Andriantsilavonandriana

Protégé : Fivoriana teny Ilafy – 07 Août 2021

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Protégé : Tsimiamboholahy sy Andafiavaratra

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Protégé : Ny fifamatoran’ny Andriana

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Réconciliation à l’histoire – Les Andriana Merina recadrent leur rôle

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Samedi se sont réunis à l’Akany Rasalama Ambohipotsy les descendants royaux regroupés au sein de l’Antenimieran’ny Andriana Merina. La rencontre a vu la présence des notables, des Tangalamena, des princes et des princesses, des députés, d’anciens ministres, des chefs d’entreprises issus de la royauté Merina et des représentants des associations royales de différentes régions.

L’AAM ambitionne de réconcilier les Malgaches à leur passé, à leur Histoire et à leurs valeurs. (crédit: l’Express de Madagascar)

Ce fut une occasion pour les membres de cette association traditionnelle de recadrer le rôle des Andriana dans la société pour éviter l’illusion de certaines personnes sur une telle interprétation, notamment sur la notion ou la fonction entre autres.

L’Andriambenimerina, le Professeur Raymond Ranjeva, à l’occasion de cette rencontre à Ambohipotsy a tenu à expliquer la mission de l’association. « L’objectif de l’AAM n’est pas de restaurer la structure royale mais de redéfinir la sacralité qui est l’équivalent du terme Hasimpiandrianam-pirenena Malagasy fondée sur les liens sacrés ayant rattaché les ascendants selon le principe du Fihavanana», at-il indiqué. Madagascar possédait des vrais repères basés sur ses histoires pour réorienter la sagesse de son peuple. En ne citant que la politique de Radama I de rassembler les royaumes à l’époque. Pour ces Andriana et notables qui ambitionnent actuellement de conserver les héritages des ascendants, « il est temps de rehausser le Hasim-piandrianam-pirenena pour servir de pilier pour les Malgaches et la génération future ».

En marge de la réunion des membres de l’AAM à l’Akany Rasalama, samedi, les intervenants ont procédé aux travaux de commission pour étudier les principaux sujets axés sur les difficultés vécues par les Andriana actuellement, les suggestions proposées pour surmonter ces blocages ainsi que les plans d’action avancés pour redorer les valeurs de ceux qui assument leur responsabilité dans cette lignée.

(source: l’Express de Madagascar)


Zaikabe Merina: Prof. Jonah Andrainarivo

Hiara-kiasa ny Oniversiten’Antananarivo (Fikarohana) sy ny Vondrona JCR

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Nanao sonia fifanarahana teny Ankatso ny Filohan’ny Oniversiten’Antananarivo, Pr. Mamy Raoul Ravelomanana, sy Atoa Jean Claude Ratsimivony, filohan’ny Groupe JCR, ho fanampiana sy fampandrosoana ny Fikarohana sy Fitrandrahana ataon’ireo Manam-pahaizana malagasy.


Vie associative : Jean Michel Rajaonarivony investi à l’Andriamben’Imerina

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La cérémonie d’investiture de Jean Michel Rajaonarivony, en tant qu’exécutif de l’Andriamben’Imerina. (crédit: Midi)

Un jour à marquer d’une pierre blanche, lors de l’investiture de l’Andriamben’Imerina selon le statut signé en 2017 de l’Antenimieran’ny Andriana an’Imerina (AAM) hier dans l’après-midi à l’auditorium Manarintsoa d’Ambohijanaka. Le temps est à l’urgence pour ces dignitaires de la noblesse du groupe humain Merina. « La culture étrangère reste encore un guide au sein de la société malgache, qui n’est pas adaptée à son identité. Un simple exemple, la décentralisation n’est pas encore bien effective, parce que personne ne se fait confiance, personne ne s‘entraide », avance Jean Michel Rajaonarivony, l’Andriamben’Imerina.

L’objectif principal est d’unir, pour vraiment rendre sa dignité au peuple malgache. « Nous constatons que le chacun pour soi a atteint les dignitaires de la noblesse malgache. Le but est maintenant d’unir, il est temps d’organiser notre société. Pas pour donner des leçons, ni pour se prendre de haut, il est temps maintenant de partir depuis la base pour le bien-être du peuple », ajoute Jean Michel Rajaonarivony. La cérémonie d’hier a été donc de le placer pour un mandat exécutif de l’Andriamben’Imerina. Il faut rappeler que cette chambre de l’Antenimieran’ny Andriana an’Imerina, est en étroite relation avec l’Antenimieran’ny Olobe an’i Madagasikara (AOM), rassemblant tous les dignitaires royaux de la Grande Île.

(source:Maminirina Rado – Midi M/kara

Antenimieran’ny Andriana Merina – A.A.M

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Nifampiarahaba teo Isoraka (ELI – English Language Institute) noho ny Taom-baovao ny A.A.M tamin’ny Asabotsy 16 Janoary 2021, notarihan’ny Andriamben’Imerina Professeur Ranjeva Raymond.

Afaka ampiasaina hampandrosoana tsara ny Firenena ireo Soatoavina dimy (5) nampiasain’ny Ntaolo malagasy fahiny, dia ny: Tsara, Marina, Fihantana, Fifanakalozana, ary Fanaja. Tsy afaka misaraka ireo eo amin’ny Fiarahamonina iray.

Fanamarihana: tokony hahitsy fa ny Professeur RANJEVA Raymond no tian’ny mpanolotra Vaovao resahana eto, fa tsy RANJEVA Marcel akory.

«Histoire de Madagascar, la construction d’une nation»: un ouvrage rare et très attendu

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« Histoire de Madagascar : La construction d’une nation », c’est le titre de l’ouvrage écrit par un collectif de six historiens, chercheurs et enseignants bien connus de la Grande Ile comme, entre autres, Manassé Esoavelomandroso, Helihanta Rajaonarison ou encore le Père Sylvain Urfer, auteur de nombreux livres sur Madagascar.

« Histoire de Madagascar, la construction d’une nation » est le résultat de deux ans de collaboration entre six historiens, chercheurs et enseignants. © Laetitia Bezain/RFI

Ce sont 283 pages qui retracent ainsi l’histoire d’un peuple, de l’arrivée des premiers occupants de l’île qui peuplent les côtes jusqu’à l’indépendance et la quête de la démocratie. Les auteurs de l’ouvrage l’ont présenté samedi 19 décembre, pour sa sortie officielle lors d’un café histoire au Musée de la photo d’Antananarivo. Il s’agit d’un ouvrage rare et attendu car les publications sur l’histoire de la Grande Ile sont souvent anciennes et peu accessibles aux Malgaches.

Mme Helihanta Rajaonarison

Ses auteurs ont voulu retracer le chemin de Madagascar en y intégrant les résultats des recherches les plus récentes. Ce projet, mené pendant deux ans, est parti d’un constat : de nombreux Malgaches connaissent peu ou mal leur histoire.

« Le système scolaire est impliqué dans cette question. Il y a, je pense, le rôle des autorités publiques de mettre en place des programmes. Il y a des programmes concernant Madagascar, à l’école, mais l’histoire de Madagascar est toujours le cadet parce qu’elle passe en dernier chapitre et cela arrive souvent que l’on ne parvienne pas à finir ce dernier chapitre du programme. Donc, il y a une méconnaissance. Nos références historiographiques et bibliographiques sont aussi assez vieilles et donc nous sommes restés avec les publications et les informations de l’époque, ce qui conduit à une méconnaissance de l’histoire car, des années 1970 jusqu’à maintenant, il y a eu de nombreuses thèses, de nouveaux résultats de recherches qui ont été publiés. Nous nous sommes dit qu’il était temps que l’on fasse cette histoire de Madagascar, écrite par les Malgaches pour les Malgaches, et dans un registre accessible à tout le monde. L’idée et notre objectif, c’est que tous les Malgaches puissent saisir l’histoire de leur pays », explique Helihanta Rajaonarison, historienne, enseignante-chercheur à l’université d’Antananarivo et présidente du Musée de la photo.

 

Le Père Sylvain URFER

Une méconnaissance qui vient aussi d’un isolement entre les régions, poursuit, de son côté, Manassé Esoavelomandroso, historien et académicien. « Notre pays est si vaste et les voies de communication sont si rares que les gens du Nord ne connaissent pas nécessairement les gens du Sud et les gens du Sud ne connaissent pas nécessairement les gens de l’Est, de l’Ouest ou du Centre. Il nous faut ces voies de communication. C’est cela, une meilleure connaissance. Mais nous sommes aussi isolés par les moyens de communication. Les journaux sont des journaux édités à Antananarivo. Ce n’est pas dans les journaux que vous allez connaître les réalités, à 100 km de la capitale. Donc la presse écrite ou audiovisuelle ne diffuse pas la connaissance de Madagascar et les autorités gouvernementales ne favorisent pas non plus cette connaissance de Madagascar par les Malgaches. ».

Déconstruire les stéréotypes ancrés dans les esprits, c’est aussi l’intention de cet ouvrage qui décrit la marche d’un peuple vers l’unité. [Histoire de la construction d’une Nation]

« Dans la tête du Malgache en général, l’histoire n’est pas l’histoire nationale. C’est l’histoire de son groupe. Il faut donc sortir de cette histoire parcellaire pour arriver à une histoire commune où tout le monde, d’où qu’on vienne, puisse se reconnaître et puis après, qu’on ait un héritage commun. Les clichés qui empêchent cela, c’est par exemple la division des Malgaches en deux groupes, en disant « les Merina et les autres ».

L’historien Manassé Esoavelomandroso

Il y a surtout une méfiance, entre les populations, nourrie par le manque de communication, par l’enclavement des régions. Il faudra donc décloisonner ces régions, décloisonner les esprits. On a une histoire commune à connaître. Nous étions différents. Nous sommes arrivés à l’intérieur de cette île qui aurait dû être un creuset mais ce creuset n’a pas abouti et donc ça continue encore jusqu’à maintenant et nous espérons qu’en lisant cela, le lecteur se posera la question et découvrira que nous devons continuer ou parachever la construction de cette nation », détaille Manassé Esoavelomandroso.

Écrit en français, une version malgache du livre est prévue l’année prochaine, avec pour objectif notamment, une utilisation dans les collèges et les lycées de la Grande Ile.

(source: RFI – correspondante à Antananarivo, Laetitia Bezain)

Lanonana nandraisana ny fiverenan’ny satroboninahitry ny tatarom-piandrianan’ny Mpanjaka Ranavalona III

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110 taona katroka taorian’ny nampidirana azy io tany amin’ny Mozean’ny Tafika frantsay ao amin’ny « Hotel des Invalides » any Paris ny faha-5 Novambra 1910 ny namerenana indray ny satroboninahitry ny tatarom-piandrianan’ny Mpanjaka Ranavalona III tato amin’ny Lapan’ny Manjakamiadana tao Anatirova.

Kabary nataon’ny Masoivoho frantsay Christophe Bouchard, sy Ramatoa Lalatiana Andriatongarivo Minisitry ny Serasera sy ny Kolontsaina , ary Djakoba Tehindrazanarivelo Minisitry ny Raharaham-bahiny no nanamarika ny lanonana.


Midika inona io? Manazava Atoa Julien Rakotonaivo, Mpandalina Tantara sady Mpikambana ao amin’ny Akademia Malagasy.