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La querelle de Trump à Harvard révélée ! | Le destin universitaire de Barron Trump est-il la véritable raison des décisions du président?

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Le conflit persistant entre Donald Trump et Harvard a suscité d’intenses spéculations, beaucoup l’associant au rejet présumé de son fils Barron par les universités de l’Ivy League.

Trump a confirmé que Barron avait choisi NYU, démentant les rumeurs de refus par les universités d’élite. Cependant, des publications en ligne affirment que Barron s’est vu refuser l’admission à Harvard, Stanford et Columbia. Alors que les critiques de Trump envers les universités de l’Ivy League reprennent, des utilisateurs suggèrent que son conflit est motivé par le sort universitaire de Barron. Malgré les rumeurs croissantes, il n’existe aucune preuve du rejet de Barron.

Trump : que cache sa guerre contre les universités ?

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Dimanche 20 avril 2025.  Trump : que cache sa guerre contre les universités ?

avec 

– Virginie ADANE, Maîtresse de conférences en histoire moderne à l’université de Nantes, auteure de « 1619. L’autre naissance des Etats-Unis », paru le 05/03/2025, chez PUF, et de « Des femmes en Amérique. Une histoire des États-Unis de Pocahontas à #MeToo », paru chez Perrin, le 06/03/2025

– Isabelle ALFANDARY, Professeure de littérature américaine et de théorie critique à l’université Sorbonne-Nouvelle, philosophe et psychanalyste

– Marc LAZAR, Professeur émérite à Sciences Po et professeur de « Relations franco-italiennes pour l’Europe » à l’Université Luiss de Rome

– Marc WEITZMANN, Écrivain et producteur de l’émission « Signes des temps » sur France Culture

– Blandine CHELINI-PONT, Professeure d’histoire contemporaine et enseigne les relations internationales à Aix-Marseille Université, auteure de « Géopolitique des religions. Un nouveau rôle du religieux dans les relations internationales ? », paru le 12/09/2019, au Cavalier bleu.

 

Naomi Oreskes : « Nous devons être attentifs à la manière dont la vie intellectuelle peut être façonnée par les intérêts des entreprises »

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L’historienne des sciences explique la manière dont les grands groupes industriels sont parvenus au cours du XXe siècle à imposer le « fondamentalisme du marché » dans la société américaine. Avec des conséquences aujourd’hui délétères.

ANN LEGENDRE

Historienne des sciences, professeure à l’université Harvard (Etats-Unis), Naomi Oreskes explore depuis plus d’une décennie l’histoire des relations ambiguës entre la connaissance scientifique – en particulier sur les questions environnementales – et la société et la vie publique américaines. Dans un ouvrage qui a fait date (Les Marchands de doute, Le Pommier, 2010), elle avait analysé les racines historiques et politiques du climatoscepticisme et, plus généralement, les ressorts de la défiance vis-à-vis des sciences de l’environnement.

Tout juste paru en France, Le Grand mythe. Comment les industriels nous ont appris à détester l’Etat et à vénérer le libre marché (avec Erik M. Conway, trad. Elise Roy, Les Liens qui libèrent, 704 pages, 29,90 euros) analyse les moyens par lesquels le « fondamentalisme de marché » – ainsi que l’a nommé le financier et philanthrope George Soros – s’est progressivement imposé aux Etats-Unis tout au long du XXe siècle.

Quel cheminement vous a amenés, Erik Conway et vous, historiens des sciences et des techniques, à écrire sur les idées économiques ?

C’est la conséquence et la suite du travail que nous avons entrepris dans Les Marchands de doute. Dans ce livre, nous cherchions à répondre à la question de savoir pourquoi des personnes intelligentes et informées, des gens à la formation intellectuelle solide – souvent des chercheurs ! – en venaient à rejeter les preuves scientifiques acquises de longue date sur la réalité, la gravité et les causes du réchauffement climatique en cours.

A la fin du livre, nous arrivions à la conclusion que la cause majeure de ce déni était la prééminence du « fondamentalisme de marché » – c’est-à-dire l’idée que les marchés sont fondamentalement bons et que leur libre fonctionnement ne peut pas provoquer d’effets délétères plus importants que ceux que produirait l’action de l’Etat pour les réguler.

Si l’Etat souhaitait lutter contre le réchauffement, alors il devait intervenir sur le fonctionnement des marchés et dans l’esprit de nombreux Américains, cela implique une érosion des libertés individuelles. Cette idée est très prégnante : toute régulation des marchés impliquerait une perte des libertés. Comment en était-on arrivé aux Etats-Unis à penser cela, à travers tout le spectre politique ? Surtout, pourquoi cette idée est-elle si commune, alors que toute l’histoire de l’Europe depuis l’après-guerre montre précisément l’inverse, c’est-à-dire qu’il est possible d’avoir un Etat qui intervient sur le fonctionnement de l’économie, organise la protection sociale, tout en garantissant le maintien des libertés publiques ? Nous sommes ainsi passés d’une enquête historique sur la désinformation en sciences à une autre, sur la désinformation en économie.

(suite dans: lemonde.fr)

USA: Harvard revient sur son refus de nommer un critique d’Israël comme enseignant

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, Human Rights Watchs’est dit « très heureux » que l’université ait changé d’avis, après l’avoir accusé d’avoir eu peur il y a quelques semaines de la « réaction » de mécènes pro-israéliens

Kenneth Roth,le directeur exécutif de Human Rights Watch, pendant une conférence de presse à Séoul, en Corée du sud, le 1er novembre 2018. (Crédit : AP Photo/Lee Jin-man)

La prestigieuse université Harvard, dans le nord-est des Etats-Unis, a finalement proposé jeudi un poste d’enseignant-chercheur à l’ancien patron emblématique de l’ONG Human Rights Watch, Kenneth Roth, connu pour ses critiques d’Israël.

Après avoir provoqué une polémique sur la liberté d’enseigner en refusant il y a quelques semaines la nomination de Kenneth Roth à Harvard, le doyen de la faculté Kennedy School de politiques publiques, Doug Elmendorf, a reconnu jeudi dans un courrier interne consulté par l’AFP qu’il avait fait une « erreur ».

L’ancien directeur de l’ONG Human Rights Watch (HRW) parti à la retraite à l’été 2022 va pouvoir enseigner durant une année au Carr Center for Human Rights de la Kennedy School, a admis M. Elmendorf.

Il s’est dit « désolé » que sa décision première de refus « ait pu jeter un doute sur la mission de l’école et l’engagement à un débat ouvert ».

Tout a commencé il y a plusieurs semaines lorsque le magazine The Nation a révélé que M. Elmendorf avait bloqué la nomination de M. Roth pour les prétendus « préjugés anti-Israël » de HRW et les critiques répétées de son patron contre les politiques de l’Etat hébreu.

De fait, la puissante organisation basée à New York, souvent proche des positions de la diplomatie américaine sous administration démocrate en matière de droits humains, avait accusé en 2021 Israël, allié des Etats-Unis, de « crimes d’apartheid et de persécution » contre les Palestiniens.

Des étudiants marchent près de la bibliothèque Widener dans les jardins de l’université Harvard à Cambridge, dans le Massachusetts, le 13 août 2019. (Crédit: AP/Charles Krupa, File)

Fustigeant ce rapport, nombre d’associations politiques juives aux Etats-Unis avaient dénoncé l’ONG, l’American Jewish Committee estimant que HRW flirtait « parfois avec la frontière de l’antisémitisme ».

Les Etats-Unis comptent la plus importante communauté juive au monde après Israël.

Kenneth Roth, qui a dirigé HRW de 1993 à 2022, s’est déclaré « très heureux » que M. Elmendorf ait changé d’avis, après l’avoir accusé dans le journal britannique The Guardian d’avoir eu peur il y a quelques semaines de la « réaction » de mécènes pro-israéliens de l’université Harvard, qui siège depuis 1636 à Cambridge, près de Boston, dans le Massachusetts.

« Le problème des gens pénalisés pour leurs critiques d’Israël ne se cantonne pas à mon cas, mais la plupart des universitaires et étudiants n’ont pas la même capacité de mobilisation », a encore dénigré M. Roth dans un communiqué jeudi.

Dans sa lettre, M. Elmendorf s’est défendu d’être « influencé par les donateurs » de Harvard et qu’il n’y avait pas selon lui de « limite au débat à la Kennedy School sur les droits humains quel que soit le pays ».

(source: fr.timesofisrael.com)

 

Virgin Mary appears to Harvard Professor – Jewish convert to Catholic

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Roy Schoeman grew up studying Judaism under the most prominent Rabbis in American Judaism. After receiving a B.S. from M.I.T. and an M.B.A. from Harvard Business School, he taught at Harvard.

His conversion to Catholicism led to a dramatic refocus of his activities. He later encountered the Virgin Mary!!

In his own words: « Yet every night before going to sleep, I would say a short prayer to know the name of my Lord and Master and God whom I had met on the beach. A year to the day after the initial experience, I went to sleep after saying that prayer, and felt as though I was woken by a gentle hand on my shoulder, and escorted to a room where I was left alone with the most beautiful young woman I could imagine. I knew without being told that she was the Blessed Virgin Mary. I felt entirely awake (and my memory is as though I had been awake), although I was dreaming. I remember my first reaction, standing there awed by her presence and grandeur, was wishing I knew at least the Hail Mary so that I could honor her!

She offered to answer any questions I had. I remember thinking about what to ask, asking the questions, and her answers. After speaking to me a while longer, the audience was ended. When I woke the next morning, I was hopelessly in love with the Blessed Virgin Mary, and I knew that the God I had met on the beach was Christ, and, and that all I wanted was to be as much of, and as good a, Christian as possible.

I still did not know anything about Christianity, nor the difference between the Catholic Church and any of the hundreds of Protestant denominations. It took me another two years or so to find my way to the Catholic Church, guided by my love and reverence for the Blessed Virgin Mary. »

Virgin Mary converts Harvard Professor Roy Schoeman

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Here are seven things, you probably didn’t know, that were connected to slavery

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Appalling Morality in Wealth throughout History

(CNN) As protesters across the United States continue calling for an end to police brutality and racial injustice, organizations are coming to terms with their racist histories.

Throughout the South, monuments and flags celebrating the Confederacy are being taken down. Companies like Mars and Quaker Oats are planning to change or retire racist brand characters like Uncle Ben and Aunt Jemima. And popular music groups such as Lady Antebellum and The Dixie Chicks — now Lady A and The Chicks — have changed their names.

But in a country where enslaved Black people were so essential in its rise to global power, it’s impossible to stamp out every link to its painful history. Slavery has marked everything from the US Capitol to the alcohol Americans consume.
Here are seven institutions that many people may not know are linked to slavery:
(…)

The White House and US Capitol Building

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Dr. John Hagelin on the Physics of Consciousness

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The president of the David Lynch Foundation is introducing Dr. John Hagelin, a world-renowned Quantum Physicist, educator, author and science and public policy expert. Dr. Hagelin has conducted pioneering research at the European Center for Particle Physics and the Stanford Linear Accelerator Center, and is responsible for the development of a highly successful Grand Unified Field Theory based on the Super String. His scientific contributions in the fields of Electroweak Unification, Grand Unification, Supersymmetry and Cosmology include some of the most cited references in the physical sciences. Dr. Hagelin received his doctorate from Harvard University, he is currently Director of the Institute of Science, Technology and Public Policy and is a Professor of Physics at the Maharishi University of Management. And he is establishing a much-needed University of World Peace in Washington DC. Would you please welcome Dr. John Hagelin.

Dr. Hagelin:

« Really, the experience of unity beneath life’s surface diversity is an age old experience, an understanding of every major spiritual tradition on earth. And in the last 25 years, particularly in the last 10, modern science, through it’s own systematic means of gaining knowledge, has probed deep into the structure of physical reality and also confirmed a fundamental unity at the basis of life’s surface diversity.

The conclusion of all these centuries of research simply is that the universe is superficially complex, but fundamentally simple. The universe is superficially diverse, but fundamentally unified. »

Dr. John Hagelin – Hacking Consciousness at Stanford University

John Hagelin Phd (Harvard-trained, renowned quantum physicist) Hacking consciousness investigates the nature of consciousness as a field of all possibilities, as the source not only of the human mind and our ability to experience, know, innovate and create, but also as the source of all structures and functions–from fine particles and DNA to galaxies, in parallel with the scientific notion of a unified field, superstring, or super symmetry at the foundation of time and space.

Because consciousness has been seen in many cultures as a gateway to directly cognizing the laws of nature, meditation has developed as a pivotal human technology for success in all areas of life.

U.S. appeals court upholds MIT, Harvard patents on CRISPR gene editing

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(Reuters) – A U.S. appeals court on Monday allowed a research center affiliated with the Massachusetts Institute of Technology and Harvard University to keep patents potentially worth billions of dollars on a groundbreaking gene editing technology known as CRISPR.

FILE PHOTO: French microbiologist Emmanuelle Charpentier (L) and professor Jennifer Doudna of the U.S. pose for the media during a visit to a painting exhibition by children about the genome, at the San Francisco park in Oviedo, October 21, 2015. REUTERS/Eloy Alonso/File Photo

The U.S. Court of Appeals for the Federal Circuit affirmed the validity of the Harvard and MIT patents, rejecting a challenge brought by a rival team of researchers associated with the University of California at Berkeley and University of Vienna in Austria.

Shares of Cambridge, Massachusetts-based Editas Medicine Inc, a biotechnology company that licenses Harvard and MIT’s CRISPR-related patents, rose nearly 7 percent after the ruling before giving back most of those gains and was up 1 percent at $30.56.

(->> … read full article from Reuters)

David Reich Unearths Human History Etched in Bone

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The geneticist at Harvard Medical School has retrieved DNA from more than 900 ancient people. His findings trace the prehistoric migrations of our species.

David Reich in his office at Harvard. He and his colleagues have sequenced the genomes of more than 900 ancient individuals, shedding light on how humans spread across the globe. (Photo credit: Kayana Szymczak for The New York Times)

In less than three years, Dr. Reich’s laboratory has published DNA from the genomes of 938 ancient humans — more than all other research teams working in this field combined. The work in his lab has reshaped our understanding of human prehistory.

“They often answer age-old questions and sometimes provide astonishing unanticipated insights, said Svante Paabo, the director of the Max Planck Institute of Paleoanthropology in Leipzig, Germany.

… read full story of New York Times ->>