arabie saoudite
CDM – Foot Qatar: le Prince MbS offre une Rolls Royce Phantom à tous les joueurs saoudiens
Tous les joueurs arabe saoudien appelé avoir reçu un cadeaufou du prince d’Arabie saoudite Mohammed bin Salman (MbS) après avoir remporté 2-1 contre l’Argentine en Coupe du monde 2022.
L’Arabie saoudite s’est montrée impressionnante lors du premier match de la Coupe du monde 2022 contrel’Argentine, championne de la Copa America, au stade Lusail, mardi 22/11.
Laissée à la traîne par un penalty de Lionel Messi à la 10e minute, l’Arabie Saoudite menait 2-1 en seconde périodegrâce à Saleh Al Shehri (48e) et Salem Al Dawsari (53e).
La victoire sur l’Argentine a placé les Green Falcons en tête du groupe C en récoltant trois points.
Non seulement cela, l’Arabie saoudite a également battu un certain nombre de records, à commencer par la première équipe asiatique à marquer contre l’Argentine avec deux buts, la première victoire lors du premier match de la Coupe du monde, à la première victoire sur l’Albiceleste.
La belle performance de l’équipe d’Hervé Renard a été saluéepar le Royaume d’Arabie Saoudite. Le prince saoudienMohammed bin Salman Al Saud aurait offert à chaque joueursaoudien une voiture Rolls Royce Phantom en cadeau après une fantastique victoire contre l’Argentine.
Le cadeau fou de Prince MbS au joueur saoudien est devenuviral sur les réseaux sociaux Twitter. L’homme d’affairesindien Suhel Seth était l’un de ceux qui ont mis en ligne la nouvelle qu’un joueur saoudien avait obtenu une Rolls Royce de Prince MbS.
Un activiste bien connu des médias sociaux qui est égalementdentiste, Awab Alvi, a déclaré que tous les joueurs saoudiensavaient des voitures Phantom Rolls Royce.
Cité de Rolls-Royce Pasadenale prix du type Phantom sorti en 2022 varie de 460 000 à 550 000 USD, soit l’équivalent de Rs19.5 million hors taxe à Rs 23.3 million hors taxe.
(source: minorityvoice.info/)
Le président chinois attendu en Arabie saoudite

Cette visite intervient au moment où Ryad et Washington s’écharpent sur les prix du pétrole.
Le président chinois est attendu en Arabie saoudite, a annoncé le ministre des Affaires étrangères de la monarchie du Golfe quelques jours après la reconduction de Xi Jinping au pouvoir. Sa dernière visite dans ce pays du Moyen Orient remonte à 2016.
Le ministre Fayçal ben Farhane s’exprimait lors d’une allocution retransmise par la chaîne de télévision d’État Al-Ekhbariya, après une réunion sino-saoudienne co-présidée avec son homologue chinois Wang Yi à Ryad. «Cette réunion intervient à un moment important puisqu’elle précède la visite attendue du président chinois dans le royaume», a-t-il déclaré jeudi 27 octobre au soir.
Aucune autre information sur cette éventuelle visite n’a pu être obtenue à Ryad. Interrogé par l’AFP, le ministère chinois des Affaires étrangères a affirmé qu’il n’avait «pas d’information à donner» à propos d’une éventuelle visite.
«La relation historique et solide»
Cette annonce intervient au moment où l’Arabie saoudite et son partenaire américain s’écharpent sur les prix du pétrole, les États-Unis reprochant à Ryad une connivence politique avec la Russie, un autre rival géopolitique. Le ministre saoudien a également évoqué la tenue en Arabie saoudite de plusieurs sommets entre Pékin et Ryad, un autre avec les États du Golfe et un dernier avec tous les pays arabes.
Fayçal ben Farhane a salué «la relation historique et solide» entre l’Arabie saoudite, premier exportateur de pétrole brut au monde, et la Chine, deuxième économie mondiale.
L’agence de presse chinoise officielle, Xinhua, s’est contentée de citer Wang Yi, soulignant l’importance des relations entre les deux pays, et «la priorité» accordée par Pékin à l’Arabie saoudite.
Partenaires clé
L’annonce de la visite de Xi Jinping en Arabie saoudite risque d’irriter encore davantage les États-Unis, partenaires clé des pays pétroliers du Golfe, qui voient d’un mauvais œil ce rapprochement avec leur grand rival chinois.
Washington accuse déjà Ryad de soutenir la Russie dans sa guerre contre l’Ukraine, en maintenant les prix de l’or noir à un niveau élevé, ce que les Saoudiens démentent.
(source: lefigaro.fr avec AFP)
Arabie saoudite : le prince héritier Mohammed Ben Salman nommé premier ministre

Le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed Ben Salman a été nommé premier ministre, un poste traditionnellement occupé par le roi, selon un décret royal publié ce mardi 27 septembre par l’agence de presse officielle Spa. Mohammed ben Salman est le dirigeant de facto du royaume.
«Son Altesse royale, le prince Mohammed ben Salman sera le Premier ministre, par exception à la disposition de l’article (56) de la loi fondamentale sur la gouvernance et aux dispositions pertinentes contenues dans la loi du Conseil des ministres», a écrit l’agence SPA. Mohammed ben Salman était auparavant vice-Premier ministre sous son père, le roi Salman, ainsi que ministre de la Défense.
Il est remplacé au poste de ministre de la Défense par son frère cadet, Khaled ben Salman, qui était auparavant vice-ministre de la Défense, d’après la même source. Les ministères de l’Intérieur, des Affaires étrangères et de l’Energie, n’ont pas été touchés par le remaniement gouvernemental, selon le décret royal.
Le prince Mohammed, qui a eu 37 ans le mois dernier, est en première ligne pour succéder à son père à la tête de la première économie du monde arabe. Celui qu’on surnomme MBS devrait devenir de loin le plus jeune de la dynastie saoudienne à accéder au trône après la mort de son père, âgé et affaibli. Lire la suite »
Le Qatar va investir 3 milliards de $ dans l’économie pakistanaise en difficulté
L’Arabie saoudite envisage de prolonger un prêt d’urgence de 2 milliards de dollars accordé l’an dernier.

Le Qatar s’est engagé mercredi à investir 3 milliards de dollars dans l’économie pakistanaise en difficulté, dans le dernier coup de pouce d’un État du Golfe envers la nation d’Asie du sud.
Les Émirats arabes unis ont annoncé plus tôt dans le mois qu’ils investiraient 1 milliard de dollars au Pakistan et, selon des informations de presse, l’Arabie saoudite envisage de prolonger un prêt d’urgence de 2 milliards de dollars accordé l’an dernier.
Le Fonds monétaire international (FMI) doit aussi se réunir lundi pour lever la suspension d’un programme de prêt de 6 milliards de dollars.
L’’aide qatarie a été annoncée après des discussions entre l’émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani, et le Premier ministre pakistanais, Shehbaz Sharif, arrivé dans l’émirat mardi.
L’émir « a souligné l’importance des relations fraternelles et stratégiques entre les deux pays », et notamment leurs liens économiques et financiers, selon un communiqué officiel du Qatar.
« Dans ce sens, l’Autorité d’investissement du Qatar a annoncé son intention d’investir 3 milliards de dollars dans divers secteurs commerciaux et d’investissement en République islamique du Pakistan », précise ce texte.
Le communiqué indique également que les dirigeants ont évoqué leur coopération dans les domaines de la « défense » et des « sports », sans confirmer l’envoi de troupes de maintien de l’ordre au Qatar pendant la Coupe du monde de football du 20 novembre au 18 décembre.
Le gouvernement pakistanais a annoncé la semaine dernière avoir approuvé la signature d’un accord avec l’émirat sur les « modalités du déploiement de troupes pour aider à la sécurité » pendant le Mondial-2022.
L’aide des pays du Golfe ainsi qu’un prêt de 2,5 milliards de dollars de la part de la Chine ont aidé le Pakistan à atténuer les effets d’une crise économique qui a vu l’inflation annuelle dépasser 20 %.
Récemment, toutefois, l’économie pakistanaise a montré des signes d’embellie : la roupie est plus forte et le marché boursier a réalisé des gains au cours des deux dernières semaines.

Une enveloppe de 6 milliards de dollars a été octroyée au pays par le FMI en 2019, dans le cadre d’un plan de sauvetage conclu avec le Premier ministre de l’époque, Imran Khan. Mais l’inertie du gouvernement au moment de prendre les mesures prévues dans cet accord, notamment en matière fiscale, a conduit à de multiples reports de ce prêt.
D’après des analystes, les problèmes économiques du Pakistan découlent de décennies de mauvaise gestion par les dirigeants successifs, qui ne sont pas parvenus à lutter contre la corruption et l’évasion fiscale généralisée.
Selon eux, le conseil d’administration du FMI devrait reconduire l’accord de prêt crucial la semaine prochaine.
(source: fr.timesofisraël.com)
Joe Biden quitte l’Arabie saoudite
La Macédoine fait un pas vers l’adhésion à l’Union européenne. Les forces russes intensifient leurs attaques dans le Donbass
Dégel en vue dans les relations entre l’Iran et l’Arabie saoudite
Téhéran et Riyad mènent des négociations à Bagdad, sous l’égide du premier ministre irakien pour parvenir à un apaisement dans leur brouille.

Dans un Moyen-Orient où les foyers de tensions restent incandescents, c’est la bonne nouvelle de ces derniers mois: les ennemis iraniens et saoudiens négocient depuis le printemps un apaisement de leur brouille.
Quatre rounds de discussions, d’abord secrètes puis éventées dans la presse, ont eu lieu à Bagdad en Irak, grâce à l’entremise de l’ancien chef des services de renseignements, devenu premier ministre, Moustapha Kazemi. «La dernière série de discussions s’est bien passée», confiait-il le 9 octobre au Figaro.
«Une bonne rencontre»
Les deux délégations se seraient rencontrées en sa présence le 21 septembre à l’aéroport de Bagdad. Téhéran était représenté par le général Ali Shamkhani, patron du Conseil suprême de la sécurité nationale, l’enceinte où se prennent les décisions stratégiques, et non plus par son adjoint comme lors de la première rencontre le 9 avril ; Riyad par l’expérimenté Adel al-Joubeir, ministre d’État en charge des Affaires étrangères, et non plus par le patron des services de renseignements,
Crise du Golfe : rétablissement total des relations entre le Qatar et ses voisins
Le Qatar et l’Arabie Saoudite, ainsi que cinq autres pays du Golfe, ont signé, mardi, un accord rétablissant entièrement les relations entre Doha et plusieurs de ses voisins, lors d’un sommet destiné à apaiser les tensions dans la région.
sommet de la réconciliation. Les six pays arabes du Golfe ont signé un accord de « solidarité et de stabilité », a déclaré le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, à l’ouverture, mardi 5 janvier, du sommet annuel de ce groupement régional destiné à mettre fin à une dispute de plus de trois ans avec le Qatar. Cette annonce intervient au lendemain de l’annonce de la réouverture par Riyad de ses frontières avec le Qatar, boycotté depuis plus de trois ans par ses voisins.
« Il a été décidé aujourd’hui, grâce à la sagesse de dirigeants du Golfe et de l’Égypte, de tourner la page et de rétablir toutes les relations diplomatiques » avec le Qatar, a déclaré à la presse le prince Fayçal ben Farhane Al-Saoud.
Symbole de la paix retrouvée, l’émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani, a été accueilli avec une embrassade du prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane, sur le tarmac de l’aéroport, selon les images de la chaîne de télévision d’État saoudienne Al-Ekhbariya.
Neom – Arabie Saoudite: un pont de 25 kms sur la Mer Rouge
Le 8 avril 2016, le roi d’Arabie Saoudite Salmane et le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi ont signé au Caire, un accord pour la construction d’un pont reliant l’Égypte à l’Arabie saoudite. Long de 25 kilomètres, il nécessitera entre 3 et 5 années de travail et coûtera la somme de 6 milliards de dollars.
Projet ambitieux, le pont du détroit de Tiran enjambera la mer Rouge, permettant le développement du tourisme et des échanges commerciaux. Le président de la Chambre de commerce saoudienne Abdel Rahman al-Zamel a estimé un volume entre 150 et 200 milliards de dollars et l’apparition de villes qui vivront grâce au pont qui sera appelé « Pont Salman ».

Coronavirus en Arabie: alerte à la cour des Saoud largement infectée par le virus
RÉCIT – Certains princes saoudiens auraient contracté le Covid-19 après avoir voyagé, en Europe notamment, selon des sources médicales.

Le Covid-19 est chez les al-Saoud, la famille royale d’Arabie. Quelque 150 princes ont été infectés par le virus, a révélé le New York Times, qui cite des sources médicales. Parmi eux, le gouverneur de Riyad, la capitale, neveu du roi Salman, le prince Faysal Ben Bandar Ben Abdelaziz, âgé d’au moins 70 ans, a été placé en soins intensifs.
«Je connais personnellement une princesse qui est à l’hôpital, confie un homme d’affaires dans le Golfe qui se rend régulièrement en Arabie, et je sais que d’autres princes sont malades, je reçois beaucoup d’appels téléphoniques pour me prévenir que l’épidémie se répand.»
Contactée par Le Figaro, une source ayant ses accès au palais royal va même plus loin que le New York Times: «Le virus touche plus de 150 princes, y compris des princes de très haut rang. L’entourage du roi Salman et du prince héritier Mohammed Ben Salman commence à paniquer. C’est la raison pour laquelle ils ont pris des décisions radicales. »
Attaques en Arabie Saoudite : l’Iran exclut tout dialogue avec Washington
L’Iran réfute les accusations américaines
Le réveil de l’Iran
L’Iran est désormais un acteur incontournable dans un Moyen-Orient en pleine recomposition. Avec son allié russe et son voisin turc, la République islamique entend tirer un maximum de bénéfices de l’accord historique sur son programme nucléaire signé en juillet 2015. Bénéfice déjà visible pour le pétrole. En 2016, ses exportations de brut ont doublé.
Invité de Geopolitis : Mohammad-Reza Djalili, ancien professeur IHEID Genève.
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