Edgar Razafindravahy

Commission de l’Océan Indien : Vers la création d’une École en Administration électorale dans le cadre du projet Gouvernance, Paix et Stabilité

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ÉLECTIONS ET STABILITÉ – La COI forme cent trente-trois acteurs électoraux
Lancement de l’atelier de formation en Administration Électorale hier à l’ENAM.

La modernisation de la COI Horizon 2030 est sur la bonne voie sous l’impulsion du Secrétaire général, Edgard Razafindravahy.

Projet GPS

Un mois, enfin presque, après l’appui structurant au Centre de surveillance des pêches de Madagascar qui en a fait la demande auprès de la COI, cette dernière a également donné une suite positive à la recommandation du président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) concernant la création d’une École en administration électorale dans la Grande Ile. Une école qui cadre avec le « projet Gouvernance, Paix et Stabilité » (GPS) de l’organisation intergouvernementale, selon Edgard Razafindravahy. En expliquant hier, l’importance de pareille école dans l’amélioration de l’environnement électoral dans la Région en général et à Madagascar en particulier. Surtout à l’approche des sénatoriales et d’éventuelles consultations populaires à venir.

Partenariat

Comme son abréviation l’indique, le projet GPS consiste à mieux accompagner ou guider l’ensemble du processus électoral. Selon Dama Arsène Andrianarisedo, « le partenariat entre la COI et la CENI vise à renforcer les compétences et l’expérience des acteurs électoraux ». Edgard Razafindravahy de noter pour sa part que le projet GPS financé par l’Agence française de développement (AFD), est une composante spécifique consacrée à l’appui des États membres de la COI à l’organisation des élections. D’où la mise en place d’un réseau regroupant les organes électoraux de la Région comprenant Lire la suite »

Sommet COI en Avril: Autosuffisance alimentaire, un des objectifs

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Le secrétaire général de la COI avec les représentants des pays membres, hier, à Anosy.

Initiée par Edgard Razafindravahy, la création d’un Espace commun agricole est le point d’orgue des engagements issus de la conférence ministérielle de la COI, hier. L’initiative sera portée au 5e Sommet de l’organisation, le 24 avril, à Antananarivo.

Le moment est venu, agissons. C’est en ces termes qu’Edgard Razafindravahy, secrétaire général de la Commission de l’océan Indien (COI), a conclu son discours d’ouverture de la conférence ministérielle de l’organisation sur la sécurité alimentaire et la nutrition des États membres, hier, au Carlton, à Anosy. (…lire l’article)

 

 

L’Express de Madagascar – Trente ans d’Histoire

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Antananarivo, 22 février 2025 – L’histoire commence avant l’aube. Chaque matin, bien avant que la ville ne s’éveille, dans le vacarme des rotatives et le silence des salles de rédaction, des hommes et des femmes donnent vie à un journal. Les articles s’affinent, les pages prennent forme. Puis vient l’instant où l’encre s’imprègne sur le papier, où les premières éditions s’empilent, prêtes à prendre la route. À peine sorties de l’imprimerie, elles filent vers leurs lecteurs, portées par les mains des crieurs qui, avant même que le soleil ne perce l’horizon, s’assurent que chaque exemplaire trouve son destinataire.

Aujourd’hui, ce ballet quotidien dure depuis trente ans. L’Express de Madagascar célèbre son anniversaire, trente ans d’informations, de combats, de passion et d’engagement. Trente ans à scruter, analyser, expliquer, parfois dénoncer, mais toujours avec une même exigence : celle de la vérité.

Edgard Razafindravahy Président Directeur Général

Un journal qui a su renaître de ses cendres

Comme toute grande aventure, celle de L’Express de Madagascar commence par une ambition. En 1995, un quotidien voit le jour avec feu Herizo Razafimahaleo, porté par l’idée qu’une presse économique rigoureuse et indépendante peut éclairer les grands choix d’un pays en mutation. Le concept est novateur, la ligne éditoriale se veut audacieuse, le ton tranchant. Mais les tempêtes ne tardent pas à secouer cette jeune embarcation. (..lire l’article)

Commerce – Les pays producteurs de vanille forment un bloc

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De g. à dr: Ali Bazi Ahmed, ministre de l’Économie, de l’industrie, des investissements chargé de l’intégration économique des comores, Harriet Ntabazi, ministre du Commerce, de l’industrie et des coopératives de l’Ouganda, le ministre Edgard Razafindravahy, Ratnakar Adikari, directeur exécutif au secrétariat exécutif du CIR.

Grâce à l’initiative du ministre Edgard Razafindravahy, les pays producteurs de vanille se sont entendus pour créer une organisation. L’objectif de cette plateforme est de défendre le prix de la vanille.

Historique. Finies les pressions de toutes parts et les ingérences étrangères sur le marché de la vanille. Les pays producteurs ont décidé de prendre leur destin en main. Abu Dhabi, la capitale des Émirats Arabes Unis, a été le théâtre d’un événement sans précédent hier.

En marge de la 13e réunion ministérielle de l’Organisation Mondiale du Commerce, le ministre de l’Industrialisation et du commerce, Edgard Razafindravahy, a pris l’initiative de rassembler les représentants des pays producteurs de vanille dans l’optique de créer une structure internationale pour défendre le prix de la vanille et protéger toute la chaîne de valeur. «Madagascar, avec son histoire et sa contribution significative à la production mondiale de vanille, ressent le devoir de prendre l’initiative», a souligné le ministre Edgard Razafindravahy.

Charité bien ordonnée commence par soi-même; il est logique que Madagascar, premier producteur mondial de vanille, se soucie de son produit d’exportation phare. Le prix de la vanille est tombé très bas depuis deux ans pour diverses raisons, notamment des pressions étrangères. Les prix planchers fixés par l’État ont été jugés inappropriés, et les acteurs de la filière ont demandé la libéralisation du prix. Du coup, le kilo de vanille a dégringolé.

Union sacrée

Des péripéties que l’on peut éviter à l’avenir grâce à la création d’une organisation, comme cela existe pour d’autres produits. «La future organisation permettra d’adresser les enjeux sur la stabilité du prix, sur le développement durable de la filière, sur le renforcement de la chaîne de valeurs, la recherche de nouveaux marchés, et enfin sur la promotion de la vanille naturelle aux consommateurs du monde», argumente Edgard Razafindravahy. Le ministre de l’Industrialisation et du commerce a par la suite lancé un appel solennel aux pays producteurs à œuvrer à la création de cette organisation. «Madagascar aura besoin de votre expertise, votre expérience et votre engagement pour le succès de cette initiative», a-t-il souligné.

Un appel qui a tout de suite trouvé un écho puisque les représentants de l’Ouganda, de Papouasie-Nouvelle-Guinée et des Comores se sont joints à l’idée lancée par Madagascar. Une union sacrée qui restera dans les annales et dont l’efficacité profitera à chaque pays. «C’est une déclaration d’unité entre les pays producteurs, un modèle illustrant que la collaboration internationale peut avoir un impact significatif», conclut le ministre Razafindravahy. Le doute n’est pas permis.

(source: L’Express de Madagascar)

 

Zone Forello – Trois ministres pour l’ouverture de la FIM

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Le ministre Edgar Razafindravaha entouré de Lalatiana Rakotondrazafy et Marie-Orléa Vina (à droite)

Procédant à l’ouverture officielle de la Foire internationale de Madagascar, les ministres de l’industrialisation, du commerce et de la consommation Edgard Razafindravahy, de la communication et de la culture Lalatiana Rakotondrazafy et de l’Environnement et du développement durable Marie-Orléa Vina ont pris la parole.

Lors de son discours inaugural de la FIM hier au Parc d’exposition de la zone Forello de Tanjom­bato, Edgard Razafindravahy, ministre de l’Industrialisation, du commerce et de la consommation, s’est réjoui de la forte participation des exposants à cet événement. Selon lui cela atteste de leur volonté et leur détermination à redresser la situation économique du pays confronté aux différentes crises récentes tels que la crise sanitaire, les perturbations du commerce mondial, les aléas climatiques, et aujourd’hui les conséquences de la guerre en Ukraine.

Lors de ce discours Edgard Razafindravahy a annoncé que 75 unités de transformations vont être fonctionnelles dans un avenir proche. Ceci rentre dans le cadre de l’installation des zones pépinières industrielles. Il a cité en exemple des unités de production d’huile, de sucre, de farine…. l’immense richesse des plantes médicinales associée au savoir-faire ancestral des tradipraticiens peut servir l’industrie pharmaceutique malgache.

Plusieurs initiatives

Et d’insister que les crises actuelles démontrent combien il est important de produire local et de transformer sur place pour ne plus être tributaire des importations.

Les ministres Lalatiana Rakotondrazafy, Communi­cation et culture et la ministre Marie-Orléa Vina, Environnement et développement durable ont aussi pris la parole à cette cérémonie d’ouverture de la FIM. La première est convaincue « que la culture, la communication et l’art, exploités à bon escient, peuvent aussi constituer des leviers pour développer l’économie ». La ministre Lalatiana Rakoton­drazafy a cité plusieurs initiatives de son ministère tels que Tosik’art lancé en 2019 dont l’objectif est de faire émerger des entreprises innovantes dans le monde culturel. Ont été également évoqués les secteurs du cinéma et du livre comme étant des opportunités de créer des entreprises et des emplois. La ministre Marie Orléa Vina, quant à elle a déploré « que le recours des ménages, 97%, au charbon de bois et au bois de chauffe pour la cuisson reste une forte pression sur l’environnement. Et constitue un des défis à relever pour l’économie nationale ».

Le décor est ainsi planté, quand le public et le privé décident de travailler main dans la main, pour qu’un tel événement connaisse le succès qu’il mérite.

(source: lexpress.mg)

Dialogue Public-Privé : Un tournant décisif pour l’industrialisation

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Identifier les solutions et s’accorder sur les mesures à appliquer pour lever les freins à l’essor du secteur industriel. Voilà l’objectif de la semaine de l’industrialisation qui a démarré lundi.

Du concret. Que ce soit du côté de l’Etat ou celui du secteur privé, aboutir à des solutions et des mesures concrètes est le but de la semaine de dialogue privé sur l’industrialisation qui se déroule à la Chambre de commerce et de l’industrialisation (CCI), à Antaninarenina. Un événement organisé par le ministère de l’Industrie, du commerce et de la consommation avec l’appui de l’Economic development board of Madagascar (EDBM) et attendu avec impatience par l’ensemble des groupements professionnels.

Comme l’a souligné Edgard Razafindravahy, ministre de l’Industrialisation, du commerce et de la consommation, dans son allocution d’ouverture, les échanges à Antaninarenina sont sans langue de bois. Il ajoute, «si nous organisons ce dialogue, c’est pour concrétiser ce qui y sera décidé». Une manière de souligner que contrairement aux éditions précédentes, il n’est plus question de dialoguer juste pour dialoguer, mais de traduire les décisions en acte. Il n’est plus question de s’attarder sur les problèmes que tous les acteurs du secteur connaissent déjà. Opérateur du secteur privé, Edgard Razafindravahy est bien placé pour apprécier les conditions de travail des entrepreneurs.

Le but est de trouver des solutions pour lever les obstacles au développement de l’industrie à Madagascar. On est allé directement au coeur du problème et en chercher la solution.

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Hausse du prix du gaz: Le ministre du Commerce hausse le ton et annonce une réduction dès lundi

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Deux semaines après l’annonce de la suspension de la hausse du prix du gaz de Vitogaz par le ministère chargé du Commerce, rien n’a changé sur le marché. La hausse de 10 à 16% que la société a annoncée le 30 septembre et appliquée dès le lendemain, est effective. Pourtant, une rencontre a déjà eu lieu le 1er octobre entre le ministre de tutelle, Edgard Razafindravahy, et le directeur général de Vitogaz, Olivier Gasbarian. Les deux parties se sont alors accordées de ne pas appliquer dans l’immédiat le changement de prix.

Lors d’un déplacement dans la région de Bongolava, le ministre de l’Industrie, du Commerce et de la Consommation s’est alors montré étonné de cette situation et a déclaré que le prix des bouteilles de Vitogaz doit baisser à partir du lundi 18 octobre. Il a même pointé du doigt le « non-respect des accords passés  » par la société, indiquant alors qu’il ne s’agit finalement qu’une décision unilatérale de cette compagnie.

Mais il n’y a pas que Vitogaz qui a augmenté le prix de ses produits de gaz domestique depuis le 1er octobre. Mais la hausse enregistrée n’est pas la même pour tous les opérateurs qui commercialisent ces produits. C’est la raison pour laquelle le ministère effectue actuellement des démarches auprès des autres distributeurs et de Vitogaz pour faire baisser le prix du gaz butane sur le marché national. Le ministère se garde pourtant de révéler le détail de ses actions.

Depuis le 1er octobre, le prix des bouteilles de gaz de Vitogaz a changé à cause de la flambée du prix du gaz au niveau international, a expliqué la société. Ainsi, la bouteille de 9 kilos de gaz coûte depuis 60 500 ariary et celle de 12 kilos s’achète à 84 000 ariary.

(source: madagascar-tribune)

Développement régional – Le parti libéral ADN réaffirme ses fondamentaux

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Rentrée remarquée du parti libéral ADN hier sur les ondes de la radio Antsiva. Le guide national Edgard Razafindravahy a annoncé le soutien de son parti au programme de développement axé sur la base, axe des concepts fondamentaux de l’ADN.

Une rentrée remarquée. Le parti libéral ADN a effectué son retour sur la scène politique hier à travers une déclaration d’Edgard Razafindravahy, guide national du parti sur les ondes de la radio Antsiva. Une occasion pour l’ancien PDS d’Antananarivo de confirmer le soutien de l’ADN au programme de développement entamé depuis la base par le gouvernement. L’État construit plusieurs infrastructures dans les régions selon les velirano du président de la République. Le développement des régions par la construction d’infrastructures répondant aux besoins de la population, s’inscrit dans les principes fondamentaux de l’ADN basés sur la refondation depuis les collectivités territoriales. Il y a de quoi nourrir de l’espoir pour un réel développement du pays.

Malheureusement certaines autorités n’arrivent pas à suivre le rythme imprimé par le président de la République et se perdent dans des palabres stériles. D’autres mettent carrément des bâtons dans les roues mettant en avant le fait d’avoir quelques élus. « La recherche du bien pour la population et la nation nécessite une volonté de fer et une prise de conscience depuis les acteurs de la base aux autorités investies d’une mission pour diriger le pays » souligne Edgard Razafindravahy confirmant que le parti ADN est resté fidèle à son credo.

L’État s’efforce de satisfaire l’attente de la population dans les fokontany concrétisant les velirano de la campagne présidentielle. « On ne peut pas fermer les yeux sur les nombreuses réalisations du gouvernement en deux ans et demi de pouvoir même si certaines infrastructures ne sont pas parfaites. Les centres de santé de proximité, les écoles, l’éclairage pour les campagnes, les barrages pour l’agriculture, les infrastructures sportives pour les jeunes et l’effort de maîtrise de la sécurité sont autant de biens et de services basiques qui comblent un manque séculaire dans les collectivités éloignées».

Espoir

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Razafindravahy repart en périple: La Refondation à l’heure de l’ancrage

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Edgard Razafindravahy, Chef de file du parti ADN.

On attendait sa rentrée politique. Edgard Razafindra­vahy ne s’est pas défilé devant l’intensité de l’actualité. Il est intervenu hier sur la Radio Antsiva. Beaucoup pensaient à une déclaration de soutien en faveur d’un candidat à l’élection présidentielle mais pour le guide national de l’ADN, son credo reste la Refondation.

Après les tournées de sensibilisation et de mobilisation autour de la base, il s’agit cette fois de procéder à l’ancrage du concept de Refondation au niveau des fokontany. « La Refondation ne peut pas avoir de vitalité si elle ne prend pas ses racines depuis la base, si la population ne détient pas un pouvoir réel » a-t-il souligné à l’antenne de la Radio Antsiva.

(…)

Les élections malgaches sont les plus chères au monde en terme de dépense par électeur. Une situation aberrante pour le pays le plus pauvre au monde. Une raison de plus pour procéder d’abord à la Refondation avant d’aller à l’élection.

(… lire l’intégralité de l’article de l’Express)