Siteny Randrianasoloniaiko
Siteny Randrianasoloniaiko noraisin’ny Pape François tao Vatican
Ankatoky ny fifidianana: vavaka ho an’i Madagasikara sy ny vahoakany
Gérard Andrialemirovason: Directeur Général de la Présidence tamin’ny fitondran’ny Filoha Didier Ratsiraka, hafatra miantefa amin’ny Masoivoho Frantsay
Eliana Bezaza: manohana an’i Siteny Randrianasoloniaiko izay lasa Sekretera nasionalin’ny Antoko PSD
Siteny Randrianasoloniaiko : Nouveau secrétaire national du parti PSD
A deux jours de l’ouverture du dépôt des candidatures pour la présidentielle du mois de novembre et à moins de deux semaines de sa déclaration à Toliara, Siteny Randrianasoloniaiko se dote d’un parti, le PSD.

Le congrès national du Parti Social Démocrate (PSD) s’est tenu, ce samedi, à l’Espace Madagasikara Hôtel By-Pass. A cette occasion, l’un des plus vieux partis de Madagascar a eu son nouveau Secrétaire national, Siteny Randrianasoloniaiko. Les membres du parti, venant des quatre coins de l’Île, ont décidé de confier l’avenir du « Pisodia » entre les mains de l’enfant de Tsianengeha. L’événement a été également marqué par la passation entre Eliane Bezaza, secrétaire nationale sortante, et Siteny Randrianasoloniaiko, le néo secrétaire national qui a eu à cette occasion le « Tso-drano » des Ray aman-dReny du parti.
Droit chemin
Désormais, Siteny Randrianasoloniaiko a son propre écurie pour la prochaine course à la magistrature suprême. Créé en 1956, le PSD a dominé la vie politique à Madagascar durant la Première République avant que le Président Tsiranana ne soit renversé par le mouvement populaire de 1972. 51 ans après, le parti ambitionne de revenir à la tête du pays. « Le PSD participera à toutes les élections qui vont se dérouler à Madagasca », a d’ailleurs soutenu Eliane Bezaza durant son allocution. La secrétaire nationale sortante a profité de cette occasion pour raviver l’espoir de tous les nostalgiques de la Première République. « Cacher l’histoire aux enfants malgaches est un péché mortel et un crime. On n’entend plus que du mal de Madagascar aujourd’hui », a-t-elle poursuivi tout en énumérant les scandales et les dérives que le pays a connues après la chute du régime Tsiranana. Le PSD compte sur Behozatse pour remettre le pays dans le droit chemin. De ce fait, les congressistes ont sollicité la candidature de Siteny Randrianasoloniaiko.
Arsenal électoral
« Il y a eu de bonnes choses qui ont fait la renommée de Madagascar et cela peut se répéter », a enchaîné Eliane Bezaza. Pour se faire, le pouvoir devrait revenir au parti PSD, à travers Siteny Randrianasoloniaiko. Selon encore Eliane Bezaza, le parti se dote déjà d’une structure solide. Il est présent au niveau des Fokontany, des Communes et des districts. L’arsenal électoral du PSD commence à se remettre en place. Dans les jours avenir, on devrait s’habituer à voir ensemble le PSD et le Mihava Tour. « Nous partageons la même vision et nous avons le même slogan, qui est « les Malgaches d’abord », a-t-elle ajouté. Se félicitant de cette nouvelle responsabilité, Siteny Randrianasoloniaiko n’a pas caché sa détermination à servir son parti et à le développer.
(source: Midi M/kara)
Siteny Randrianasoloniaiko : Tsodrano au « doany » de Boeny

Après le « Mihava Tour International », Siteny Randrianasoloniaiko est déjà de retour au pays. Après un passage à Toamasina, dans la capitale de la région Atsinanana, l’équipe du Mihava Tour a passé le week-end dans les régions Sofia et Boeny. Deux devoirs importants ont occupé le député de Toleara 1 et ses alliés de la Chambre basse, l’enterrement du député d’Antsohihy, Jao Jean, et la cérémonie d’ouverture du Fitampoha. Profitant de son déplacement dans le Boeny, Siteny Randrianasoloniaiko et l’équipe du Mihava Tour ont reçu le « tsodrano » dans le lieu saint de « Trano volamena » après avoir honoré de leur présence le lancement du Fitampoha dans le « doany » Manongarivo Mahajanga, là où se trouve « Andriamisara ». Ce « pèlerinage » a permis à l’équipe du Mihava Tour de renouer avec la culture ancestrale et de revenir aux sources.
« Les affaires nationales ne peuvent pas être dissociées de la culture malgache. Le respect du Zanahary, des Razana, des Raiamandreny et du Fihavanana devrait être les vertus qui nous commandent », a ainsi indiqué l’instigateur du Mihava Tour qui a profité de l’occasion pour rencontrer les notables locaux ainsi que la famille princière de la région. L’équipe du Mihava Tour a remercié le Prince Guy, du royaume de Boeny, le PM Manantany, ainsi que le Pr Antoine Rabesa Zafera et Madame Johanita Ndahimananjara pour les moments d’échange et de discussion qui ont ponctué l’événement.
(source: Julien R. Midi M/kara)
Siteny Randrianasoloniaiko : « Pas de soutien de Mamy Ravatomanga »

Des questions commencent à se poser, notamment sur le financement du Mihava Tour. En déplacement à Sambava, Siteny Randrianasoloniaiko a coupé court aux rumeurs.
« On n’a jamais parlé de Mihava Tour ! » Telle était la réponse du député de Toleara 1, Siteny Randrianasoloniaiko, par rapport aux interrogations sur une éventuelle collaboration entre lui et l’homme d’affaires Mamy Ravatomanga. En déplacement à Sambava, dans la région SAVA, dans le cadre de son Mihava Tour, l’élu de Toleara 1 a voulu tirer les choses au clair. Si le financement de ces tournées intrigue les observateurs, il a exclu tout soutien de la part de l’homme d’affaires. « On n’a jamais reçu de soutien financier, pas même 1 ariary, de sa part afin de réaliser le Mihava Tour », a-t-il fait savoir. En effet, avec ses alliés de la Chambre basse, Siteny Randrianasoloniaiko s’est fixé l’objectif de sillonner toute l’île avant de se lancer officiellement dans la course à la magistrature suprême. Une opération coûteuse
Position
Le divorce entre Siteny Randrianasoloniaiko et son ancienne famille politique est consommé. Élu sous l’étiquette IRD, le député a renié publiquement ce dernier. « Certains s’interrogent si nous faisons encore partie des « oranges ». Non, nous sommes les « jaunes » », a ainsi clamé le président de l’Union Africaine de Judo. Une déclaration qui devrait faire réagir la majorité qui voit un bon nombre de ses élus rejoindre la « maison jaune ». En tout cas, Siteny Randrianasoloniaiko a assumé sa position et écarte ainsi l’hypothèse d’une mise en scène politique entre lui et le président Andry Rajoelina. Les « jaunes » seront certainement des adversaires de taille pour les « oranges » aux prochaines échéances électorales.
Décentralisation
En dehors des sujets purement politiques, Be Hozatse garde l’esprit du Mihava Tour. Il veut rester à l’écoute de la population. A Sambava, il a soulevé le problème de la filière vanille. L’application stricte de la décentralisation est l’une des solutions avancées par l’élu de Toleara 1. « Il faut donner la gestion de la filière vanille aux autorités locales parce que depuis que le pouvoir central s’en est mêlé, la filière vanille se trouve dans une situation difficile », a-t-il poursuivi avant de souligner que seule la libéralisation de la filière réglera le problème actuel. Siteny Randrianasoloniaiko demande également la suppression de la CNV et de la fixation du prix de vente à l’export à 250 dollars le kilo par l’État. Il n’a pas mâché ses mots en dénonçant la corruption qui gangrène cette filière, ces dernières années.
Force est de constater que le discours de Be Hozatse s’adapte aux régions qu’il visite et aux circonstances. La présence des élus de ces circonscriptions à ses côtés lui est d’une grande aide. Siteny n’a pas oublié de les remercier devant la population. Une manière pour lui de séduire ces potentiels électeurs qui sont malmenés par les difficultés économiques qui n’épargnent aucune région. Au rythme où vont les choses, le mois qui vient – avec la session de mai en perspective – risque d’être animé. En attendant, la prochaine destination de Siteny Randrianasoloniaiko pour son Mihava Tour est la ville de Mahajanga, samedi.
Comité olympique malagasy – Siteny rempile pour un 4ème mandat
Siteny Thierry Randrianasoloniaiko vient d’être réélu par 30 fédérations sur 31 à la tête du Comité olympique national pour un 4ème mandat ce samedi 14 janvier à Toliara. Etant candidat unique, le président du Comité olympique malagasy est élu à l’unanimité à sa propre succession par les 30 fédérations présentes à l’assemblée générale élective, seule une fédération était signalée absente.
Le président du COM a manifesté sa volonté de lutter pour les intérêts de toutes les fédérations. Les ingérences du ministère de tutelle et de l’Etat dans les fédérations ont entrainé la suspension de deux disciplines vis à vis de leur instance internationale respective à savoir le karaté et la pétanque. Siteny Randrianasoloniaiko ne restera pas les bras croisés face à cette situation.
Sa réélection est une suite logique et aussi une confiance mutuelle du sport malagasy, africain et mondial. Notons que Siteny Randrianasoloniaiko est également le président de l’Union africaine de judo ( UAJ) et vice -président de la fédération internationale de judo.
Rappelons que l’avènement de Siteny à la tête du CNO remonte à sa première élection en 2011. Puis en 2015 et 2019. La dernière fois, il était déjà aussi candidat unique si en 2015 il s’est opposé contre Jean Michel Ramaroson, président de la fédération malagasy de basketball. Ce dernier n’a pas fait le déplacement à la Cité du soleil mais la discipline a participé au vote par procuration de même pour la natation.
Elias Fanomezantsoa – laverite.mg
Tsy nanaiky ny fialany ny Federasiona rehetra. Mamelabelatra ny tanjony sy ny manapotsipotsitra ny lesoka maro eo amin’ny fiomanana amin’ny Jeux des Iles sy ny Jeux Olympiques ny Filohan’ny COM
Siteny Randrianasoloniaiko: hilatsaka ho Filoham-pirenena ve?
Anisan’ny fanontaniana maro napetrak’i Abraham Razafy tamin’ity mpanao pôlitika ity io. Misarika ny sain’ny maro ny feo miely, na misy mampiely, ny ho filatsahan’i Siteny Randrianasoloniaiko ho Filoham-pirenena, ary manazava ireo fihetsiketsehany taorian’izay nahalany azy ho Filohan’ny Judo eto Afrika izay, sady Filoha Lefitry ny Judo maneran-tany.
Elections 2023 – Les états-majors politiques s’agitent
L’arène politique connaît une légère effervescence depuis quelques semaines. Quelques écuries politiques commencent à se préparer en vue de la présidentielle.

Le début des échauffements. Au sein de l’arène politique, tous ont déjà en tête la prochaine joute électorale, particulièrement, l’élection présidentielle de 2023. À un peu plus de deux ans avant le jour J, des écuries et personnalités politiques investissent le terrain pour prendre un temps d’avance sur la concurrence.
Une des formations politiques les plus actives dans les rangs de l’opposition, le parti «Tiako i Madagasikara» (TIM), a démarré une campagne de redynamisation de sa base, depuis quelque temps. Jusqu’ici, tout indique que Marc Ravalomanana, ancien Chef d’État, et président national du parti, sera à nouveau le porte-étendard du TIM à la prochaine élection présidentielle.
Afin d’augmenter les chances de son favori pour reconquérir le pouvoir, le TIM mobilise donc ses troupes. Une opération de redynamisation que le parti d’opposition démarre dans les districts d’Antananarivo et ses environs. Le TIM mise aussi sur la plateforme d’opposition RMDM pour élargir son envergure politique. Maintenant que l’état d’urgence sanitaire est levé, le RMDM projette de reprendre ses tournées dans les régions.
Sauf changement, le RMDM tiendra un meeting à Antsirabe, samedi. Un ancien parti au pouvoir et maintenant dans l’opposition, le «Hery vaovao ho ani’i Madagasikara» (HVM), tente également de bousculer l’arène politique, depuis quelques semaines, afin d’y faire revenir un de ses cadors. Outre les réactions et opinions sur la gestion des affaires étatiques par les tenants du pouvoir, les Bleus ont, également, repris les tournées politiques il y a peu.
Au début du mois d’août, le HVM a effectué une tournée politique dans les régions Atsinanana et Analanjirofo. Tout comme le TIM, les Bleus, eux aussi, ratissent large en misant sur une plateforme politique, le Groupe Panorama.
Déterminant
Dernièrement, c’est le parti «Asa vita no ifampitsarana» (AVI), qui a repris du service. Cette formation présidée par Norbert Lala Ratsirahonana, ancien Chef d’Etat, réputé proche de Andry Rajoelina, président de la République, a organisé des réunions politiques à Antsirabe et Morondava, dimanche et lundi. Là aussi, il a été question de redynamiser les troupes, «de raviver la flamme», en vue des élections de 2023.
Le parti de l’ancien Chef d’État Ratsirahonana baptise son réveil, «Ainga Vao Ifotony». Un terme qui sonne comme une nouvelle définition du sigle AVI. Le parti AVI fait est membre de la coalition présidentielle. Comme l’a souligné le député Jean Jacques Rabenirina, vice-président de l’Assemblée nationale, et membre du bureau politique de l’AVI, face à la presse, à Morondava, sa formation politique n’a pas eu de représentant au sein de l’Exécutif.
À Antsirabe, Norbert Lala Ratsirahonana a déclaré, «nous estimons que l’année 2023 approche à grand pas. Plusieurs échéances électorales sont prévues. (…) Il est encore difficile de dire si nous allons présenter notre propre candidat ou, à nouveau soutenir celui d’une formation politique. Nous commençons juste à réunir notre base. C’est à elle d’en décider».
À Morondava, Jean Jacques Rabenirina a soutenu, «le parti estime qu’il y a des choses acceptables et que l’on ne peut pas accepter dans la gestion des affaires nationales. Ces observations se basent sur les idéaux de l’AVI comme le respect de la démocratie et des droits de l’homme, la décentralisation effective, le développement équilibré de toutes les régions et l’État de droit. Le parti pose la question, ce qui se passe, actuellement, correspond-il à ses principes?».
Le partage des sièges au sein du pouvoir pourrait être un paramètre décisif sur les choix politiques de l’AVI, notamment, pour la présidentielle de 2023. Plus largement, ce point pourrait être déterminant pour la cohésion de la coalition présidentielle en vue de la prochaine course pour le palais d’État d’Iavoloha. Pour en revenir au parti AVI, quelques-unes de ses figures, ne lâchent plus d’une semelle le député Siteny Randrianasoloniaiko.
Le retour au pays en fanfare du député de Toliara, après son élection comme président de l’Union africaine de Judo (UAJ), et surtout son accueil triomphal dans «sa ville», en juillet, a marqué les esprits. Depuis, les bruits affirmant son intention de s’aligner à la ligne de départ de la présidentielle de 2023 se font insistants. Depuis, Siteny Randrianasoloniaiko, s’est entouré de plusieurs personnalités politiques et académiques de différentes régions et horizons.
Surfant sur des événements sportifs et culturels, le président de l’UAJ et ses alliés enchaînent les tournées. Jusqu’ici, cependant, Siteny Randrianasoloniaiko et ses proches taisent ses éventuelles ambitions politiques. Du côté du camp présidentiel, par ailleurs, tous sont en ordre de bataille pour porter le président Andry Rajoelina vers un second mandat.
Après plus d’un an à combattre la Covid-19 et à éviter que le pays ne s’embourbe dans la crise sanitaire, le Chef de l’État et ses collaborateurs s’activent pour accélérer la concrétisation de ses Velirano. Le camp présidentiel en est conscient. Le moment venu, le président de la République sera jugé sur la base de la réalisation de ses engagements qui devront mener à l’émergence du pays et les résultats de ses efforts pour améliorer le bien-être des ménages.
(source: l’Express de M/car)
Siteny Randrianasoloniako élu président de l’Union africaine de judo

Une victoire écrasante. Siteny Randrianasoloniaina a remporté haut la main la course à la tête de l’Union africaine de judo. Le président de la Fédération malgache de judo vient d’être élu président de cette instance africaine de judo lors d’un scrutin organisé ce mardi à Dakar Sénégal. Il a obtenu 42 voix sur les 51 votants. Son adversaire, le Tchadien Abakar Djarmah Aumi quant à lui, n’a récolté que 9 voix.
« Il est temps que Madagascar s’affirme sur la scène internationale. J’ai déjà occupé le poste de chairman de l’UAJ et je vise la présidence pour continuer ce qu’on a déjà commencé pour le judo africain », avait-il déclaré en janvier lors de l’annonce de sa candidature.
Avec cette sacre, le président du Comité olympique malgache devient ainsi le premier Malgache à occuper ce poste. Il est aussi le deuxième Malgache élu à la tête d’une confédération africaine après Ahmad, ancien président de la confédération africaine de football (CAF). Il dirigera le judo africain pour les quatre prochaines années.
Toute l’équipe de Moov tient à lui féliciter et lui souhaite plein succès pour ses nouvelles fonctions à la tête du judo africain.
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