Science / Technologie

Donald Trump annonce le retrait des Etats-Unis de l’accord nucléaire iranien

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Le président américain, Donald Trump, dévoile depuis Washington sa décision sur l’accord nucléaire iranien, signé en 2015 après une négociation acharnée entre l’Iran, les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU et l’Allemagne.

 

Fandaharana « Confessions »: Professeur Raoelina Andriambololona

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Il est né à Toamasina le 6 mai 1936. Marié à Mme Jacqueline Rabesahala qui est maître de Conférences en Philosophie à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’Université d’Antananarivo, il est le père de 6 enfants. Le Professeur Raoelina Andriambololona est le fondateur et le directeur général de l’Institut des sciences et techniques nucléaires qui a été créé à partir de zéro.

Au départ, il n’y avait pas de bâtiment, ni d’étudiant, ni de personnel, ni d’enseignant, ni de chercheur. Sauf lui-même qui n’est pas un spécialiste de la physique nucléaire, mais celui de nucléon des hautes énergies, c’est-à-dire un physicien théoricien. Ce professeur est membre de plusieurs sociétés savantes nationales et internationales et président de la section des sciences fondamentales de l’Académie Malgache. Il est membre de plusieurs associations professionnelles dont l’Association nationale pour la radioprotection à Madagascar. Le Professeur Raoelina Andriambololona a déjà sorti plus de 130 publications scientifiques.

Le Fondateur « visionnaire » de l’INSTN-Madagascar

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Le ministère russe de la Défense a publié sur Facebook une vidéo montrant les capacités de son drone Korsar.

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«L’appareil est destiné à mener 24 heures sur 24 une reconnaissance aérienne en dépit de la météo, à frapper des sites de l’ennemi ainsi qu’à acheminer des cargaisons dans les régions assignées», précise le ministère dans un communiqué.

Le communiqué indique que le matériel du drone permet de désigner en temps réel des cibles pour les frappes, effectuées notamment par des armes de haute précision.

La durée de vol du drone est de dix heures, l’appareil est capable de voler à une altitude de six kilomètres et son rayon d’action est de plus de 160 kilomètres.

Cette année, le drone prendra part à la partie aérienne du défilé de la Victoire qui se déroulera le 9 mai sur la place Rouge à Moscou.

(sputniknews)

 

Sortir de son corps, un phénomène objectivable ( OBE – Out of Body Experience)

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Nicolas Fraisse sort de son corps depuis sa plus tendre enfance. Comptable devenu infirmier par compassion, il pratique les soins énergétiques, les visions à distance, la clairaudience et peut vivre plusieurs décorporations par jour.

Apres dix ans d’expériences scientifiques menées avec Sylvie Déthiollaz, docteur en biologie moléculaire et Claude Charles Fourrier, psychothérapeute à l’Institut Noêsis de Genève (Voir la 1ère partie de notre reportage), il a développé d’incroyables capacités, qui font l’objet d’un livre étonnant « Voyage aux confins de la conscience » paru aux Editions Trédaniel.

Santé Naturelle: « Chaque soir, une sortie de corps m’emporte »

Lôla Rasoamaharo: des diplômes prestigieux de Microsoft « pour le fun »

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Le PDG du journal La Gazette de la Grande île, Roland (Lôla) Rasoamaharo, interviewé par T. Berado:

« C’est juste pour le fun et pour montrer à mes 2 fils que je n’ai pas perdu mes compétences même si je ne compte pas me professionnaliser dans ce domaine. »

Roland Hubert RASOAMAHARO, dit Lôla, Président Directeur Général du Quotidien La Gazette de la Grande Ile, vient de recevoir pour la énième fois le diplôme de « Formateur certifié » ou Microsoft Certified Trainers (MCT), un des diplôme les plus prestigieux au monde et signé par Bill Gates, cofondateur de Microsoft. Ce diplôme lui vaut le titre d’expert de premier plan en technique et formation sur les technologies Microsoft et des avantages mondiaux comme l’accès à toute la bibliothèque de produits de formation et de certification Official Microsoft Training, des remises substantielles sur le prix des examens, des livres et des produits Microsoft, des ressources pour se préparer et accéder à une communauté en ligne réservée exclusivement aux membres, et invitations à des événements et à des programmes exclusifs.

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Euthanasie: affaire Vincent Lambert, éthique de fin de vie

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Le docteur Vincent Sanchez se prononce pour l’arrêt des soins. La réaction de Maître Triomphe

On l’apprend aujourd’hui. Le CHU de Reims, et plus précisément le docteur Vincent Sanchez, décide l’arrêt de l’alimentation et de l’hydratation de Vincent Lambert « passé un délai de 10 jours ». A cet arrêt serait donc associée une sédation profonde et continue jusqu’au décès. Cette affaire, dans laquelle les « grands médias » n’ont pas cessé d’ostraciser Viviane Lambert et son époux depuis huit ans, cette affaire connaît donc ici un nouvel épisode. La décision de mettre fin à l’alimentation et à l’hydratation de Vincent a été prise aujourd’hui lundi 9 avril par le Dr Vincent Sanchez, à l’issue d’une procédure collégiale d’environ cinq mois qui a conclu à une « obstination déraisonnable » envers le patient tétraplégique, selon une source proche du dossier. (… lire l’intégralité de l’article >>)

 

David Reich Unearths Human History Etched in Bone

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The geneticist at Harvard Medical School has retrieved DNA from more than 900 ancient people. His findings trace the prehistoric migrations of our species.

David Reich in his office at Harvard. He and his colleagues have sequenced the genomes of more than 900 ancient individuals, shedding light on how humans spread across the globe. (Photo credit: Kayana Szymczak for The New York Times)

In less than three years, Dr. Reich’s laboratory has published DNA from the genomes of 938 ancient humans — more than all other research teams working in this field combined. The work in his lab has reshaped our understanding of human prehistory.

“They often answer age-old questions and sometimes provide astonishing unanticipated insights, said Svante Paabo, the director of the Max Planck Institute of Paleoanthropology in Leipzig, Germany.

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Bernard Ramanantsoa: l’homme a changé HEC

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Pour lui, manager rime avec exceller. Eduqué à être toujours le numéro un, Bernard Ramanantsoa a fait de HEC la première business school européenne. Attention de ne pas la déconnecter de la société.

Bernard Ramanantsoa, directeur général de HEC. @Challenges

Sur les smartphones qui filment la scène, on aperçoit son visage. L’homme n’a pourtant rien d’une rock star. Mâchoire carrée, regard fixe, cheveux ras, le directeur de HEC prononce, ce dimanche 9 septembre, son discours de bienvenue à la promotion 2012 sur le campus de Jouyen Josas. Dans le hall d’honneur, un bon millier d’étudiants, leurs parents (dont Henri de Castries, président d’Axa, Augustin de Romanet, ancien directeur de la Caisse des dépôts, François Lenglet, de France 2) et les professeurs de prépas sont assis en rangs serrés, graves et attentifs, comme à une messe.

Accents messianiques

De sa voix grave, Bernard Ramanantsoa – prononcez « ramanantsou » – a commencé son allocution dans un silence de cathédrale. Un prêche, littéralement, où il est question « du respect incorruptible de la vérité et de résistance à l’oppression ». Où la dérive des marchés financiers s’apparente à l’adoration du veau d’or. « Souvenez-vous de cette femme qui sculptait la passion du Christ sur un noyau de pêche, assène-t-il. Puis enchaîne: Fixez-vous d’être digne d’admiration. Et on ne l’est pas parce qu’on intègre une grande école. » Dans la salle, les visages se sont figés, comme sidérés.

Reçus à HEC, les impétrants se croyaient dans l’antichambre de L’Oréal ; ils ont droit à une harangue prophétique qui invoque une « divine insurrection de l’âme contre les idoles ». « Du pur Ramanantsoa », lui a soufflé lorsqu’il s’est rassis Jean-Paul Vermès, vice-président en charge de l’enseignement à la chambre de commerce et d’industrie de Paris (CCIP), tutelle de l’école. Un sourire s’est esquissé sur son visage. « Merci », a-t-il simplement répondu tandis qu’éclatait un tonnerre d’applaudissements.

Peu de directeurs, pourtant, incarnent à ce point leur école

Il n’y a pas eu d’été indien. Le 10 octobre, Librio sortait en poche J’ai fait HEC et je m’en excuse, de Florence Noiville. Trois ans après la publication de cette diatribe contre les business schools, la critique littéraire du Monde y a ajouté une postface où elle devise avec son mari, Martin Hirsch, lui-même coprésident de la chaire Entreprise et pauvreté de HEC. A l’époque, Bernard Ramanantsoa avait dû écourter ses vacances pour faire front. « Ce n’était pas approfondi, je n’étais pas d’accord à 90% », dit-il.

Et voici que cela recommence. Selon Florence Noiville, rien n’a changé. Malgré les scandales financiers, « l’écrasante majorité des enseignements arbore le même type de discours qu’avant la crise, légitimant à outrance la doxa en vigueur à l’école: « Apprends à rechercher ton intérêt propre et tu réussiras dans le monde tel qu’il est. » Une véritable invitation à la rapacité et à la cupidité », écrit-elle. A mille lieues des valeurs chrétiennes et humanistes célébrées un mois plus tôt par Bernard Ramanantsoa.

Peu de directeurs, pourtant, incarnent à ce point leur école. HEC, c’est lui. Archétype de l’élitisme français, il ne s’intéresse qu’aux têtes bien faites. Celle des professeurs, qu’il fait venir à prix d’or de l’autre bout de la planète. Celle des étudiants, bien sûr, qui se doivent d’être brillants ; y compris ses enfants, auxquels il n’a cessé de répéter: « Fais ce que tu veux, mais sois le premier. » Mission accomplie: Marc et Aude sont diplômés de HEC. « Jusqu’en terminale, mon père nous aidait à faire nos devoirs, aussi à l’aise en latin qu’en maths ou en philo », se souvient son fils.

Un tempérament de chef

L’excellence, voilà ce qui a toujours guidé ce fils d’un médecin d’origine malgache, officier de l’armée française comme son oncle, Gabriel Ramanantsoa, qui deviendra président de Madagascar en 1972. « Je me souviens du général de Gaulle devant la foule en liesse à Tananarive, où mon père était en poste, raconte-t-il. J’étais en sixième au lycée Gallieni. C’est mon professeur de musique qui a composé l’hymne national. » Le directeur de HEC se rappelle aussi sa mention très bien décrochée au baccalauréat comme l’un des plus beaux jours de sa vie. « J’ai reçu en récompense une Mobylette que j’ai toujours dans ma maison de vacances. »

Puis ce sera, naturellement, maths spé au lycée privé Sainte-Geneviève à Versailles (Ginette), où il a été imprégné de la pensée jésuite. Le jeune Ramanantsoa a déjà un tempérament de chef. Elu par ses camarades, il est le Z, chargé des relations avec les enseignants et l’administration. « Z comme Zident ou président », précise-t-il. Son professeur de littérature d’alors, devenu son ami, Pierre Cahné, actuel recteur de l’Institut catholique de Paris, mettrait sa main à couper qu’il était Rab, diminutif de rabbin, le responsable des relations avec l’aumônerie. « C’est un spirituel, dit-il. Pas un matérialiste. »

Son CV est plus parlant qu’un test ADN. Bernard Ramanantsoa additionne les diplômes comme d’autres cumulent les mandats: sorti premier de Supaéro, il est major du MBA de HEC et titulaire d’un DEA en sociologie, d’un autre en philosophie – obtenu à 45 ans! -, sans oublier son doctorat en sciences de gestion à Dauphine. « Je voulais être médecin, confesse-t-il. Mon père m’en a dissuadé. » Jeune ingénieur, il intègre la division marketing grandes lignes de la SNCF. A 29 ans, il fait partie du club très fermé des cadres « hors statut », dit sa biographie. On l’envoie suivre un MBA à HEC qui s’appelle encore l’ISA, l’Institut supérieur des affaires.

La passion de la transmission

C’est le tournant, la révélation pour l’enseignement. « Il avait choisi Churchill pour analyser les clés du leadership. J’ai eu un choc devant l’intelligence de sa présentation », se souvient Roland Reitter, son professeur de stratégie, avec lequel il vient de signer un livre, Confiance et Défiance dans les organisations (éd. Economica). Une autre clé pour comprendre l’homme. « Il n’y a pas de leader sans idéal du moi élevé », y lit-on. Devenu professeur de stratégie à HEC, puis doyen de l’école, Bernard Ramanantsoa est passé maître dans l’étude de cas, chère aux business schools. « Il avait rédigé un cours mémorable sur Knoll, ce fabricant de mobilier alors en panne de stratégie car trop replié sur lui-même », raconte le navigateur Jean-Pierre Dick, qui a suivi le MBA de HEC en 1997.

Lorsque Ramanantsoa décide de prendre une année sabbatique, il la passe au cabinet de conseil américain McKinsey. Une plongée parmi des partners, dont il a livré ce témoignage instructif: « Pourquoi sont-ils aussi appréciés? Bien sûr parce qu’ils cautionnent parfois le point de vue du directeur général, mais, selon moi, surtout parce qu’ils apportent le modèle d’un monde idéal: on est bien chez McKinsey et avec McKinsey parce qu’il n’y a pas de problème sans solution. »

Cette conviction, Bernard Ramanantsoa l’a érigée en dogme à HEC. Depuis dix-sept ans qu’il en a pris la direction – une longévité exceptionnelle -, Rama a transformé l’école franco-française en une business school mondialement réputée. Triplement couronnée par les labels internationaux AACSB, Equis et AMBA qui font la réputation des meilleures ; première en Europe dans le classement global du Financial Times depuis 2006, numéro un mondial des Global Masters in Finance, toujours selon le quotidien britannique. « Della Bradshaw est la deuxième femme la plus importante après mon épouse », s’amuse-t-il à propos de la papesse de ce fameux ranking. « Elle est aux business schools ce que Robert Parker est au monde vinicole. Tout le monde fait du vin boisé. Ramanantsoa, lui, singe les universités américaines », fustige un de ses anciens adjoints.

En douze ans, le budget de HEC a triplé

Sa stratégie est limpide comme une présentation PowerPoint. Point A, faire de HEC une marque puissante en réunissant toutes les entités du groupe, de la grande école aux masters spécialisés en passant par le MBA. Pour y parvenir, il faut un talent de diplomate qui a son revers. « Il est prudent, très politique pour ne heurter personne », décrypte un ancien élève. Point B, parier sur la mondialisation et s’entourer des meilleurs professionnels, comme au sein de l’International Advisory Board qui regroupe la crème des doyens, ceux de l’IMD de Lausanne, de la London Business School et de l’Instituto de Empresa de Madrid.

« C’est la parabole des talents », s’amuse Pierre Cahné. Point C, investir dans l’incroyable mercato mondial de l’enseignement supérieur, quitte à faire exploser la masse salariale de l’école. « 60% du corps professoral est étranger, tout comme 85% des élèves du MBA », se félicite-t-il. Des professeurs-chercheurs payés jusqu’à 200.000 euros par an qui publient dans des revues prestigieuses, mais dont certains n’enseignent quasiment pas. « Un argument fabuleux pour augmenter les frais de scolarité », note malicieusement Roland Reitter.

En douze ans, le budget de HEC a triplé et atteint 123 millions d’euros, dont 85% proviennent de ses recettes propres, le reste étant financé par la CCIP. « Certains enseignants aujourd’hui donnent des cours de marketing sans avoir jamais passé une seconde dans une entreprise », s’émeut Robert Papin, qui a créé en 1977 la pédagogie innovante HEC Entrepreneurs, avant de se fâcher avec Ramanantsoa. « Les écoles de commerce forment des analystes sélectionnés sur des tests logicomathématiques, comme le GMAT, alors qu’il faudrait privilégier les qualités de leadership avec des mises en situation concrètes. »

Amour de la performance

Les Anglo-Saxons saluent la performance du bon élève français à travers leurs classements, alors qu’en France Florence Noiville et d’autres reprochent à HEC de former des managers sans éthique. « Elle n’a rien compris, grogne Jean-Luc Allavena, associé du fonds américain Apollo Management, l’un des anciens présidents de l’association des diplômés, listés dans un annuaire qui sert de bible aux chasseurs de têtes. Bernard Ramanantsoa est l’idole des étudiants, il est d’une légitimité absolue. Un jour, il aura sa statue à l’entrée du campus. »

Le directeur de HEC n’en demande pas tant. Mais avec sa logique d’ingénieur, qui excelle dans la maîtrise de la complexité, il a sans doute un peu de mal à s’inscrire dans les débats de société. A l’inverse d’un Richard Descoings, le défunt directeur de Sciences-Po Paris. Pas question, par exemple, de créer une filière pour les élèves brillants des zones d’éducation prioritaire. Encore moins de supprimer la culture générale au concours, comme l’an prochain rue Saint-Guillaume. Quant aux frais de scolarité, 35.700 euros pour trois ans, ils ont augmenté de 16% depuis 2008 sans afficher l’imaginatif barème de contribution progressive mis au point par SciencesPo. Alors il y a bien les bourses, permises par le formidable élan de la Fondation HEC, mais elles profitent autant aux « boursiers en Porsche » (des candidats au MBA qui ont la cote) qu’aux élèves qui en ont vraiment besoin. « On s’est attaqué aux gènes, mais on n’a pas changé l’ADN », revendique-t-il.

Il y a six ans, un incubateur d’entreprises a été créé, qu’il appelle « le bac à sable » des premières années. Une centaine de start-up y ont déjà vu le jour. Il a aussi développé les académies, ces stages obligatoires, comme au Samu social, pour confronter les jeunes aux réalités du monde. Et, désormais, une centaine d’élèves participent avant chaque rentrée à un stage de guérilla urbaine avec des officiers de Saint-Cyr Coëtquidan. Un moment à part où l’intellectuel Rama prend du plaisir à partager avec eux un chili con carne froid.

(source: challenges.fr-19.10.12)

Physicist Stephen Hawking, who unlocked the secrets of space and time, dies at 76

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LONDON (Reuters) – Stephen Hawking, who sought to explain some of the most complicated questions of life while working under the shadow of a likely premature death, has died at 76.

He died peacefully at his home in the British university city of Cambridge in the early hours of Wednesday.

“We are deeply saddened that our beloved father passed away today,” his children Lucy, Robert and Tim said in a statement.

Hawking’s formidable mind probed the very limits of human understanding both in the vastness of space and in the bizarre sub-molecular world of quantum theory, which he said could predict what happens at the beginning and end of time.

His work ranged from the origins of the universe, through the tantalizing prospect of time travel to the mysteries of space’s all-consuming black holes.

“He was a great scientist and an extraordinary man whose work and legacy will live on for many years,” his family said. “His courage and persistence with his brilliance and humor inspired people across the world.”

The power of his intellect contrasted cruelly with the weakness of his body, ravaged by the wasting motor neuron disease he developed at the age of 21.

Hawking was confined for most of his life to a wheelchair. As his condition worsened, he had to resort to speaking through a voice synthesizer and communicating by moving his eyebrows.

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Stephen Hawking, une vie dédiée à la passion de la science

Le célèbre astrophysicien britannique est décédé ce mercredi matin à l’âge de 76 ans. Il était membre de l’Académie pontificale des Sciences depuis 1986. Il est prévu d’être enterré à l’Abbaye de Westminster, aux côtés des deux célèbres savants: Isaac Newton et Darwin.

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Inauguration du Service d’urgences pédiatriques au CHU de Befelatanana

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Pour la santé maternelle et infantile

Le Centre Hospitalier Universitaire Joseph Raseta, à Befelatanana, est devenu le premier hôpital public à disposer d’un Service d’Urgences Pédiatriques dans le pays. La nouvelle infrastructure a été inaugurée, par le Président de la République, accompagné de son épouse, Voahangy Rajaonarimampianina, la Marraine de santé de la mère et de l’enfant, ce 6 mars 2018.

Auparavant, tous les enfants admis au CHU de Befelatanana étaient placés dans le même service pédiatrique, quel que soit l’urgence et la maladie. Désormais, Ils sont pris en charge et traités séparément, selon leurs cas. Ce service est composé des urgences, d’une unité de soins intensifs, d’un service de réanimation néonatale, et d’une aire de jeux dans le cadre de l’effort d’humanisation des hôpitaux, offerte par la Première Dame.

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