Scholz
Scholz gets angry after Vance openly shames Europe on Democracy: « We will not accept that those who look at Germany from the outside intervene in our democracy and our elections »
German Chancellor Olaf Scholz came out in defense of Europe after United States Vice President JD Vance slammed America’s western allies over democracy and free speech. “We will not accept that people who look at Germany from the outside intervene in our democracy and our elections and in the democratic opinion-forming process in the interest of this party,” Scholz said at the Munich Security Conference, the same platform from where Vance launched a blistering attack on Europe.
La France annonce « jusqu’à 3 milliards d’euros » d’aide militaire supplémentaire à l’Ukraine
Volodymyr Zelensky et Emmanuel Macron ont signé, vendredi à Paris, un accord bilatéral de sécurité par lequel la France s’engage à fournir en 2024 « jusqu’à 3 milliards d’euros » d’aide militaire « supplémentaire » à Kiev. Un accord détaillé lors d’une conférence de presse commune aux deux chefs d’État, vendredi soir depuis l’Élysée.
Xi-Scholz talk highlights pragmatic cooperation
Win-win, meditating conflicts stressed as China-EU ties warm

Chinese President Xi Jinping on Friday held a video meeting with German Chancellor Olaf Scholz, during which he noted that China and Germany, both responsible major countries, should not only develop bilateral relations and serve as examples of win-win cooperation, but also defend the international order and multilateralism, and work together to address global challenges.
Noting China-Germany relations have entered the second 50 years, Xi said that China and Germany, as all-round strategic partners, had worked together in the spirit of mutual benefit and grown together in the spirit of mutual learning and exchange.
« This is the valuable experience of the smooth development of China-Germany relations over the past decades, which should be cherished and passed on by both sides, » Xi said, describing China-Germany cooperation as open and pragmatic, which has been continuously enriched and developed.
He said that more than 130 German companies will participate in the sixth China International Import Expo, which has shown the confidence of German companies in China’s development. Lire la suite »
À Berlin, la France et l’Allemagne affichent leur rapprochement

En visite dans la capitale allemande, Élisabeth Borne souligne ses convergences avec Olaf Scholz plutôt que ses différends.
Honneurs militaires, poignée de main et quelques sourires. Reçue vendredi à Berlin par Olaf Scholz, Élisabeth Borne a tenté de faire oublier les derniers soubresauts de la relation bilatérale. «Nous avançons. Je dirais même que nous avançons bien (…) Nous souhaitons plus que jamais faire du couple franco-allemand le moteur du consensus européen», a-t-elle assuré à l’issue d’un échange de près de 1 heure 15 avec le chancelier allemand. Désaccords sur la politique énergétique européenne et dans le domaine de la défense, inquiétudes de Paris après la présentation d’un plan d’aides allemand de 200 milliards d’euros pour les ménages et les entreprises pour faire face aux factures énergétiques (mais jugé comme trop avantageux pour l’industrie outre-Rhin), nature de la conduite à tenir avec la Chine, report soudain du dernier Conseil des ministres franco-allemand… La liste s’est allongée tout au long des derniers mois.
La première rencontre entre Élisabeth Borne et le chancelier – initialement prévue en septembre – avait été annulée, le dirigeant allemand ayant été testé positif au Covid. Mais la visioconférence qui devait alors se tenir a connu le même sort, à la surprise des Français. Il a fallu un entretien entre Emmanuel Macron et Olaf Scholz, il y a un mois à l’Élysée, pour remettre de l’huile dans les rouages. Depuis, les délégations ministérielles se multiplient entre Paris et Berlin. Jeudi, la ministre de la Culture Rima Abdul Malak était en visite en Allemagne.
Fait protocolaire peu commun, le président de la République a lui-même reçu trois ministres allemands ces derniers jours. Christian Lindner (Finances), Annalena Baerbock (Affaires étrangères) et Robert Habeck (Économie et Climat). Ce dernier a également accueilli Élisabeth Borne ce vendredi dans son ministère. Les deux pays «ont une responsabilité très forte», insiste-t-on à Matignon, où l’on vante un nouvel «élan», dans un contexte de guerre en Ukraine qui met l’Europe en tension.
Quand Macron et Scholz parlent à Poutine, une partie de l’Europe s’agace
Chaque entretien Macron-Poutine suscite désormais des critiques d’une partie de l’Europe, qui reproche à la France de maintenir l’illusion d’un compromis, au lieu de se concentrer sur l’aide militaire à l’Ukraine.

Un Sommet européen extraordinaire s’ouvre aujourd’hui à Bruxelles, consacré évidemment à l’Ukraine. Dans sa lettre d’invitation, le Président du Conseil européen, Charles Michel, écrit que « notre unité a été notre principal atout », depuis le début de l’invasion russe il y a 3 mois. « Elle demeure le principe qui nous guide », ajoute-t-il.
Malgré ces belles paroles, de fortes tensions existent au sein des « 27 » ; et elles secouent le leadership habituel de la France et de l’Allemagne. Une fronde qui vise leur position mesurée sur l’Ukraine, et surtout leur volonté de préserver le dialogue avec la Russie.
Samedi, Emmanuel Macron, accompagné cette fois du Chancelier allemand Olaf Scholz, a eu Vladimir Poutine au téléphone. Pour le président français, on ne compte plus le nombre d’appels, en vain. Les comptes-rendus ne laissent pas entrevoir plus de résultats cette fois, avec un Président russe inflexible et menaçant. Aussitôt, une vague de critiques a visé Macron et Scholz.
Une partie de l’Europe, principalement les anciens pays communistes, estime que la priorité est d’aider l’Ukraine militairement, pas de chercher une sortie honorable à Poutine. Ils reprochent à l’Allemagne d’avoir mis trop de temps avant de se convertir à l’idée de livrer des armes à l’Ukraine, et à la France de maintenir l’illusion d’un compromis possible avec Poutine.
German Chancellor Scholz and French President Macron speak after EU crisis summit
EU leaders are meeting at the Versailles Palace in France in a crisis summit over the war in Ukraine. « Russia’s war of aggression constitutes a tectonic shift in European history, » a draft of the meeting’s final declaration said. Leaders will discuss « how the EU can live up to its responsibilities in this new reality, protecting our citizens, values, democracies, and our European model. » Diplomats said that they would discuss ways to boost Europe’s self-reliance, especially in the field of energy. The EU imports about 40% of its natural gas from Russia.