juifs

Les Prêtres juifs qui ont tué Jésus-Christ : Anne et Caïphe

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Version audio-visuelle (commentée) des Evangiles sur le déroulement de la Rédemption de l’Humanité, aux temps des Juifs [prêtres Anne et Caïphe] de l’Ancien Testament.

Attention: A notre époque, ère de l’avènement de « l’Intelligence artificielle non maîtrisée par aucune puissance terrestre », il y a lieu de faire preuve de beaucoup de DISCERNEMENT pour cheminer vers « le Chemin, la Vérité et la Vie ! ».

 

1941-1945: Que savait-on de la « Shoah » ?

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La Shoah (dico), entreprise d’extermination systématique des Juifs d’Europe, a été menée par les nazis de 1941 à 1945 sans qu’il en fut jamais fait état dans les déclarations publiques et les documents écrits. Malgré cela, elle n’a pas échappé dès son commencement à la vigilance de quelques observateurs de bonne volonté ainsi qu’aux représentants de la Croix-Rouge.

– Le gouvernement britannique savait…

Dès 1941, grâce à la machine Enigma qui leur a permis de casser les codes secrets de la Wehrmacht, les Alliés sont informés que les Allemands massacrent d’innombrables civils dans les zones soviétiques soumises à leur joug. Ils restent discrets sur leurs informations pour ne pas dévoiler leurs sources. Winston Churchill, Premier ministre du Royaume-Uni, n’en lance pas moins un avertissement aux nazis dans son discours à la Nation du 24 août 1941 : « Depuis les invasions mongoles au XIIe siècle, on n’a jamais assisté en Europe à des pratiques d’assassinat méthodique et sans pitié à une pareille échelle. Nous sommes en présence d’un crime sans nom (…). Quand sonnera l’heure de la libération de l’Europe, l’heure sonnera aussi du châtiment ».

À ce moment-là, il est encore difficile pour les Britanniques de faire la différence entre le crime de guerre et le crime de « génocide » (le mot n’existe pas encore). En effet, les victimes, massacrées à la mitrailleuse dans des fosses communes (la « Shoah par balles »), sont désignées par les Allemands comme des saboteurs juifs, des bolcheviks ou des partisans. Mais, après le discours du 24 août 1941, les renseignements adressés au gouvernement britannique laissent de moins en moins de doutes sur la volonté nazie d’exterminer la population juive.

– La presse anglo-saxonne savait…

À l’automne 1941, ne sachant que faire des millions de Juifs tombés sous leur coupe dans les territoires conquis à l’Est, les Allemands mettent en place les premiers camps d’extermination dans le cadre de l’opération Reinhardt. C’est Chelmno en décembre pour recevoir les Juifs du ghetto de Lodz, puis Belzec (mars 1942), Sobibor (mai 1942) et Treblinka II (juillet 1942) pour les Juifs des ghettos du Gouvernement Général (Pologne centrale).

Dans son numéro du 25 juin 1942 et les suivants, le Daily Telegraph de Londres publie une série d’articles incendiaires. Le premier révèle : « Plus de 700 000 Juifs polonais ont été exterminés par les Allemands dans le plus grand massacre de tous les temps ».

Ces informations sont reprises par le New York Times et suscitent des manifestations de protestation à New York. Elles proviennent d’une dépêche reçue par Samuel Zygelbojm, membre du Conseil national polonais de Londres. Meurtri par l’indifférence de l’opinion publique, celui-ci se suicidera le 12 mai 1943 (« Puisse ma mort être un cri contre l’indifférence avec laquelle le monde regarde la destruction du monde juif et ne fait rien pour l’arrêter »).

(sourec: herodote.net)

Mont du Temple : Netanyahu interdit les visites juives jusqu’à la fin du ramadan

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Le bureau du Premier ministre a salué une décision prise à l’unanimité par les chefs de la sécurité ; Itamar Ben Gvir critique « une erreur » qui enflammera les tensions

Les visiteurs juifs sur le mont du Temple, sous la protection des forces israéliennes de sécurité, à Jérusalem, le 9 avril 2023. (Crédit : Ahmad Gharabli/AFP)

Les visiteurs juifs n’auront plus le droit dès mercredi de se rendre sur le mont du Temple, une interdiction qui durera dix jours, jusqu’à la fin du ramadan, a annoncé le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu, mardi. Le chef du gouvernement avait organisé une série de consultations sécuritaires sur le sujet dans un contexte de violences liées aux tensions vives dans le lieu saint.

Si cette décision est conforme à la politique israélienne de longue date dont l’objectif est de limiter les frictions pendant cette période de fête, les rumeurs laissaient croire que les choses pourraient changer, cette année, alors que le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, voulait continuer à permettre aux Juifs d’aller sur le mont du Temple jusqu’à la fin du mois du ramadan et particulièrement mercredi, qui est le dernier jour de Pessah.

Le communiqué qui a été émis par le bureau de Netanyahu, mardi, a indiqué que la décision prise de fermer le mont du Temple aux visiteurs juifs avait été recommandée à l’unanimité par le ministre de la Défense Yoav Gallant, le chef d’état-major de Tsahal, Herzi Halevi, le responsable du Shin Bet, Ronen Bar, et le commissaire de police Kobi Shabtai à l’issue d’entretiens.

Remarquablement absent du groupe, Ben Gvir, qui a critiqué la décision prise en disant qu’elle s’apparentait « à une grave erreur qui n’apportera pas la paix mais plutôt un risque supplémentaire d’escalade dans la situation sécuritaire ».

Il a affirmé que l’absence de visiteurs juifs sur le mont du Temple impliquait qu’un nombre moindre de policiers y seraient déployés, « ce qui créera un terrain fertile pour des manifestations massives avec des incitations à tuer des Juifs, voire un scénario où les fidèles juifs seront la cible de jets de pierre au mur Occidental ».

« Quand le terrorisme nous frappe, nous devons riposter avec une force énorme, nous ne devons pas céder », a ajouté Ben Gvir.

Le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, sur le mont du Temple, le 3 janvier 2023. (Crédit : Minhelet Har Habayit)

Gallant – qui, a annoncé Netanyahu, gardera son poste dont il avait été limogé par le Premier ministre, le mois dernier – a confirmé qu’il y avait eu un accord unanime des responsables de la sécurité concernant la décision prise mardi, a noté le communiqué de son bureau.

Netanyahu a aussi donné pour instruction aux agences sécuritaires de déployer toutes leurs forces pour sécuriser le mur Occidental, en-dessous du mont du Temple, pour que les Juifs puissent y prier. Lire la suite »

USA: Harvard revient sur son refus de nommer un critique d’Israël comme enseignant

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, Human Rights Watchs’est dit « très heureux » que l’université ait changé d’avis, après l’avoir accusé d’avoir eu peur il y a quelques semaines de la « réaction » de mécènes pro-israéliens

Kenneth Roth,le directeur exécutif de Human Rights Watch, pendant une conférence de presse à Séoul, en Corée du sud, le 1er novembre 2018. (Crédit : AP Photo/Lee Jin-man)

La prestigieuse université Harvard, dans le nord-est des Etats-Unis, a finalement proposé jeudi un poste d’enseignant-chercheur à l’ancien patron emblématique de l’ONG Human Rights Watch, Kenneth Roth, connu pour ses critiques d’Israël.

Après avoir provoqué une polémique sur la liberté d’enseigner en refusant il y a quelques semaines la nomination de Kenneth Roth à Harvard, le doyen de la faculté Kennedy School de politiques publiques, Doug Elmendorf, a reconnu jeudi dans un courrier interne consulté par l’AFP qu’il avait fait une « erreur ».

L’ancien directeur de l’ONG Human Rights Watch (HRW) parti à la retraite à l’été 2022 va pouvoir enseigner durant une année au Carr Center for Human Rights de la Kennedy School, a admis M. Elmendorf.

Il s’est dit « désolé » que sa décision première de refus « ait pu jeter un doute sur la mission de l’école et l’engagement à un débat ouvert ».

Tout a commencé il y a plusieurs semaines lorsque le magazine The Nation a révélé que M. Elmendorf avait bloqué la nomination de M. Roth pour les prétendus « préjugés anti-Israël » de HRW et les critiques répétées de son patron contre les politiques de l’Etat hébreu.

De fait, la puissante organisation basée à New York, souvent proche des positions de la diplomatie américaine sous administration démocrate en matière de droits humains, avait accusé en 2021 Israël, allié des Etats-Unis, de « crimes d’apartheid et de persécution » contre les Palestiniens.

Des étudiants marchent près de la bibliothèque Widener dans les jardins de l’université Harvard à Cambridge, dans le Massachusetts, le 13 août 2019. (Crédit: AP/Charles Krupa, File)

Fustigeant ce rapport, nombre d’associations politiques juives aux Etats-Unis avaient dénoncé l’ONG, l’American Jewish Committee estimant que HRW flirtait « parfois avec la frontière de l’antisémitisme ».

Les Etats-Unis comptent la plus importante communauté juive au monde après Israël.

Kenneth Roth, qui a dirigé HRW de 1993 à 2022, s’est déclaré « très heureux » que M. Elmendorf ait changé d’avis, après l’avoir accusé dans le journal britannique The Guardian d’avoir eu peur il y a quelques semaines de la « réaction » de mécènes pro-israéliens de l’université Harvard, qui siège depuis 1636 à Cambridge, près de Boston, dans le Massachusetts.

« Le problème des gens pénalisés pour leurs critiques d’Israël ne se cantonne pas à mon cas, mais la plupart des universitaires et étudiants n’ont pas la même capacité de mobilisation », a encore dénigré M. Roth dans un communiqué jeudi.

Dans sa lettre, M. Elmendorf s’est défendu d’être « influencé par les donateurs » de Harvard et qu’il n’y avait pas selon lui de « limite au débat à la Kennedy School sur les droits humains quel que soit le pays ».

(source: fr.timesofisrael.com)

 

Un nombre record de Juifs sur le mont du Temple depuis Rosh HaShana

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Selon un groupe de défense, plus de 6 000 visiteurs juifs se sont rendus sur le site sacré, alors que le Hamas a menacé de recourir à la violence.

Des Juifs visitant le mont du Temple le jour de Rosh HaShana, le 25 septembre 2022. (Crédit : AP Photo/ Maya Alleruzzo)

Plus de 6 000 Juifs ont visité le mont du Temple dans la Vieille Ville de Jérusalem depuis le Nouvel an juif – un nouveau record de visites mensuelles, selon le groupe de défense Yaraeh.

Yaraeh, qui promeut les visites juives sur le lieu saint, a communiqué ce chiffre vendredi, au 19e jour du mois de Tishri, et l’on s’attend à ce que ce nombre augmente encore au cours des 11 derniers jours de ce mois juif.

Au cours du même mois de l’année dernière, le groupe a déclaré qu’un nombre record de 5 981 Juifs étaient montés sur le mont du Temple.

Yisrael Medad, militant des visites sur le mont du Temple, a noté l’augmentation de la taille des groupes juifs depuis qu’il a commencé à s’y rendre. Auparavant, « pas plus de sept Juifs ne montaient en même temps, mais maintenant des groupes de 100 à 150 personnes montent simultanément », a-t-il déclaré dans un communiqué de Yaraeh.

Les visites juives sur le mont du Temple sont depuis longtemps une source de tension avec les Palestiniens, ce qui a conduit à des échauffourées mineures avec la police le mois dernier pendant Rosh HaShana, après que de jeunes Palestiniens se soient barricadés à l’intérieur de la mosquée Al-Aqsa en prévision de la venue des visiteurs juifs.

La police s’était préparée à d’éventuelles tensions sur le mont du Temple pendant la fête de Souccot, après plusieurs nuits d’émeutes à Jérusalem-Est et des troubles continus en Cisjordanie.

Toutefois, aucun affrontement n’a été signalé sur le lieu saint de Jérusalem vendredi, alors qu’un grand nombre de fidèles musulmans assistent habituellement aux prières de l’après-midi.

Des musulmans assistant à la prière du vendredi dans l’enceinte du mont du Temple, dans la Vieille Ville de Jérusalem, le 14 octobre 2022. (Crédit : Jamal Awad/Flash90)

Les Palestiniens s’opposent à la présence de visiteurs juifs sur le mont du Temple et le groupe terroriste palestinien du Hamas a mis en garde contre des « répercussions » violentes lors des visites pendant les fêtes du Nouvel an juif, lorsque le nombre de Juifs qui visitent le site augmente généralement.

Le groupe terroriste qui dirige la bande de Gaza se décrit régulièrement comme la principale force défendant le mont du Temple, qui abrite la mosquée Al-Aqsa, contre Israël.

Le complexe situé au sommet de la colline est depuis longtemps au centre des tensions, mais les Palestiniens ont exprimé une colère exacerbée face au nombre croissant de visites de Juifs, qui, selon un groupe d’activistes, a presque doublé pour atteindre le chiffre record de plus de 50 000 au cours de l’année dernière.

Le mont du Temple est le site le plus sacré du judaïsme et est vénéré comme l’emplacement des deux anciens Temples juifs. Il est géré par la Jordanie, à qui Israël a pris la Vieille Ville et le reste de Jérusalem-Est lors de la guerre des Six Jours en 1967, dans le cadre d’un accord délicat avec l’État juif.

(source: fr.timesofisrael.com)

Israël, la Géorgie et les communautés juives respectives

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À l’occasion du 30e anniversaire de l’indépendance de son pays, Lasha Zhvania affirme que les Géorgiens n’ont jamais renoncé à revendiquer des sites clés de Jérusalem.

« Le patrimoine culturel géorgien en Terre sainte est en danger », a averti l’ambassadeur de la Géorgie en Israël, Lasha Zhvania.

L’idée que la Géorgie, un petit pays peu peuplé, situé dans les montagnes du Caucase entre les puissants voisins, que sont la Russie et la Turquie, ait une histoire significative en Israël peut en surprendre certains. Jérusalem est célèbre pour ses sanctuaires catholiques, orthodoxes grecs et arméniens, et aujourd’hui, on ne trouve pas une seule église géorgienne dans tout Israël.

Mais pendant des centaines d’années, les Géorgiens ont été une force omniprésente, voire dominante, parmi les chrétiens de Terre Sainte. Les moines et les princes géorgiens ont construit des dizaines d’églises et détenaient certains des sites les plus sacrés du christianisme.

À mesure que le pouvoir politique de la Géorgie s’est affaibli, son emprise sur les sanctuaires de Terre Sainte, s’est relâchée et, à l’époque ottomane, tous ses monastères et églises étaient aux mains de communautés plus puissantes. Les inscriptions et les fresques géorgiennes anciennes ont été négligées et même vandalisées, un processus qui s’est poursuivi jusqu’à l’époque moderne.

S’adressant au Times of Israël pour marquer le trentième anniversaire de l’indépendance de la Géorgie le 26 mai, Zhvania a souligné le long héritage de la Géorgie en Israël et en particulier à Jérusalem. Bien que cet héritage ait été occulté au fil des siècles, par des églises rivales et des États plus puissants, il reste optimiste et pense que les revendications géorgiennes seront un jour reconnues.

« Il y a une sorte de poussière sur cette histoire. Mais cette poussière peut être enlevée très facilement. »

Le monastère de la croix (Crédit : Shmuel Bar-Am)

Quarante églises perdues

Les Géorgiens et les Juifs sont entrés en contact étroit il y a des milliers d’années.

Selon la tradition géorgienne, les premiers Juifs ont migré vers la région du Caucase à la suite de la destruction du Premier temple de Jérusalem par les Babyloniens en 586 avant l’ère commune. Des sources écrites géorgiennes font état de vagues ultérieures de Juifs de Judée vers la Géorgie, toutes deux tombées sous la domination romaine, au cours des premiers siècles avant et après l’ère commune.

Les Juifs de la ville géorgienne de Mtshketa, auraient apporté en Géorgie (une des versions de) la robe sans couture, que Jésus portait lors de sa crucifixion, où elle se trouve aujourd’hui dans la vénérable cathédrale de Svetitskhoveli.

Une fois le christianisme implanté dans la région, les Géorgiens ont pris la direction opposée.

L’icône de Saint-Nino à la cathédrale Svetitskhoveli, à Mtskheta, en Géorgie (Crédit : Kober, domaine public)

La tradition géorgienne fait remonter la conversion au christianisme, de l’ancien royaume géorgien de Kartli au 4e siècle. Une femme originaire de Cappadoce, nommée Nino – qui, selon certains, venait de Jérusalem – a commencé à prêcher dans le royaume vers l’an 320. Après avoir initialement persécuté les chrétiens, y compris sa femme, le roi païen Mirian III a été témoin d’un miracle, puis s’est converti, déclarant le christianisme religion officielle de l’État.

La Géorgie est la deuxième nation à se convertir au christianisme après l’Arménie, et les Géorgiens s’intéressent de près à la Terre Sainte.

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Israël: des milliers d’Arabes israéliens manifestent contre une loi controversée

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Des milliers d’Arabes israéliens ont manifesté samedi soir à Tel-Aviv pour dénoncer une loi controversée définissant Israël comme l »Etat-nation du peuple juif », selon une journaliste de l’AFP.

Le rassemblement sur la place Yitzhak Rabin a été organisé à l’initiative d’organisations représentant la minorité arabe israélienne qui constitue 17,5% de la population, alors que la semaine dernière, une énorme manifestation avait réuni des druzes, une autre minorité, opposée aussi à cette loi.

Les Arabes israéliens sont les descendants des Palestiniens restés sur leurs terres après la création de l’Etat d’Israël en 1948.

Pour les minorités druze et arabe, la loi fait d’eux des citoyens de seconde zone.

Des juifs israéliens se sont joints aux manifestants qui ont crié en hébreu et en arabe « égalité, égalité », « on ne se taira pas, l’Apartheid ne passera pas », tout en traitant le Premier ministre Benjamin Netanyahu de « fasciste ».

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