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Mifanome tànana ny Manam-pahaizana: Famadihana ranomasina ho ranomamy vita Malagasy 100%

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Crédit photo: Malagasy ve ianao (FB)

👉Famadihana ranomasina ho ranomamy vita Malagasy 100%

Noho ny fivoaran’ny teknolojia dia afa nifampidinika ny Profesora, Mpampianatra, Mpikaroka ary Teknisianina Malagasy ny @ hanomezana rano fosotro madio avy @ alalan’ny ranomasina, hamatsiana angovo vita avy @ ranomasina ny mponina mipetraka amoron-tsiraka manerana an’i Madagasikara.

Tsy fikarohana intsony moa ny dingana eto fa fanambaràna ny teknolojia izay efa ananan’ny manam-pahaizana Malagasy avy @ lafy valon’i Madagasikara. Tapaka t@ izany fa :

▪︎Ao @ Centre Universitaire Régional d’Androy, UniT no hasiana ny toerana hanaovana ny fanambaràna ny milina ary HDR Paubert Mahatante no hisahana izany miaraka @ mpianatra mianadahy avy ao @ Université de Tuléar.

▪︎Ny fikarohana efa mahomby nataon’ny Profesora Ramarson, École Supérieure Polytechnique d’Antsiranana /UNA, izay mamadika ny ranomasina ho électricité no hampihodinana 100% ny milina sy ny fandaniana angovo ao @ laboratoire d’assemblage.

▪︎Mpianatra avy ao @ Ecole Nationale d’Informatique, Université de Fianarantsoa, tantanan’i HDR Michel Razafindrandriatsimaniry, no hisahana ny momba ny régulation & automatisation.

▪︎Ny fandrindrana ara-teknika ny fanatambarana sy ny himasoana sehatra indostrialy dia andraiketin’Atoa Patrick Raharimanana, Ijeniera sady mpandraharaha matihanina.

▪︎Ny fandaminana ara-materialy sy ara-pihariana dia raisin-dRamatoa Tefy Raoelivololona, Doctoresse es Sciences & technologies, an-tànana.

▪︎Ny namolavola ny hevitra sy fandrindrana iraisam-pirenena @ mpamatsy vola moa dia ny tenako, Rija Rakotozanakajy, Ramosé Poubelle, no misahana azy.

Araka ny kajikajy dia resin’ity milina vita Malagasy 100% ity ireo milina mpamadika ranomasina ho rano fisotro vitan’ny vazaha, eo @ lafiny ekolojika, rendement, coûts d’exploitation ary matières premières.

Ny fahalalana dia fitaovam-piadiana mahery vaika.

Rija Rakotozanakajy

Covid-19: Biden restaure l’interdiction d’entrée aux États-Unis pour de nombreux pays

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Les voyageurs en provenance de la plupart des pays européens, du Brésil et d’Afrique du Sud notamment ne pourront plus entrer sur le territoire américain.

Face à la nouvelle flambée épidémique du covid-19 aux États-Unis, le nouveau président Joe Biden a décidé d’interdire l’entrée sur le territoire américain à de nombreux voyageurs (photo d’illustration prise pendant les fêtes à l’aéroport d’Arlington, en Virginie).

CORONAVIRUS – Le président Joe Biden va réimposer, ce lundi 25 janvier, une interdiction d’entrer aux États-Unis à la plupart des citoyens non américains qui se sont rendus au Royaume-Uni, au Brésil, en Irlande et dans une grande partie de l’Europe, a déclaré un responsable de la Maison Blanche. Une mesure qui vise à faire face à la reprise de l’épidémie de covid-19.

Joe Biden étendra également cette interdiction aux voyageurs qui se sont récemment rendus en Afrique du Sud en raison des informations selon lesquelles de nouveaux variants du coronavirus plus transmissibles apparaissent aux États-Unis, a ajouté le responsable.

Des projections dramatiques

Cette décision du président démocrate fait partie du plan de lutte de la nouvelle administration contre l’épidémie de Covid-19 qui flambe dans le pays le plus touché au monde, tant en termes d’infections (25,1 millions) que de décès (plus de 419.000). Il avait estimé vendredi que le nombre de morts dus à la maladie aux États-Unis “devrait atteindre beaucoup plus que 600.000”.

Dès les premiers jours après son entrée en fonction mercredi dernier, Joe Biden a durci les règles de port du masque et ordonné la mise en quarantaine des personnes se rendant aux États-Unis par avion.

Au cours de ses derniers jours au pouvoir, Donald Trump avait annoncé que l’interdiction d’entrer aux États-Unis pour les voyageurs en provenance d’une grande partie de l’Europe et du Brésil serait levée, mais l’administration Biden a déclaré qu’elle annulerait immédiatement cet ordre qui devait entrer en vigueur le 26 janvier.

Donald Trump avait annoncé le 31 janvier 2020 une interdiction initiale des voyageurs non américains entrant en provenance de Chine pour arrêter la propagation du coronavirus. L’interdiction a été étendue aux pays européens le 14 mars.

 

Rajoelina à Toamasina pour la construction du Grand Séminaire, de l’Hôpital et de la première Station Radio-Télévision catholiques

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Le Cardinal Tsarahazana devant la plaque commémorative (crédit Lakroa)

Premier service de Transplantation rénale à Madagascar

Samedi 23 Janvier 2021, le président Andry Rajoelina a honoré de sa présence une série d’inaugurations et de pose de première pierre dans l’Archidiocèse de Toamasina (Tamatave).

Il était invité spécialement par le Cardinal Mgr Tsarahazana Désiré et le Nonce Apostolique, Mgr Paolo Rocco Gualtieri pour la cérémonie de bénédiction de la pose de première pierre du Grand Séminaire de l’Archidiocèse à Analamalotra, du Foyer Filles Mères, ainsi que de l’Hôpital Catholique « Le Bon Samaritain » à Betainomby.

L’Etat Malagasy et l’Église catholique entretiennent depuis toujours des relations excellentes, entre « Zanaka et Raiamandreny », le président Andry Rajoelina étant lui-même un fidèle pratiquant de l’EKAR.

Il a tenu à souligner le rôle historique majeur que joue l’Église catholique dans le développement du pays, notamment à travers les domaines de l’éducation, la santé et les œuvres sociales. C’est certainement la raison de l’appui de l’État qui prendra en charge le budget de construction, ainsi que l’équipement de l’hôpital à travers le CCPREAS.

Cet hôpital comportera entre autres, un service de médecine générale, une radiographie numérique, un bloc chirurgical, et d’autres services comme la neurologie, la pneumologie, la cardiologie, ainsi que le premier service de transplantation rénale à Madagascar.

Message du Pape François

De son côté, le Nonce Apostolique a transmis un message de salutations du Pape François à l’endroit du président Andry Rajoelina. Le Souverain Pontife a notamment fait part des bons souvenirs de l’accueil chaleureux du peuple malgache lors de son séjour à Madagascar au mois de septembre 2019. Le chef de l’État a aussi assisté à l’inauguration de la Radio-Télévision Catholique Masôva à Androranga Toamasina qui est la première station de télévision appartenant à l’Église Catholique à Madagascar.

Nucléaire : «il est urgent de dire à l’Iran que cela suffit», explique Jean-Yves Le Drian

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Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian. LUDOVIC MARIN / AFP

L’Iran est en train d’acquérir l’arme nucléaire et «il est urgent de dire que cela suffit», a estimé dimanche le ministre français des Affaires étrangères, plaidant pour un retour à l’accord de Vienne que Donald Trump avait brutalement quitté.

Dans une interview au Journal du Dimanche, Jean-Yves Le Drian a exprimé ses inquiétudes sur les activités nucléaires de la République islamique, appelant à une réaction immédiate. «L’Iran – je le dis clairement – est en train de se doter de la capacité nucléaire», a estimé Jean-Yves Le Drian. «Il y a également une élection présidentielle en Iran à la mi-juin. Il est donc urgent de dire aux Iraniens que cela suffit et de prendre les dispositions pour que l’Iran et les Etats-Unis reviennent dans l’Accord de Vienne». Cet accord prévoit une levée partielle des sanctions internationales contre l’Iran, en échange de mesures destinées à garantir que ce pays ne se dotera pas de l’arme atomique. Mais Donald Trump en était sorti unilatéralement en 2018.

Mécanique

«En sortant de cet accord, l’administration Trump a choisi la stratégie qu’il a appelée de la pression maximale contre l’Iran. Le résultat, c’est que cette stratégie n’a fait que renforcer le risque et la menace. Il faut donc enrayer cette mécanique», a estimé le chef de la diplomatie française. «Cela ne suffira pas», a-t-il toutefois ajouté. «Il faudra des discussions difficiles sur la prolifération balistique et les déstabilisations par l’Iran de ses voisins dans la région. Je suis tenu par le secret sur le calendrier de ce genre de dossier, mais il y a urgence».

L’Iran avait indiqué mercredi à l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) avancer dans sa production d’uranium métal pour servir de carburant à un réacteur. Le sujet est sensible car l’uranium métal peut être utilisé comme composant pour des armes nucléaires et l’accord de 2015 comporte une interdiction de 15 ans sur «la production ou l’acquisition de métaux de plutonium ou d’uranium ou leurs alliages».

(source: Le Figaro)

L’accès des pays pauvres aux vaccins anti-Covid, une urgence éthique

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L’organisation d’aide catholique « Misereor » demande notamment à l’Allemagne et à l’Union européenne d’assurer à tous les pays un accès équitable et rapide aux vaccins contre le coronavirus.

Des infirmières suivant une formation pour la campagne de vaccination à l’hôpital de Bangalore, en Inde, le 15 janvier 2021. (ANSA)

Dans un entretien à la section allemande de Radio Vatican – Vatican News, Pirmin Spiegel, directeur général de l’Agence catholique de coopération au développement Misereor, souligne qu’il serait urgent de soutenir par tous les moyens l’initiative COVAX (Covid-19 Vaccines Global Access), qui a été fondée dans le cadre de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Il serait important de soutenir cette initiative avec des moyens financiers afin que les vaccinations au niveau mondial puissent être lancées rapidement même dans les pays où le taux de pauvreté est élevé.

En particulier dans l’esprit de l’encyclique Fratelli tutti du Pape François, il est plus que jamais nécessaire de faire preuve de solidarité, explique-t-il. Il rappelle que des études montrent que 13 % de la population mondiale a obtenu environ la moitié des vaccins contre le Covid. Avec de tels déséquilibres, les experts craignent que la vaccination universelle ne prenne des années à se réaliser, à moins que les pays riches ne soient prêts à investir davantage au profit des autres.

La vaccination ne sera efficace que si elle est mondiale

«Ne nous faisons pas d’illusions», avertit Pirmin Spiegel: «Le monde ne pourra faire face à la crise du Covid-19 que si nous la combattons partout, et pas seulement chez nous». Il se réfère également aux déclarations de Tilman Rüppel, de l’Institut médical missionnaire de Würzburg, avec lequel Misereor travaille en étroite collaboration. Rüppel met en garde contre un «nationalisme vaccinal» qui se concentre uniquement sur la pandémie dans son propre pays et ne reconnaît pas ses implications mondiales.

Il s’agit maintenant de maîtriser le virus dans tous les pays du monde le plus rapidement possible, déclare l’expert. Si cela ne réussit que dans certaines régions, le virus aura le temps de muter, c’est-à-dire de changer génétiquement, et sera beaucoup plus difficile à combattre.

«Il devient très clair que l’inégalité dans notre monde est également cartographiée dans la question de l’accès aux vaccins. C’est pourquoi le vaccin est un bien public mondial. Il faut donc prévoir des quotas pour l’ensemble de la population mondiale, afin de les répartir proportionnellement aux populations respectives et de tenir compte des niveaux de risque et de vulnérabilité», précise-t-il.

Une suspension des brevets pour rendre les vaccins plus accessibles

 Avec cette prise de conscience, Pirmin Spiegel plaide pour une suspension temporaire des brevets sur les différents vaccins afin qu’ils puissent être produits et achetés en temps voulu. La situation de la pandémie est encore très tendue dans de nombreux pays du Sud. Et il rappelle la situation au Brésil: «Là-bas, nos organisations partenaires nous rapportent que plus de huit millions de personnes sont infectées et que plus de 200 000 personnes sont mortes du coronavirus, dans certains cas dans des conditions dévastatrices», explique-t-il. À Manaus, par exemple, les hôpitaux sont surpeuplés et manquent d’équipements de protection. Aucun vaccin n’a encore été approuvé par l’autorité sanitaire nationale de ce pays d’Amérique latine.

La situation est également dramatique au Mexique, où plus de 134 000 personnes sont décédées des suites du Covid-19. Au total, plus de 1,5 million de personnes y ont été infectées. Le pays, avec une population de près de 130 millions d’habitants, la dixième plus grande au monde, a le quatrième plus grand nombre de décès dus au coronavirus. Pirmin Spiegel souligne que la pandémie exacerbe les inégalités sociales existantes. Jusqu’à 45 % de la population mexicaine à faibles et moyens revenus avant la crise est menacée de pauvreté. Et le gouvernement ne fait qu’appeler à contenir la pandémie, rapportent les partenaires de Misereor.

Dans des pays comme la Bolivie ou l’Argentine, les ressources financières sont insuffisantes pour pouvoir acheter des vaccins puissants et fiables. En conséquence, le gouvernement de La Paz, par exemple, s’appuie principalement sur le vaccin Spoutnik fabriqué en Russie. Ce vaccin a été testé moins largement que d’autres préparations, et son efficacité est controversée.

En Bolivie, les partenaires de Misereor signalent que, surtout dans les régions rurales, il y a un manque d’infrastructures et d’équipements nécessaires aux vaccinations (systèmes de refroidissement, etc.), ainsi qu’un manque de personnel qualifié. Le gouvernement manque également d’informations importantes, telles que le nombre total de vaccins garantis, leur fiabilité, leur tolérance, leur efficacité et leurs prix. Il refuse également de permettre aux organisations de la société civile de participer à la gestion de la pandémie.

Rééquilibrer la répartition des vaccins entre pays riches et pauvres

 «Certains pays riches ont déjà obtenu plus de vaccins qu’il n’en faut pour approvisionner leurs populations», explique Pirmin Spiegel. Dans de nombreux pays du Sud, au contraire, les gens devront attendre longtemps avant que suffisamment de vaccins soient disponibles. «Assurons-nous que toutes les personnes qui le souhaitent puissent être vaccinées rapidement», demande le dirigeant de Misereor.

«Dans l’esprit de fraternité et de solidarité universelle, les plus pauvres et les plus vulnérables ont besoin d’une attention particulière. Et nous ne devons pas perdre de vue d’autres crises graves et croissantes dans le Sud, malgré la pandémie. La faim, le manque d’accès aux soins de santé, le manque de possibilités d’éducation, les conséquences du changement climatique et l’injustice entre les sexes» demeurent en effet des questions cruciales.

Mario Galgano – Cité du Vatican

(source: Vatican News)

L’ayatollah Khamenei interdit les vaccins US, anglais et français

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Sur ordre du Guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, l’Iran a annulé l’importation de 150 000 doses de vaccins anti-Covid-19 qui lui avaient été offerts par la communauté iranienne aux USA.

Le Guide suprême a autorisé l’importation des vaccins chinois, russes et cubain, mais interdit celle des vaccins occidentaux, US, anglais et français. En effet, lors de son allocution télévisée du 8 janvier 2021 (consacrée à la mémoire du général Soleimani), le Guide a noté que les États-Unis venaient d’enregistrer la veille plus de 4 000 morts du Corona en une seule journée. « S’ils savent comment produire un vaccin et si Pfizer peut produire un vaccin, pourquoi nous le donner ? Ils peuvent l’utiliser pour eux-mêmes, ils n’auront plus tant de morts et de victimes (…) je ne les crois pas », a-t-il poursuivi.

L’ayatollah Khamenei n’a jamais étudié que l’islam. Il est âgé de 82 ans.

(source: voltairenet.org)

Nouveau variant de coronavirus : L’OMS met en garde, le danger plane sur Madagascar

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Le gouvernement renforce les mesures barrières pour éviter une recontamination généralisée du coronavirus.

Madagascar n’a pas manqué à l’appel de l’Organisation mondiale de la Santé pour remonter la vigilance face à la menace de regain de contaminations du virus et la découverte de nouveaux variants qui commencent à se propager. En effet, « face à la récente apparition sur le continent de nouveaux variants de la Covid-19 qui semblent avoir une transmissibilité plus forte, l’OMS avait appelé, à la fin de l’année dernière, les pays africains à renforcer la surveillance et l’analyse génomique afin de détecter toutes nouvelles mutations et de renforcer les efforts pour enrayer la pandémie », a souligné le site d’information des Nations unies.

Hiérarchie militaire. Le nouveau variant est déjà en Afrique du Sud, a affirmé l’OMS. Madagascar ne serait pas épargné de toute menace de la propagation de ce nouveau variant en provenance du pays de Mandela, connu sous le nom de « 501Y.V2 ». Pourtant, jusqu’à présent, n’est pas encore touché par ce virus « 501Y.V2 ». Même si dans le pays, les statistiques commencent à rebondir et les nombres de contaminations sont en hausse depuis quelques semaines au niveau des régions comme Analamanga, Boeny ou Diana. Le danger guette à tel point que le virus a fait une victime dans la hiérarchie militaire qui a perdu, récemment, un chef militaire à cause de la Covid-19. Un membre du gouvernement serait également atteint du virus, nous a-t-on signalé une source bien informée.

Curage. Les autorités ont donc pris les mesures de renforcer l’application des gestes barrières pour endiguer toute menace de recontamination généralisée. Les forces de l’ordre veillent depuis la semaine dernière à ce que le port de masque obligatoire en lieu public soit respecté. Tout manquement à cette disposition est synonyme à plus de demi-heure de travaux d’intérêt général, comme le curage des canaux d’évacuation d’eaux usées. Les réunions publiques à plus de 50 personnes seront à nouveau interdites et les lieux de culte sont également soumis à des restrictions. Toutefois, toute thèse d’un reconfinement des villes est jusqu’à présent démentie par les autorités.

Vigilance. Au niveau des îles voisines, les mesures sont également renforcées pour lutter contre le nouveau variant sud-africain. Sébastien Lecornu, ministre français d’Outre-mer, avait annoncé, lors d’une audition au Sénat français, « le durcissement des contrôles sur les vols (depuis la France) vers Mayotte et La Réunion si le variant sud-africain de la Covid-19 était détecté aux Comores voisines ». Les autorités devront ainsi rehausser le niveau de vigilance concernant la propagation du virus s’il est déjà repéré au niveau de l’entourage de la Grande île. Toutefois, selon l’Agence sanitaire mondiale de l’ONU, a rapporté le site d’information des Nations Unies, il n’existe pas, à ce stade, de preuve évidente que la nouvelle variante sud-africaine soit associée à une maladie plus grave ou à des résultats plus défavorables.

Rija R. – Midi

Un cluster du variant britannique du coronavirus découvert à Marseille

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Cette découverte a contribué à faire placer le département des Bouches-du-Rhône sous le régime du couvre feu avancé à 18h, à compter de dimanche 10 janvier.

Un cluster de 21 personnes porteuses du variant britannique du Covid-19 découvert à Marseille (Photo prise le 24 septembre 2020 lors d’un dépistage Covid à Marseille)

CORONAVIRUS – Malgré l’opposition des élus locaux, le préfet des Bouches-du-Rhône a confirmé ce samedi 9 janvier que le couvre-feu dans le département serait avancé à 18H00 à partir de dimanche, après la découverte notamment d’un cluster de porteurs du variant britannique du virus à l’origine du Covid-19.

“Cette décision est en particulier justifiée par la détection d’un cluster familial élargi dans le département avec une souche du variant issu du Royaume-Uni”, écrit le préfet Christophe Mirmand dans un communiqué. Sur 46 personnes contact, 21 ont été testées positives.

Un peu plus tard, le maire PS de Marseille, Benoît Payan a précisé que ce cluster se trouvait dans sa ville et s’est dit prêt dans un communiqué à déployer immédiatement 40 marins-pompiers. “Il nous faut désormais agir très vite pour endiguer la propagation de cette forme mutante et virulente de la Covid-19”, a ajouté l’élu.

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Emergency declared for Tokyo, Kanagawa, Saitama and Chiba

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Commuters head to work from Shimbashi Station in Tokyo on Thursday morning. | KYODO

Prime Minister Yoshihide Suga on Thursday declared a second, albeit less comprehensive, state of emergency in Tokyo, Kanagawa, Saitama and Chiba prefectures to contain the fast-spreading coronavirus, which has stretched parts of the nation’s health care system to breaking point.

“I’m highly alarmed by the severe situation nationwide recently … as the number of patients has been extremely high,” Suga said at a government task force meeting, adding the Go To Travel domestic tourism program will be suspended while the state of emergency is in effect.

The restrictions will enter into force Friday and remain in place until at least Feb. 7. They will not be lifted until the affected prefectures see a significant reduction in benchmarks such as hospital occupancy rates and positivity rates.

One threshold would be daily cases declining to 500 per day in Tokyo, said Yasutoshi Nishimura, the minister handling the government’s coronavirus response.

The prime minister was forced to play his last trump card — a situation his administration had desperately tried to avoid to ensure a swift economic recovery — after seeing new COVID-19 cases stubbornly refuse to go down and hospital beds rapidly fill up to as much as 88% in the capital. Tokyo logged 2,447 cases Thursday, shattering the daily record. The nationwide cases are projected to rise over 7,000.

by Satoshi Sugiyama (japantimes.co.jp)