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Russie : Vladimir Poutine propose un référendum pour réformer la Constitution
Vladimir Poutine a proposé, mercredi, une réforme constitutionnelle en Russie qui aboutirait, si elle était adoptée, à la désignation du Premier ministre par le Parlement, et à la limitation des mandats présidentiels. Cela ne remettrait pas en cause la nature présidentielle du régime qu’il pilote depuis 20 ans.
Les propositions de réforme exposées par M. Poutine visent aussi à renforcer les pouvoirs des gouverneurs régionaux, à interdire aux membres du gouvernement et aux juges d’avoir des permis de séjour à l’étranger et à obliger tout candidat à la présidentielle à avoir vécu les 25 dernières années en Russie.
Le premier ministre russe Dmitri Medvedev annonce la démission de son gouvernement
Cette annonce surprise intervient quelques heures après le discours de Vladimir Poutine annonçant des réformes de la Constitution.
« Ces changements [ceux annoncés par M. Poutine], une fois adoptés, (…) apporteront des changements significatifs non seulement à toute une série d’articles de la Constitution, mais aussi à l’équilibre du pouvoir, du pouvoir exécutif, du pouvoir législatif, du pouvoir judiciaire, a expliqué, selon les agences russes, M. Medvedev. Dans ce contexte, il est évident que nous, en tant que gouvernement de la Fédération de Russie, devons donner au président de notre pays les moyens de prendre toutes les mesures qui s’imposent. C’est pour cela (…) que le gouvernement dans son ensemble donne sa démission. »
Mikhail Mishustin, nouveau Premier ministre de Vladimir Poutine
Premier sommet Russie-Afrique à Sotchi : les russes souhaitent doubler les échanges commerciaux
Argument choc: « la Russie n’a pas de passé colonial, et peut aider à niveler vers le haut la capacité de négociations des anciennes colonies des pays européens sur le Continent africain vis-à-vis de leurs anciennes puissances tutélaires. » Plus de 40 Chefs d’Etat, 54 pays représentés, une remise de 20 milliards de dollars de dettes est annoncée.
Poutine dévoile les grands axes de la coopération.
Dans une interview diffusée en amont de ce rendez-vous diplomatique, Vladimir Poutine avait fait connaître son approche, qu’il souhaite opposée à celle de certains pays occidentaux qu’il a accusés de pratiquer intimidation et chantage envers leurs anciennes colonies. Moscou préfère ainsi miser sur une relation basée sur le respect de la souveraineté et sur «une concurrence pour la coopération avec l’Afrique». (… lire la suite)
Syrie: après un entretien avec Poutine, Erdogan fait état d’un « accord historique »
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a fait état mardi d’un « accord historique » sur la Syrie conclu lors d’une réunion avec son homologue russe Vladimir Poutine à Sotchi, en Russie.

« Aujourd’hui, avec M. Poutine, nous avons conclu un accord historique pour la lutte contre le terrorisme, l’intégrité territoriale et l’unité politique de la Syrie ainsi que pour le retour des réfugiés », a déclaré Recep Tayyip Erdogan lors d’une conférence de presse.
Une trêve arrivant à son terme ce mardi soir
La Turquie a suspendu jeudi son offensive dans le nord-est de la Syrie contre les forces kurdes des YPG aux termes d’une trêve expirant mardi à 19 heures GMT pour permettre à ces forces de se retirer des zones frontalières.
Selon Recep Tayyip Erdogan, l’accord conclu avec Valdimir Poutine, allié du régime de Damas, porte surtout sur les secteurs du nord-est de la Syrie dans lesquels les YPG sont présentes mais où l’offensive turque n’avait pas été étendue avant sa suspension.
Appelée à la rescousse par les YPG, l’armée du régime syrien s’était déployée dans ces zones, qui échappaient à son contrôle depuis des années. Le retrait des forces kurdes qui doit s’achever mardi soir concerne une zone longue de 120 km entre les localités de Tal-Abyad et Ras al-Aïn, principales cibles de l’offensive turque, dans le secteur central du nord-est de la Syrie.
S’agissant de la bande frontalière à l’est et à l’ouest de ce secteur, les forces des YPG doivent s’en retirer « dans un délai de 150 heures à partir du 23 octobre à 12 heures (9 heures GMT), au-delà de 30 km avec leurs armes », a affirmé Recep Tayyip Erdogan. « Les fortifications et positions de l’organisation seront détruites », a-t-il ajouté.
« Au terme des 150 heures, des patrouilles turques et russes vont commencer à une profondeur de 10 km à l’ouest et à l’est de la zone de l’opération Source de Paix. Les terroristes de Tal Rifat et Minbej sortiront de cette zone avec leurs armes », a-t-il ajouté
(source: bfmtv)
Les valeurs libérales sont « obsolètes » selon Poutine
Pour le président russe, les valeurs libérales sont dépassées car rejetées par la majorité de la population des pays occidentaux.
« Le libéralisme présuppose que rien ne doit être fait. Les migrants ont le droit de tuer, de piller et de violer en toute impunité parce que leurs droits, en tant que migrants, doivent être protégés. C’est quoi, ces droits ? Tout délit doit être puni. La pensée libérale est dépassée. Elle entre en conflit avec l’intérêt de la majorité écrasante de la population », a déclaré Vladimir Poutine dans une interview au Financial Times cette semaine juste avant l’ouverture du G20 d’Osaka.
Les propos de Vladimir Poutine qui visaient directement la chancelière allemande accusée d’avoir commis une erreur monumentale avec sa politique d’accueil de centaines de milliers de réfugiés en 2015, ont fait réagir le président du Conseil européen.
I strongly disagree with President Putin that liberalism is obsolete. What I find really obsolete are authoritarian… twitter.com/i/web/status/1…—
Donald Tusk (@eucopresident) June 28, 2019
« Je ne suis pas du tout d’accord avec le président Poutine pour dire que le libéralisme est obsolète. Ce que je trouve vraiment obsolète, c’est l’autoritarisme, les cultes de la personnalité, le règne des oligarques », a écrit Donald Tusk sur Twitter.
Dans son interview au Financial Times, Vladimir Poutine a également jugé excessive la volonté des pays occidentaux d’admettre l’homosexualité et la fluidité des genres.
(source: euronews)
La Russie hors du traité INF, bientôt acté dans la loi russe ?
Ce traité vieux de plus de 40 ans (relatif aux missiles nucléaires à portée intermédiaire) a contribué à l’apaisement relatif dans le monde, et notamment à mettre fin à la guerre froide.
Entretien du 30 Mai 2019 avec Xavier Moreau, fondateur du centre d’analyses Stratpol. Il était invité à réagir à la proposition du président russe Vladimir Poutine au Parlement d’une loi concernant la suspension de la participation de Moscou au traité de désarmement nucléaire.
Dangers avant 2021!
Au cours d’une réunion avec des rédacteurs en chef d’agences de presse mondiales qui s’est déroulée dans le cadre du Forum économique international de Saint-Pétersbourg, le président russe Vladimir Poutine a prévenu que la Russie était prête à se retirer du traité de réduction des armes stratégiques nucléaires « New Start » si Washington ne le prorogeait pas. Il a souligné que la Russie disposait de tous les instruments nécessaires pour assurer sa sécurité.
Kim Jong-Un dénonce la «mauvaise foi» de Washington lors du sommet de Hanoï
Le premier sommet entre les présidents russe et nord-coréen dans l’Extrême-Orient russe était l’occasion pour Kim Jong-un de raviver «les liens historiques» avec Moscou et de s’exprimer sur Hanoï.

Le leader nord-coréen Kim Jong-un estime que les Etats-Unis ont été «de mauvaise foi» lors de son sommet avec le président Donald Trump à Hanoï en février. Il l’a fait savoir à son homologue russe Vladimir Poutine lors de leur rencontre jeudi à Vladivostok.
Ce tout premier sommet Poutine-Kim dans l’Extrême-Orient russe était l’occasion pour le leader nord-coréen, en quête de soutien, de raviver «les liens historiques» avec Moscou pour arriver à une «relation plus stable et plus solide». Mais tard dans la nuit, l’agence d’Etat de Pyongyang a publié des commentaires faits par le dirigeant nord-coréen auprès de son homologue russe, affichant une tonalité offensive à l’égard des Etats-Unis.
Face au tollé, Trump contraint de renier les propos tenus sur l’ingérence russe
Donald Trump se contredit publiquement
Donald Trump a fait machine arrière, mardi 17 juillet, après le tollé provoqué par ses propos, tenus la veille lors d’un sommet avec Vladimir Poutine à Helsinki. S’exprimant lors d’une conférence de presse aux côtés du président russe, le chef d’Etat américain avait en effet refusé de reconnaître toute ingérence russe dans les élections américaines de 2016, malgré les résultats de l’enquête menée par ses propres services de renseignement. De retour à la Maison Blanche, le lendemain, Donald Trump est finalement revenu sur sa déclaration, plaidant le lapsus. « Dans une de mes phrases, j’ai utilisé le mot “serait” au lieu de “ne serait pas” », a-t-il notamment déclaré.
Poutine inaugure le plus long pont d’Europe de 19 kms reliant la Crimée à la Russie
Le président russe a pris le volant d’un camion orange pour traverser l’ouvrage de dix-neuf kilomètres, construit en à peine trois ans. Un pont que l’Union européenne considère comme une violation de l’intégrité territoriale de l’Ukraine. Le président russe, Vladimir Poutine, a inauguré, mardi 15 mai, un pont de dix-neuf kilomètres, reliant la Crimée à la Russie. En jeans et blouson noir, il l’a traversé au volant d’un camion orange, soignant la communication autour de l’évènement. Commencé en février 2016, ce chantier titanesque avait été confié par l’Etat russe à la société du milliardaire Arkadi Rotenberg, partenaire de judo du président Vladimir Poutine. L’ouvrage est stratégique. Il vise à réduire l’isolement de la péninsule annexée par Moscou en 2014. L’Ukraine lui impose en effet un blocus économique depuis.
Présidentielle 2018 en Russie : Vladimir Poutine candidat pour un 4ème mandat
Vladimir Poutine a annoncé mercredi qu’il se présenterait pour un quatrième mandat à l’élection de mars 2018, ce qui en cas de victoire le placerait à la tête du pays jusqu’en 2024 et ferait de lui le dirigeant russe à la plus longue longévité au pouvoir après Joseph Staline.
Cette annonce très attendue met fin à des mois de suspense et de tergiversations du Kremlin sur les intentions de M. Poutine, aux commandes du pays depuis plus de 17 ans et donc en voie de briguer un nouveau mandat de six ans.
« J’annonce ma candidature au poste de président de la Russie », a déclaré M. Poutine, 65 ans, lors d’une rencontre avec les ouvriers d’une usine à Nijni Novgorod, sur la Volga, retransmise en direct à la télévision.
« La Russie va continuer d’aller de l’avant. Et dans ce mouvement en avant, personne ne l’arrêtera jamais », a-t-il lancé, alors que les relations entre Moscou et l’Occident sont au plus bas depuis la fin de la Guerre froide en raison de la crise ukrainienne, du conflit en Syrie et du scandale de dopage institutionnalisé visant les sportifs russes.
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