Polisario
Pourquoi le Maroc soutient Israël ?
Le Maroc renforce ses liens avec Israël pour devenir une puissance militaire incontournable en Afrique du Nord. Face aux menaces de l’Algérie et du Polisario, le Maroc mise sur des technologies de pointe israéliennes pour moderniser son arsenal et développer sa propre industrie de défense.
Le royaume du Maroc posséderait déjà la 2e plus grosse flotte de drones militaires d’Afrique ! Cette alliance stratégique, officialisée en 2020, lui permet de sécuriser son flanc sud et la province du Sahara Occidental, vitale pour ses projets d’influence en Afrique. Le contexte dans la bande de Gaza et les critiques de l’opinion publique marocaine remettent en question ce partenariat sans pouvoir l’arrêter. Plongez dans les dessous de ce partenariat militaire surprenant et ses implications pour l’équilibre des pouvoirs dans la région.
Au Grand dam de l’Algérie: Rome écarte le Polisario du Sommet Italie-Afrique
Rome accueille, ce lundi, le sommet Italie-Afrique. Une édition consacrée au développement du continent, comme en témoigne la participation de représentants des agences des Nations unies, dont le Programme alimentaire mondial (PAM), ainsi que d’autres institutions internationales, notamment le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale. Le Maroc y est représenté par le chef de l’exécutif, Aziz Akhannouch.
Le Polisario ne figure pas sur la liste des invités à ce conclave. L’Italie n’a pas cédé aux pressions de l’Algérie sur le gouvernement de la Première ministre Giorgia Meloni, pour convier convier le mouvement séparatiste au tour de table. Déçues, les autorités algériennes ont réduit le niveau de leur représentativité à la réunion de Rome.
En l’absence du président Abdelmadjid Tebboune, c’est le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, qui a conduit la délégation algérienne à ce sommet. D’habitude, c’est le Premier ministre qui remplace le chef d’Etat aux rencontres de partenariat entre l’Union africaine et des puissances mondiales, comme c’était le cas au sommet Russie – Afrique de juillet dernier.
Le président Tebboune a eu, samedi, un entretien téléphonique avec la Première ministre Giorgia Meloni. Officiellement, les deux parties «ont eu des discussions très approfondies sur des questions régionales communes, à leur tête la Conférence Italie-Afrique, prévue dans la capitale italienne, Rome, à la fin du mois en cours», indique la présidence algérienne dans un communiqué.
Le Polisario observe le silence sur sa mise à l’écart du sommet Italie-Afrique.
(source: Yabiladi.com)
Madagascar assiste au sommet Italie-Afrique

Pendant deux jours, le sommet Italie-Afrique s’est déroulé à Rome et la Grande île est représentée par une délégation menée par Rafaravavitafika Rasata et Lalatiana Rakotondrazafy.
Avant-hier et hier s’est tenue à Rome, capitale italienne, la première édition du sommet Italie-Afrique. Madagascar a été représenté par une délégation conduite par Rafaravavitafika Rasata, ministre des Affaires étrangères et Lalatiana Rakotondrazafy, ministre de l’Enseignement technique et de la formation professionnelle. « Italie-Afrique : Un pont pour une croissance commune ». Tel est le thème de cette première édition. L’objectif étant de renforcer la collaboration entre l’Italie et les nations africaines, en promouvant une croissance mutuelle et des échanges fructueux. Le sommet entre dans le cadre de la perspective de la présidence italienne du G7 avec un grand rôle des pays africains et du «plan Mattei» qui est une vision italienne sur une coopération plus fructueuse avec le continent africain.
Rencontres bilatérales
Nombreux sont les thèmes abordés lors du sommet comme la coopération dans le domaine économique et infrastructurel, la sécurité alimentaire, la sécurité et la transition énergétique, la formation professionnelle et la culture ainsi que la migration, la mobilité et la sécurité.
Le sommet présente une opportunité pour Madagascar de peaufiner ses relations non seulement avec le pays organisateur, mais aussi, avec les pays participants dans divers domaines comme la politique, la stratégie ou encore l’économie. Pour ce faire, la délégation dirigée par les deux ministres a rencontré des personnalités italiennes et africaines dont, entre autres, le ministre italien de l’Éducation nationale et du mérite ainsi que le «Deputy minister of international relations and cooperation» de l’Afrique du Sud.
(source: moov.mg)
Passe d’armes à l’ONU entre Maroc et Algérie sur le Sahara occidental
La question de cette ancienne colonie espagnole oppose depuis des décennies Rabat aux indépendantistes sahraouis du Front Polisario, soutenus par Alger.

Les représentants marocain et algérien se sont pris à partie mardi 26 septembre lors de l’assemblée générale de l’ONU concernant le Sahara occidental, considéré comme « territoire non autonome » par les Nations unies. La question de cette ancienne colonie espagnole oppose depuis des décennies le Maroc – qui contrôle 80 % du territoire et propose un plan d’autonomie sous sa souveraineté –, aux indépendantistes sahraouis du Front Polisario, soutenus par Alger.
Utilisant son droit de réponse à la suite du discours à la tribune de son homologue marocain, l’ambassadeur algérien Amar Bendjama l’a notamment accusé d’avoir « déformé » les propos de son président Abdelmadjid Tebboune qui, la semaine dernière, a réaffirmé son soutien à l’organisation d’un référendum d’autodétermination.
« Chacun son camp. Nous Algériens, nous avons choisi le camp de la justice, de la décolonisation, de la liberté, de l’autodétermination et des droits de l’homme. Cet engagement s’applique en faveur de la cause du peuple sahraoui qui attend depuis près d’un demi-siècle que l’ONU lui rende justice, a-t-il martelé. Si, au Sahara occidental, l’occupation marocaine en avait réellement fait un paradis, avec ou non l’octroi de l’autonomie, pourquoi donc empêche-t-on ce référendum ? »
« Diaboliser les militants de la liberté »
Sahara marocain : les BRICS soutiennent la position du Maroc et infligent un coup fatal à l’Algérie
Les dirigeants des pays des BRICS, réunis récemment à Johannesburg, ont asséné un coup fatal à l’Algérie et au «polisario» en soutenant la position du Maroc au sujet de la question du Sahara et en réaffirmant leur attachement à la légalité internationale, souligne, lundi, le magazine espagnol «Atalayar».
«La Déclaration sanctionnant la réunion des BRICS soutient incontestablement la position marocaine, qui a toujours insisté sur la nécessité de respecter et de contribuer positivement au processus mené exclusivement par les Nations Unies», indique la revue spécialisée dans les affaires maghrébines et arabes.
Les pays de ce groupement ont souligné également que «pour résoudre la question du Sahara marocain et trouver une solution politique à long terme à ce différend, le respect des résolutions et des paramètres du Conseil de sécurité est nécessaire», précise la publication espagnole, assurant que la communauté internationale, que ce soit au niveau des Nations Unies, des pays africains et aux quatre coins du monde, est favorable à l’initiative marocaine d’autonomie qui répond parfaitement à tous les paramètres de pragmatisme, de réalisme, de compromis et de durabilité requis par le Conseil de sécurité.
«Les tentatives d’inclure cette question dans les discussions ont été rejetées par les membres des BRICS et aucun d’entre eux ne l’a mentionnée dans ses déclarations», poursuit « Atalayar», notant que le fait qu’aucun d’entre eux ne reconnaisse l’entité « marionnette » montre que ces pays ont refusé d’utiliser les BRICS pour servir des causes perdues.
Selon le magazine, «cet échec doit servir d’avertissement à ceux qui persistent à vouloir donner une résonance mondiale à une pensée viscéralement isolée».
«Cette prise de position des BRICS démontre également l’attachement du groupe à ses relations et à ses alliances stratégiques avec le Royaume en dépit des ingérences extérieures», relève la revue espagnole.
(source: La Relève.ma)
Sahara: Patrick Rajoelina alerte sur le danger de la balkanisation de l’Afrique à cause du Polisario
L’ancien ministre des Affaires étrangères de Madagascar, Patrick Rajoelina, signataire de l’ »Appel de Tanger » pour l’exclusion de la milice du polisario « rasd » de l’Union Africaine (UA), a affirmé que l’existence d’une organisation comme l’autoproclamée « rasd » au sein de l’UA est un danger pour toute l’Afrique, estimant que son cas pourrait faire jurisprudence pour démembrer des pays et la balkanisation de tout le continent.
En marge de la première réunion de suivi de l’ »Appel de Tanger » où plusieurs anciens Premiers ministres et ministres des Affaires Etrangères africains se sont réunis pour lancer un appel à exclure l’entité de l’autoproclamée rasd de l’organisation panafricaine, l’ancien chef de la diplomatie de Madagascar, Patrick Rajoelina a déclaré à Hespress FR que le Sahara est « pris en otage » par le front polisario en contravention « flagrante » avec les statuts de l’Organisation de l’Union Africaine (OUA) à l’époque et de l’UA aujourd’hui.
« La rasd n’est ni un Etat ni une puissance dans la mesure où un Etat existe s’il a un sol, s’il a un gouvernement et s’il a une population. Aujourd’hui, la rasd qui revendique une population, cette population vit en territoire étranger », a-t-il affirmé dans une déclaration à Hespress FR depuis Marrakech, en référence à l’Algérie qui permet à étrangers, non Algériens, d’avoir un gouvernement parallèle, des armes, sur son propre territoire.
L’ancien ministre des Affaires étrangères de Madagascar, a expliqué qu’à l’issue de « très nombreuses semaines de concertation avec de très nombreuses personnalités, nous avons rédigé un Livre blanc qui a été rédigé en toute sérénité avec des arguments juridiques, historiques, politiques, diplomatiques mais avec une immense détermination » pour faire exclure la rasd de l’Union africaine et réparer l’erreur de son admission à sa création en 2002. Lire la suite »
Sahara occidental : le Conseil de sécurité de l’ONU réclame la reprise des négociations
La résolution appelle à « une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable » dans la perspective d’une « autodétermination » du peuple sahraoui.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a appelé les « parties » au conflit du Sahara occidental à « reprendre les négociations », jeudi 17 octobre, pour permettre une solution « durable et mutuellement acceptable ». Les Etats-Unis, qui ont rédigé le texte de la résolution, ont regretté l’absence d’unanimité lors de ce vote qui a recueilli treize voix pour, avec les abstentions du Kenya et de la Russie, qui a dénoncé un texte « pas équilibré ».
La résolution appelle « les parties à reprendre les négociations sous l’égide du secrétaire général sans préconditions et de bonne foi », avec l’objectif de parvenir à « une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable » dans la perspective d’une « autodétermination du peuple du Sahara occidental ». Le Conseil avait lancé ce même appel il y a un an, au moment où le nouvel émissaire de l’ONU, l’Italien Staffan de Mistura, prenait ses fonctions. Il s’est depuis rendu plusieurs fois dans la région pour rencontrer les différents acteurs.
Mais dans son rapport annuel publié récemment, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, s’est dit « vivement préoccupé par l’évolution de la situation ». « La reprise des hostilités entre le Maroc et le Front Polisario marque un net recul dans la recherche d’une solution politique à ce différend de longue date », a-t-il insisté, évoquant des « frappes aériennes et des tirs de part et d’autre du mur de sable » qui sépare les deux parties.
Le mandat de la Minurso renouvelé pour un an
Le Sahara occidental, ex-colonie espagnole, est considéré comme un « territoire non autonome » par l’ONU, en l’absence d’un règlement définitif. Il oppose depuis des décennies le Maroc au Front Polisario, soutenu par l’Algérie. Rabat, qui contrôle près de 80 % de ce vaste territoire, prône un plan d’autonomie sous sa souveraineté. Le Polisario réclame pour sa part le référendum d’autodétermination sous l’égide de l’ONU qui avait été prévu lors de la signature en 1991 d’un cessez-le-feu mais jamais concrétisé. Lire la suite »
L’heure de vérité française sur le Maroc
Cette heure de vérité s’approche à grands pas. Un de ses tests majeurs fut le vote au sein du conseil de sécurité sur les Sahara marocain. Si ce froid glacial qui souffle depuis des mois sur l’axe Paris/Rabat devait avoir une résonance à New York, cela se verrait forcément dans la perception française de cette discorde régionale .
En fait la question que tout le monde se pose et à laquelle peu de gens ont une réponse est la suivante : Quels impacts les deux derrières visites françaises à Alger, celle du président Emmanuel Macron et celle de sa première ministre, Elisabeth Borne accompagnée de la moitié du gouvernement français, pourraient avoir sur la position française au sein des nations unies sur l’affaire du Sahara.
Durant ces visites, des informations ont été opportunément diffusées sur la possible existence d’un nouveau pacte franco-algérien sur le Sahara. Il a même été attribué à la ministre des affaires étrangers, Catherine Colonna, une forme de promesse faite au sérail algérien de ne pas suivre le modèle américain en la matière : Une reconnaissance pure et simple de la souveraineté du Maroc sur son Sahara. .
(source: Hespress.com)
Visas au Maghreb : Macron adresse-t-il ses menaces au Maroc ?
Le président français promet de continuer sa politique de durcir l’octroi de visas aux ressortissants des pays du Maghreb. «Vous avez beaucoup entendu parler de cette crise qu’on a eue avec la Tunisie, le Maroc et l’Algérie. On leur a dit si vous ne reprenez pas les gens à qui on demande de quitter le territoire, et bien, on va restreindre les visas», a-t-il souligné dans une interview accordée, ce jeudi, à la chaîne France 2.
Emmanuel Macron s’est félicité que cette politique a donné des fruits. «En deux ans, on a réussi à renvoyer chez eux 3 000 personnes qui étaient en situation irrégulière, qui troublaient l’ordre public mais, surtout, depuis une circulaire du ministre de l’Intérieur d’août 2021.» Le chef de l’Etat n’a pas précisé les origines des personnes expulsées ni les lieux à partir desquels ils ont été effectuées.
–source; Yabiladi.com)
A quelques semaines du lancement d’un exercice militaire conjoint entre l’Algérie et la Russie, près de la frontière marocaine, Moscou a tenu à rassurer Rabat.
La Russie et l’Algérie prévoient d’organiser, du 16 au 20 novembre, un exercice militaire, appelé «Bouclier du désert 2022». Les manœuvres auront pour thème principal la lutte contre le terrorisme, dans un contexte où l’armée algérienne dit être la cible d’attaques commises par des entités terroristes opérant dans le sud du pays.
Le terrain choisi par les deux armées pour réaliser ces manœuvres est la base de Hammaguir à Béchar, non-loin de la frontière avec le Maroc. Le site avait servi de base pour l’armée française, jusqu’en 1967. Cette proximité interpelle à plus d’un titre, d’autant que l’Algérie taxe le royaume de financer et entraîner des entités politiques, classées «terroristes» par Alger, comme le MAK et le Rachad.
Pour couper court à toutes les spéculations véhiculées depuis des mois sur ce sujet par les médias algériens, la diplomatie russe a tenu à apporter des clarifications. Pour rappel, l’armée algérienne avait procédé, en janvier 2021, à un important exercice militaire, près de la frontière marocaine.
Sahara occidental : l’Algérie rappelle son ambassadeur à Madrid
Espagne a opéré un changement radical et surprenant de sa position sur le Sahara occidental. Après avoir longtemps soutenu le plan onusien, Madrid a décidé de s’aligner sur les thèses marocaines, en apportant son soutien au plan d’autonomie du Maroc.
L’annonce de ce revirement a été faite vendredi 18 mars par le palais royal marocain, avant d’être confirmée par le gouvernement espagnol. Un changement qui survient quelques mois seulement après la nomination de Staffan De Mistura, comme nouvel envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU pour relancer les négociations entre le Maroc et le Front Polisario.
« Brusque revirement »
A Alger, ce changement de position est considéré comme une « trahison » de la part de l’ancienne puissance coloniale au Sahara occidental, et qui a une responsabilité historique dans les souffrances du peuple sahraoui qui se bat depuis 1975 pour son indépendance.
Face au changement de position de l’Espagne, l’Algérie qui soutient le combat du peuple sahraoui pour la tenue d’un référendum d’autodétermination, n’a pas tardé à réagir. D’autant que selon le journaliste espagnol Ignacio Cembrero, spécialiste des pays du Maghreb, Madrid n’a pas informé Alger de sa volonté de changer de position.
Ce samedi, l’Algérie a décidé le rappel de son ambassadeur à Madrid pour consultations, avec effet immédiat. Une décision qui a été prise suite aux déclarations du gouvernement espagnol constituant un « brusque revirement » de position sur le Sahara occidental, a expliqué le ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger dans un communiqué.
« Très étonnées par les déclarations des plus hautes autorités espagnoles relatives au dossier du Sahara occidental, les autorités algériennes, surprises par ce brusque revirement de position de l’ex-puissance administrante du Sahara occidental, ont décidé le rappel de leur ambassadeur à Madrid pour consultations avec effet immédiat », souligne le communiqué
(source: tsa-algerie.com)
L’Espagne soutient la position du Maroc sur le Sahara occidental
L’Espagne a opéré vendredi un changement de position radical sur le dossier sensible du Sahara occidental en soutenant pour la première fois publiquement la position de Rabat, mettant fin à une crise diplomatique majeure entre les deux pays.
« L’Espagne considère que l’initiative d’autonomie présentée en 2007 (par le Maroc) est la base la plus sérieuse, réaliste et crédible pour la résolution de ce différend » entre Rabat et les indépendantistes du Front Polisario, a déclaré devant la presse à Barcelone le chef de la diplomatie espagnole José Manuel Albares.
Il confirmait ainsi mot pour mot le message du Premier ministre espagnol Pedro Sanchez dont avait fait état dans la journée le palais royal marocain dans un communiqué mais qui n’avait pas été confirmé par Madrid. Sans reprendre ce message et sans dire mot du Sahara, le gouvernement espagnol avait réagi plus tôt au communiqué du palais royal en annonçant l’ouverture d’une « nouvelle étape » dans les relations diplomatiques entre le deux pays.
La nouvelle position de Madrid est un changement radical alors que l’Espagne avait toujours prôné jusqu’ici la neutralité entre Rabat et le Polisario. Le conflit du Sahara occidental, ex-colonie espagnole considérée comme un « territoire non autonome » par l’ONU, oppose depuis des décennies le Maroc aux indépendantistes sahraouis du Front Polisario, soutenus par Alger.
Madrid « a cédé »
Dans le cadre de la normalisation des relations entre les deux pays, une visite de Pedro Sanchez au Maroc, dont la date n’a pas été communiquée, est programmée tandis que José Manuel Albares, se rendra lui à Rabat « avant la fin du mois », selon le gouvernement espagnol.
Dans un communiqué, le ministère marocain des Affaires étrangères a salué « les positions positives et les engagements constructifs de l’Espagne au sujet du Sahara marocain ».
La délégation du Front Polisario en Espagne a elle accusé Madrid d’avoir « cédé face au chantage et à la politique de la peur utilisée par le Maroc_ ».
(source: euronews)

