Arizaka Raoul Rabekoto reste le président de la Fédération malagasy de football (FMF).

L’instance internationale du football indique dans un communiqué, le président de la FMF a pu continuer son travail même s’il n’était pas présent dans la grande île.
« Nous avons pris connaissance des différentes problématiques et des avis de droit délivrés par un avocat inscrit au barreau de Madagascar sur demande du secrétaire général de la FMF pour l’un, puis par la Procureure générale auprès de la Cour suprême de Madagascar à la demande de certains membres du comité exécutif pour l’autre ».
La FIFA indique alors que « les membres du comité exécutif de la FMF n’ont aucunement besoin d’un permis de communiquer avec le président de la FMF dans l’exercice et pour le besoin de leur fonction, dès lorsqu’il est resté le président en exercice ».
La nomination de Victorien Andrianony en tant que premier vice-président de la Fédération Malagasy de Football est légale », déclare la FIFA dans sa lettre. Victorien pourra représenter le président Raoul dans une réunion qui exige sa présence physique.
Les dirigeants de la FIFA comprennent que la situation ne soit pas confortable, mais en l’état, elle constate qu’il n’y a pas véritablement de vacance du pouvoir présidentiel au sein de la FMF.
Par conséquent, « l’article 43 de ce statut ne s’applique pas à Madagascar, et il n’y a pas lieu de se prononcer sur un intérim de la présidence », a fait savoir la FIFA sur sa lettre.
(source: Dépêche Informative Taratra)
CAF: Ahmad doit attendre le dernier mot de la FIFA pour sa candidature
Le Comité Exécutif de la Confédération africaine de football (Caf) a choisi d’écarter la recommandation de sa propre Commission de Gouvernance de rétablir Ahmad comme candidat à la présidence, en disant que la Fifa devrait avoir le dernier mot.

Vendredi, la Commission de Gouvernance de la Caf a déterminé que le candidat de 61 ans était désormais éligible aux élections du mois prochain, après que le Tribunal arbitral du sport (Tas) a temporairement levé la semaine dernière son interdiction de cinq ans imposée par la Fifa.
« Le candidat Ahmad est déclaré éligible au poste de président du Caf », a déclaré la Commission de Gouvernance, le 5 février.
Lors d’une réunion agitée samedi au Cameroun, le Comité Exécutif de la Caf a en effet décidé d’ignorer l’avis de la Commission de Gouvernance, organe indépendant, et de se fier à l’organe de gestion du football au niveau international.
« Le Comité Exécutif trouve la décision de la Commission de Gouvernance communiquée le 5 février inappropriée », a déclaré la Caf, tard samedi.
A un moment donné, le président de la Caf, Ahmad – qui assistait à son premier événement officiel depuis l’interdiction à lui imposée en novembre – a quitté la salle alors que sa candidature était discutée.
Au cours de la réunion, il a également rejeté la possibilité de reporter les élections, qui doivent se tenir au Maroc, en raison de l’incertitude qui règne actuellement.
Celui qui deviendra président de la Caf le 12 mars assumera automatiquement le rôle de vice-président de la Fifa, dont une commission d’examen examine les candidatures.
Lors de sa réunion du mois dernier, la Fifa a interdit à Ahmad de se présenter aux élections, en raison de l’interdiction qui lui avait été faite pour plusieurs violations de son code d’éthique.
La décision est intervenue peu avant que le Tas – la plus haute instance juridique du sport – ne décide, le 29 janvier, de suspendre provisoirement l’interdiction de la Fifa à Ahmad « en raison d’un risque de préjudice irréparable pour M. Ahmad si la sanction disciplinaire est maintenue pendant la période précédant les élections de la Caf ».
Football – CAF: le TAS suspend la sanction d’Ahmad
Le Tribunal Arbitral du Sport a accepté de suspendre temporairement la sanction infligée par la FIFA à Ahmad. Le TAS rendra sa sentence finale avant le 12 mars.
Coup de théâtre. Le Tribunal Arbitral du Sport a pris une première décision hier, par rapport à l’appel déposé par Ahmad. Un appel qui vise à contrer la sanction que la FIFA lui a infligée.

« En raison notamment d’un risque de dommage irréparable pour M. Ahmad en cas de maintien de la sanction disciplinaire durant la période précédant les élections de la CAF, la Formation du TAS a accepté la demande de suspendre temporairement les effets de la décision de la Chambre de jugement de la Commission d’éthique de la FIFA jusqu’au prononcé de la sentence finale », a annoncé le TAS dans un communiqué de presse paru en début de soirée.
Cette décision a pour conséquence de le replacer sur l’échiquier. D’un côté, il peut donc retrouver sa fonction de président de la Confédération Africaine de Football. De l’autre, il peut aussi revenir dans la course en vue du prochain scrutin présidentielle, dans la mesure où il est de nouveau éligible. Cependant, le timing reste compliqué, puisque la commission de contrôle de la FIFA a déjà défini la liste des candidatures retenues, mercredi.
Audition
Toujours à propos de l’élection, l’ancien président de la Fédération Malgache de Football a déposé une demande de dispositions spécifiques. Mais il n’a pas obtenu gain de cause là-dessus. « En revanche, la Formation arbitrale a rejeté la demande de mesures provisionnelles de M. Ahmad visant à ce qu’il soit fait interdiction à la FIFA de prendre toute décision ayant pour conséquence d’empêcher M. Ahmad ou de lui rendre plus difficile de se présenter à l’élection », mentionne le communiqué.
Le TAS a fixé la date d’audition du patron de la CAF au mardi 2 mars, dans le cadre d’une procédure accélérée. Et il prévoit de rendre une sentence finale dans un délai de dix jours suivant l’audition, soit avant le vendredi 12 mars.
Ahmad avait été suspendu par la FIFA pour une durée de cinq ans, au mois de novembre de l’an passé. L’instance internationale lui reproche plusieurs infractions au code d’éthique. Peu de temps après l’annonce de cette sanction, il avait annoncé qu’il allait faire appel auprès du TAS.
(source: l’Express de M/scar)
Confédération africaine de football – Victime d’un attentat prémédité, Ahmad riposte
La condamnation et la suspension du désormais ex-président de la Confédération africaine de football (CAF), Ahmad, alimentent toujours les conversations. Certains présidents de fédération du continent noir commencent à élever, dans les coulisses, leur voix pour fustiger cette décision de la FIFA à travers sa chambre de jugement de la commission d’Ethique indépendante. Celle-ci, rappelons- le, a sanctionné Ahmad d’interdiction de toute activité relative au football pour une durée de cinq ans et d’une amende de CHF 200.000. Une décision qui écarte le past president de la CAF à la course à sa propre succession aux élections de 2021.
Les conseils d’Ahmad ont communiqué hier qu’ils déposeront un appel devant le TAS « afin de contester fermement la condamnation prononcée par la chambre de jugement de la commission d’Ethique de la FIFA ». Ils estiment que la décision n’a pas été rendue de façon juste et impartiale et que de nombreux procédés surprenants ont été relevés. Les conseils d’Ahmad émettent des doutes, nés des rumeurs permanentes, sur une possible implication de la FIFA dans le travail de la commission d’Ethique. Les fuites d’informations relayées par des presses internationales pour une procédure en cours censée être strictement confidentielle, constitueraient des preuves à ne pas prendre à la légère. Et pire, lors de son audition, Ahmad n’a pas eu le droit de présenter une partie de ses témoins.
L’appel que les conseils feront auprès du TAS « sera assorti d’une demande d’effet suspensif de la décision de la FIFA »
« Il s’agit d’un coup envers le candidat Ahmad et non à Ahmad président de la CAF », a fait remarquer un membre de la CAF, stupéfait par cette sanction infligée par la FIFA. Cette dernière n’a pas fait dans la dentelle pour signer l’arrêt de mort d’Ahmad en lui coupant l’herbe sous les pieds toutes tentatives légales de se présenter aux élections à la présidence de la CAF. Dans sa décision, la chambre de jugement de la commission d’Ethique indépendante a mentionné que « la décision motivée sera notifiée dans son intégralité à M. Ahmad sous 60 jours… ». Ce qui fait que c’est seulement après cette notification que « l’accusé » pourra faire appel auprès du Tribunal arbitral du sport (TAS), soit au plus tôt vers la mi-janvier. La saisine du TAS doit se baser sur les accusations inscrites dans cette décision motivée. Or, la commission électorale de la CAF statuera sur la validité des candidatures au poste de président au début de l’année.
Le calendrier semble jouer ainsi contre le candidat Ahmad. Ses conseils ne pourront saisir le TAS sans la « grosse » émanant de la FIFA et la commission électorale de la CAF ne validera pas sa candidature tant que la suspension est toujours maintenue.
Un coup parfait de la FIFA qui, selon certaines voix, « a suspendu Ahmad non pas parce qu’il est corrompu, mais parce qu’il rejette les plans d’Infantino ». Ce dernier, selon des sources, ne porte plus dans son cœur le président de la CAF après la réticence de celui-ci sur la programmation proposée par la FIFA d’une Coupe d’Afrique des Nations tous les quatre ans. Mais le divorce était plus ou moins acté quand le comité exécutif de l’instance suprême du ballon rond africain a rejeté la prolongation du mandat de Fatma Samoura en tant que déléguée générale de la FIFA à la CAF.
Ainsi, les auteurs de cette attaque envers Ahmad ont ainsi bien planifié leurs coups, plaçant leur victime dans une voie sans issue, du moins temporairement…
Rata – La Vérité
CAF: Ahmad, victime d’une machination dont la FIFA a le secret

Qui est derrière ce coup bas contre Ahmad ? Alors que l’actuel président de la confédération africaine de football, Ahmad, est donné favori à sa propre succession, le voilà qu’il est empêché par la FIFA de participer à cette course. Cette décision de lui arracher la jambe en pleine course à la tête de l’instance africaine n’est pas fortuite. Pourquoi le comité d’éthique de la FIFA sort cette décision à quelques mois de l’élection ? La réponse la plus claire est que sa candidature gène plus d’un.
D’après notre source bien informée, c’est le candidat Ahmad qui est la cible de cette décision de la chambre d’éthique de la FIFA et non le président de la CAF. Quand on sait que l’ancien patron du foot malgache affiche un bilan positif durant son mandat au Caire, cela n’a pas plu à certaines personnes de mauvaise ambition jusqu’à le pousser sur le banc de touche. Le soupçon va droit au but à une personnalité de nationalité africaine très proche de Gianni Infantino, le patron de la FIFA. « Elle ambitionne de devenir le patron du foot africain. Maintenant, elle veut tourner le dos à celui qui l’a poussé à obtenir ce poste stratégique », confie notre source.
Ahmad n’est pas la première victime de ce tacle par derrière. Au lieu de siffler le fautif, l’arbitre sort le carton rouge pour la victime. Cette affaire de l’ancien patron d’Isoraka rappelle bien le dossier Michel Platini. Alors que celui-ci s’est déclaré candidat à la succession de Sepp Blatter à la tête de l’instance reine du football mondial en 2015, les deux personnalités ont été condamnées par la commission d’éthique de la FIFA. Les deux sont suspendus de toute activité liée au football pendant huit ans pour « conflit d’intérêt » et « gestion déloyale ». Mais plus tard, l’ancien président de l’UEFA a été innocenté par le parquet helvétique dans cette affaire…juste quelques semaines après les dernières élections qui ont permis au président sortant de de se faire réélire sans opposition.
Ahmad fait l’objet d’une machination afin de ne pas pouvoir briguer à nouveau la présidence de la CAF. A l’heure actuelle, il bénéficie du soutien de l’ensemble du comité exécutif de l’instance africaine et de plus de 80% des fédérations africaines.
(source: Moov.mg)


