Science / Technologie

Vaccins: l’industrie pharmaceutique appelle à partager les doses

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Le système Covax vise 20% d’immunisation de la population des pays participants d’ici la fin de l’année. Patrick T. FALLON / AFP

Les principales organisations de l’industrie pharmaceutique ont exhorté mercredi à «intensifier un partage responsable des doses» de vaccins contre le Covid-19 dans le monde, estimant que la production sera suffisante pour «vacciner la population adulte mondiale» d’ici la fin de l’année. «Actuellement, les vaccins contre le Covid-19 n’atteignent pas équitablement toutes les populations prioritaires dans le monde. Les fabricants, les gouvernements et les ONG doivent travailler ensemble pour prendre des mesures urgentes afin d’agir davantage sur cette inégalité», ont estimé mercredi dans un communiqué commun les principales associations professionnelles du secteur basées en Europe et aux Etats-Unis (IFPMA, PhRMA, EFPIA, ABPI, Vaccines Europe, BIO, ICBA).

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Coronavirus: Madagasikara sy ny vaksiny

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Adihevitra sy fanazavana tsara arahana

Mpisehatra:

  • Dr Manitra Rakotoarivony: Talen’ny fampiroboroboana ny Fahasalamana (Ministera)
  • Tintin Ravonison: mpanaraka pôlitika.
  • Orlando: olon-tsotra, marefo ara-pahasalamana
  • Fetra Ralambozafimbololona Razafitsimialona, solombavambahoaka (TIM)

Mpanentana: Abraham Razafy sy Sybella Randriamazava

Coronavirus : Le jour où l’Archange saint Michel a sauvé Rome de la peste

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En 590, pendant la peste, la légende raconte que l’Archange saint Michel est apparu au pape Grégoire le Grand. A partir de ce moment-là, l’épidémie commença à disparaître.


Selon la légende, la ligne sacrée représente le coup d’épée que l’archange asséna au diable pour le renvoyer en enfer.

Une mystérieuse ligne imaginaire unit entre eux sept monastères, de l’Irlande jusqu’en Israël. Simple coïncidence ? Ces sanctuaires sont très éloignés les uns des autres, mais parfaitement alignés. La ligne sacrée de saint Michel archange serait, selon la légende, le coup d’épée que le saint asséna sur le diable pour le renvoyer en enfer. [Cliquer pour voir les diapos]

Quoi qu’il en soit, le parfait alignement de ces sanctuaires est surprenant : les trois sites les plus importants – le Mont-Saint-Michel en France, l’abbaye Saint-Michelde-la-Cluse et le sanctuaire du Mont-Gargan en Italie – sont équidistants. Un avertissement du saint afin que les lois de Dieu soient toujours respectées et que les fidèles restent sur le droit chemin. Par ailleurs, cette ligne sacrée s’aligne parfaitement avec le soleil levant du solstice d’été.

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Rechute Covid-19: les précautions doivent être doublées

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Dr Fanoela Andrianavosoa, médecin généraliste (crédit: l’Express de M/scar)

Certaines personnes ayant contracté la Covid-19 continuent de ressentir des symptômes respiratoires, neurologiques ou de la simple fatigue après être guéries de la maladie. « Lorsque j’étais infectée, tous les symptômes de la Covid-19 étaient présents mais le résultat du test que j’avais effectué était négatif. J’avais des courbatures. Puis j’avais des difficultés à respirer et à parler. Fin mars, mon état de santé s’était amélioré. Mon traitement à domicile avait été achevé. Cela avait duré deux semaines. Je pensais que j’étais tirée d’affaires mais ce n’était pas le cas. Je m’épuise facilement à chaque petit effort. », témoigne Mendrika ( nom d’emprunt) , une femme de 37 ans.

Les symptômes post Covid-19 sont nombreux. « Ces symptômes peuvent être un simple essoufflement, une légère oppression de la poitrine, un léger maux de tête, un trouble anxieux, un trouble du sommeil ou même une dépression. Des études sont en cours pour connaître la proportion des patients qui subissent ces effets à long terme, la durée de la persistance de ces symptômes et les raisons qui l’expliquent », énonce le Docteur Fanoela Andria­na­vosoa, médecin généraliste.

Plusieurs séquelles à court et à long termes ont été enregistrées. « Il existe plusieurs séquelles répertoriées sur plusieurs organes : à court terme, comme un déclin progressif de la fonction pulmonaire , mais aussi une sensibilité aux infections respiratoires. Il y a également la séquelle cardiaque, une insuffisance cardiaque ou même un infarctus. Le patient peu t avoir une séquelle rénale mais réversible. Et enfin la séquelle cérébrale puisque le coronavirus peut entraîner un AVC ou d’autres syndromes.

Redoubler de vigilance

A long terme, la Covid-19 entraîne une douleur musculaire, une douleur articulaire, une fatigue au moindre effort physique, une légère perte de mémoire ou une séquelle psychologique.

« La période de rémission diffère vraiment d’une personne à une autre. Certaines personnes se ré tablissent en quelques jours alors que d’autres prennent plusieurs mois », enchaîne le médecin. Il faut redoubler de vigilance « Les précautions sont simples et nous les connaissons déjà. Il suffit juste de les appliquer. Il faut veiller à la bonne ventilation des pièces, éviter les foules et les contacts étroits. Il faut également se laver les mains. L’important aussi c’est le port de masque. Les recommandations de confinement doivent être suivies à la lettre »,

Les patients doivent faire attention afin de ne pas faire une rechute. « Une nouvelle infection peut être plus grave que la première s’il y a eu des séquelles. Il y a un risque aussi de complication. Des complications mortelles comme un syndrome de détresse respiratoire aiguë, un choc septique, une thromboembolie ou une défaillance multi viscérale comme la lésion cardiaque, lésion foie, ou lésion au rein », conclut le médecin.

(source: l’Express)

Les États-Unis pour la levée des brevets sur les vaccins contre le Covid

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Pour justifier cet appel à la levée des brevets sur les vaccins anti-Covid 19, les Etats-Unis estiment que « les circonstances extraordinaires de la pandémie appellent à des mesures extraordinaires ».

Une femme enceinte recevant le vaccin AstraZeneca vaccine au stade de France à Saint Denis au nord de Paris le 23 avril 2021. Photo d’illustration.

BREVETS – Les Etats-Unis ont annoncé mercredi 5 mai qu’ils étaient favorables à la levée des brevets sur les vaccins anti-Covid, une prise de position exceptionnelle à l’heure où les pays pauvres manquent cruellement des précieuses doses, notamment en Inde, frappée par un record de 4.000 morts ces dernières 24 heures.

L’Inde a enregistré 412.000 nouvelles contaminations en 24 heures, selon des données officielles publiées jeudi 6 mai. Cela porte le bilan de l’Inde à plus de 230.000 décès et plus de 21 millions de cas au total, un bilan que des experts jugent largement sous-évalué.

“Il s’agit d’une crise sanitaire mondiale, et les circonstances extraordinaires de la pandémie du Covid-19 appellent à des mesures extraordinaires”, a affirmé la représentante américaine au Commerce Katherine Tai, soulignant l’urgence de la situation.

Le patron de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, a salué sur Twitter une “décision historique”.

“Nous accueillons chaleureusement et soutenons fortement les propositions de levée des brevets sur les vaccins. Nous travaillerons activement avec nos partenaires pour faire avancer ce dossier”, a réagi sur Twitter Damien O’Connor, ministre néo-zélandais de l’Agriculture et de la Biosécurité.

Une annonce “décevante” pour IFPMA

Pour l’heure, les brevets sont détenus essentiellement par des laboratoires américains qui sont globalement opposés à leur levée car cela les priverait, selon eux, d’une manne financière pour des innovations coûteuses.

Sollicités par l’AFP, Johnson & Johnson, Pfizer et Moderna n’ont pas directement réagi à l’annonce américaine.

Mais la Fédération internationale de l’industrie pharmaceutique (IFPMA) a jugé “décevante” cette annonce.

“Nous sommes totalement en phase avec l’objectif que les vaccins anti-Covid 19 soient rapidement et équitablement partagés dans le monde. Mais comme nous n’avons de cesse de le dire, une suspension est la réponse simple mais fausse à un problème complexe”, a-t-elle expliqué.

Stephen Ubl, le président de la fédération américaine (PhRMA), a souligné que cette décision pourrait ainsi “affaiblir davantage les chaînes d’approvisionnement déjà tendues et favoriser la prolifération des vaccins contrefaits”.

(source: huffingtonpost.fr)

« Le domaine cognitif de la manipulation est devenu un terrain de conflit »

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Tribune. L’OTAN distingue aujourd’hui cinq « domaines d’opérations » sur lesquels les hommes s’affrontent. Sur terre depuis qu’ils se tiennent debout, sur mer depuis qu’ils savent naviguer, dans les airs depuis la première guerre mondiale, dans le cyberespace depuis 2016 et, depuis le sommet de Londres de 2019, dans l’espace.

L’hypothèse d’ajouter un sixième domaine, le « domaine cognitif », ou « human mind » en anglais, l’autre langue officielle de l’OTAN, est désormais sur la table. Cette évolution paraît nécessaire, tant la nature des conflits s’est transformée au cours des vingt dernières années, rendant obsolète toute grille de lecture qui ne tiendrait compte que des cinq domaines opérationnels aujourd’hui retenus.

Ce sixième domaine, celui de l’influence, de la manipulation, est celui qui permet à l’adversaire de faire l’économie d’un affrontement ouvert, toujours coûteux, souvent hasardeux. Pénétrer le domaine cognitif, sans même avoir besoin de l’envahir, jouer sur les leviers qui font émerger la pensée, qui créent de nouveaux réflexes, c’est contrôler l’individu, les communautés auxquelles il appartient, jusqu’à la société tout entière.

S’attaquer à l’individu

L’idée n’est certes pas nouvelle. Le général chinois Sun Tzu (544-496 av. J.-C.) la résumait parfaitement dans L’Art de la guerre : « Soumettre l’ennemi par la force n’est pas le summum de l’art de la guerre, le summum de cet art est de soumettre l’ennemi sans verser une seule goutte de sang. » De même, manipuler la façon dont les êtres humains prennent des décisions, à travers leur perception du monde, les émotions qu’ils ressentent, les sentiments qu’ils éprouvent, c’est bien sûr ce que font, au quotidien, publicitaires et politiciens en temps de paix.

Ce qui est en revanche nouveau, c’est l’utilisation des sciences cognitiques appliquées pour s’attaquer, par des stratégies « sur-mesure de masse », à l’individu en ce qui le définit intimement comme être humain.

(… la suite dans le Monde)

Vaccin Covishield à Mada à/c Mai-21

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Vakisiny fanefotry ny coronavirus, loha-masinina ho an’ny zotra FCE (Fianarantsoa), fanatsarana ny fiofanana sy fampianarana arak’asa, sns …

30 Rafales vendus à l’Égypte: la France se justifie face aux critiques

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Les ONG accusent le régime égyptien de bafouer les droits de l’Homme et d’utiliser des armements contre des civils.

ÉGYPTE – La commande de 30 avions de combat Rafale par Le Caire pour quelque 4 milliards d’euros “renforce encore le partenariat stratégique et militaire entre la France et l’Égypte”, a salué ce mardi 4 mai le ministère français des Armées.

Emmanuel Macron et le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi lors de la visite diplomatique de ce dernier en France. Photo par Chesnot/Getty Images

“Ce contrat illustre le caractère stratégique du partenariat que la France entretient avec l’Égypte, alors que nos deux pays sont engagés résolument dans la lutte contre le terrorisme et œuvrent à la stabilité dans leur environnement régional”, affirme dans un communiqué le ministère dirigé par Florence Parly.

Le Caire et Paris affichent volontiers leur convergence dans la lutte antiterroriste et sur d’autres enjeux de sécurité régionale, comme les rivalités avec la Turquie en Méditerranée orientale ou le conflit israélo-palestinien. Ce nouveau contrat “traduit la confiance renouvelée de notre partenaire dans l’avion français”, estime par ailleurs le ministère.

Consternation du côté des ONG

Pas de quoi rassurer les défenseurs des droits de l’Homme. Ces derniers étaient déjà consternés, en décembre dernier, de voir la France “dérouler le tapis rouge” au président égyptien lors d’une visite diplomatique.

Les ONG réclamaient alors que le président conditionne, par exemple, le soutien militaire de la France à l’Égypte à la libération des prisonniers politiques. Ces derniers seraient au nombre de 6.000, selon les organisations.

L’annonce de la vente des avions de combat ne fait qu’accentuer les inquiétudes, puisque les ONG accusent Al-Sissi de non seulement bafouer les droits humains, mais aussi d’utiliser des armements contre des civils.

Des ventes “vitales” pour l’industrie de défense

Face à ces critiques, le ministère plaide que “les exportations de matériels militaires s’inscrivent dans la politique de défense et de sécurité de la France”. Elles sont par ailleurs “vitales pour notre industrie de défense et l’équipement de nos forces armées (et) contribuent également à l’autonomie stratégique et au rayonnement de notre pays”, selon lui. Ce contrat doit générer l’équivalent de 7.000 emplois en France pendant trois ans.

“Cette nouvelle commande vient compléter la première acquisition de 24 Rafale signée en 2015 et portera alors à 54 le nombre de Rafale aux couleurs égyptiennes, faisant ainsi de l’armée de l’Air égyptienne la seconde au monde après l’armée de l’Air et de l’Espace française, à opérer une telle flotte de Rafale”, se réjouit de son côté Dassault Aviation dans un communiqué séparé.

Elle est la “preuve du lien indéfectible qui unit l’Égypte (…) à Dassault Aviation depuis près de 50 ans”, selon son PDG Éric Trappier, cité dans le communiqué. La commande comporte trois contrats pour la livraison de 30 avions et des équipements associés avec Dassault Aviation, le missilier MBDA et le motoriste et groupe de défense Safran, précise le ministère.

Le premier avion sera livré trois ans après l’entrée en vigueur de ce contrat. Le montant de la transaction s’élève à 3,95 milliards d’euros, dont 200 millions pour les missiles, selon le média d’investigation français Disclose, qui avait révélé l’information lundi.

(source: huffingtonpost.fr)

Covid à Madagascar : les ravages dévastateurs du variant sud-africain

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Depuis l’arrivée du variant sud-africain sur son territoire, Madagascar enregistre environ 11.500 cas et 200 décès par mois, selon les chiffres officiels qui seraient largement sous-estimés. Entre les pénuries d’oxygène, le manque de médicaments et les hôpitaux saturés, la situation semble de plus en plus hors de contrôle, malgré le relativisme affiché des autorités. Les premiers vaccins sont attendus en fin de semaine sur l’île. Reportage de Gaëlle Borgia.

Communauté européenne à Madagascar : Campagne de vaccination à partir du 10 mai

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C’est désormais officiel. Les communautés française et européenne à Madagascar pourront se faire vacciner à compter du 10 mai prochain. « Le vaccin mis à la disposition de l’ambassade par les autorités françaises est le vaccin Janssen de Johnson et Johnson » précise l’ambassade de France à Madagascar.
L’ambassadeur de France, à Madagascar, Mr. Christophe Bouchard

Ce vaccin indiqué pour prévenir la Covid-19 causée par le SARS-CoV-2 est autorisé depuis le 11 mars 2021 dans les pays de l’Union Européenne et recommandé en France depuis le 13 mars 2021 par la Haute Autorité de santé. Il est actuellement recommandé en France pour les personnes ayant 55 ans et plus car des effets secondaires très rares mais sévères ont été observés chez des personnes de moins de 55 ans.

La vaccination se fera sur rendez-vous uniquement. Les demandes de rendez-vous se feront à partir du 5 mai, en composant le 03250 000 22 (de 7h30 à 16h30, du lundi au vendredi). Ce numéro d’appel unique, géré par l’opérateur webhelp pour le compte de l’ambassade de France a été spécifiquement mis en place pour cette campagne de vaccination.
Le centre de vaccination est situé à Ivandry. Toute personne éligible, résidant en province, pourra se faire vacciner à Antananarivo. L’ambassade, en lien avec les autorités malgaches s’efforcera de faciliter le déplacement des personnes concernées compte-tenu des restrictions actuelles de circulation.