Netanhyahou
Jerusalem: le Troisième TEMPLE sera-t-il reconstruit ?
Plongez dans le mystère captivant de la Vache Rouge et du Troisième Temple de Jérusalem avec Aline ! Découvrez des secrets millénaires et suivez la piste des génisses rouges parfaites, prêtes pour un sacrifice qui pourrait bien ouvrir les portes du passé et du futur. Que manque-t-il pour reconstruire le troisième temple ? Mystères, révélations et légendes vous attendent.
Connaitre: Israël avec Aline
Le Troisième Temple de Jérusalem, en Israël, aspiration centrale de nombreux juifs religieux et point central des prophéties bibliques, pose un dilemme profond au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, mêlant zèle religieux, stratégie politique et instabilité géopolitique.
Depuis des décennies, des organisations comme le Temple Institute se préparent méticuleusement à cette entreprise, fabriquant plus de 60 objets sacrés, dont la menorah en or, les trompettes en argent et le pectoral du Grand Prêtre orné de 12 pierres précieuses, tous destinés au futur culte du Temple.
Les plans du Temple, inspirés du Second Temple d’Hérode et de l’ingénierie moderne, ont été élaborés, et les plans opérationnels sont prêts pour la construction. Lévites et Kohanim (prêtres) suivent une formation active dans des institutions comme l’Académie du Troisième Temple à Mizpe Yericho, où ils pratiquent des rituels tels que l’offrande de la Pâque et l’office quotidien du Tamid, tandis que des pierres sont rassemblées pour l’autel, conformément aux prescriptions bibliques.
Des instruments de musique, dont des lyres et des shofars, ont été recréés pour les chœurs lévitiques, et des vêtements rituels sont préparés pour une nouvelle génération de prêtres.
Cependant, l’emplacement du Temple sur le Mont du Temple, où se dressent le Dôme du Rocher et la mosquée Al-Aqsa, pose un défi de taille. La présence de ces lieux saints islamiques, contrôlés par le Waqf jordanien mais sous la surveillance des services de sécurité israéliens, alimente les tensions, car toute tentative de modifier le statu quo risque de déclencher un grave conflit international. Les propositions vont du partage de la souveraineté au démantèlement des sanctuaires musulmans, une mesure susceptible de créer des troubles.
Netanyahou, influencé par des personnalités comme le rabbin Menachem Mendel Schneerson, dit le Rabbi, qui a pressenti son rôle dans la préparation du Messie, doit gérer cette question explosive, en conciliant pressions religieuses nationales, relations diplomatiques internationales et attentes prophétiques liées à la reconstruction du Troisième Temple.
Reconnaissance de l’État de Palestine : Israël et les États-Unis fustigent la décision de la France
Hillary Clinton : Netanyahu n’est pas digne de confiance, et doit partir
L’ex-secrétaire d’État critique le dirigeant israélien pour sa gestion de la guerre, estime qu’il devrait être destitué s’il entrave la planification de l’après-guerre à Gaza

L’ancienne Secrétaire d’État américaine Hillary Clinton a critiqué mercredi la gestion par le Premier ministre Benjamin Netanyahu de la guerre entre Israël et les terroristes du Hamas et a appelé à son éviction.
« Netanyahu devrait partir. Ce n’est pas un dirigeant digne de confiance. C’est sous son autorité que l’attaque [du 7 octobre] a eu lieu. Il doit partir, et si en plus il est un obstacle à un cessez-le-feu, s’il est un obstacle à la planification de l’après-guerre, il doit absolument partir », a affirmé Clinton lors d’un entretien avec Alex Wagner Tonight sur MSNBC.
Dans le même temps, la position actuelle de Clinton, qui a exprimé son soutien à l’effort de guerre dans le passé, sur la question de savoir si Israël devait ou non mettre fin à sa campagne militaire, n’était pas claire.
« Nous aimerions qu’il y ait un cessez-le-feu. Si le Hamas acceptait un cessez-le-feu, il y aurait un cessez-le-feu », a-t-elle déclaré.
Le Hamas a appelé à un cessez-le-feu, mais a posé des conditions draconiennes, notamment une cessation des hostilités, en échange de la libération des otages qu’il détient encore, conditions qu’Israël a déclaré ne pas pouvoir accepter. Israël a déclaré qu’il poursuivrait la guerre jusqu’à ce que le régime du Hamas soit renversé et que tous les otages soient libérés.
Interrogée sur la relation entre le Président américain Joe Biden et Netanyahu, l’ancienne candidate démocrate à la présidence et Première dame a répondu : « Je pense que Joe Biden a fait tout ce qu’il pouvait faire pour (…) répondre aux préoccupations légitimes du peuple israélien après le 7 octobre, pour soutenir Israël face à une attaque terroriste perpétrée par une organisation terroriste ».
« Mais je pense qu’il est également clair que Biden fait tout ce qu’il peut pour influencer Netanyahu ».
La guerre a éclaté suite à l’attaque meurtrière lancée par le Hamas le 7 octobre contre Israël, qui a fait 1 200 morts, pour la plupart des civils. 3 000 terroristes ont envahi le sud d’Israël en traversant la frontière avec la bande de Gaza, massacrant tous ceux qui se trouvaient sur leur passage et kidnappant 253 personnes de tous âges, qui ont été emmenées comme otages à Gaza. Plus de la moitié d’entre elles sont toujours captives.

Clinton a défendu la conduite d’Israël, notant que le Hamas a commencé la guerre et qu’Israël avait le droit de se défendre dans le cadre des lois de la guerre.
En Israël, la mobilisation contre le projet de réforme judiciaire ne faiblit pas
Selon les organisateurs et les médias israéliens, les manifestations ont été plus suivies ce week-end que les semaines précédentes, alors que commence, lundi, l’examen au Parlement d’une réforme judiciaire controversée défendue par le gouvernement Nétanyahou.

Pour la 27e semaine consécutive, plusieurs dizaines de milliers d’Israéliens se sont rassemblés, samedi 8 juillet soir, dans le centre de Tel-Aviv et dans d’autres villes israéliennes pour manifester contre une réforme judiciaire controversée défendue par le gouvernement.
Les manifestants étaient plus nombreux que ces dernières semaines, selon les organisateurs qui ont avancé le chiffre de 180 000 manifestants à Tel-Aviv. Les médias israéliens ont donné aussi des chiffres en hausse, (autour de 150 000 manifestants), à l’avant-veille de l’introduction, lundi, à la Knesset d’une importante disposition de la réforme.
La police ne fournit pas d’estimations du nombre de manifestants dont une centaine ont été dispersés samedi soir à coups de canons à eau après avoir bloqué l’autoroute urbaine de Tel-Aviv, selon un journaliste de l’Agence France-Presse.
Une nouvelle journée de mobilisation annoncée mardi
Après des tentatives de négociations infructueuses avec l’opposition après l’annonce fin mars d’une « pause » dans les tentatives de légiférer sur la réforme, le gouvernement relance l’offensive au Parlement lundi, avec l’examen en première lecture d’un projet de loi visant à annuler la possibilité pour le pouvoir judiciaire de se prononcer sur « le caractère raisonnable » des décisions du gouvernement. Lire la suite »