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Donald Trump a annoncé le renforcement des sanctions visant à empêcher toute transaction avec Caracas.

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Donald Trump hausse le ton face à Caracas. Le président américain a annoncé de nouvelles sanctions qui s’apparentent de plus en plus à un embargo.

«J’ai décidé qu’il était nécessaire de bloquer les propriétés du gouvernement du Venezuela en raison de la poursuite de l’usurpation du pouvoir par le régime illégitime de Nicolas Maduro, a-t-il écrit dans une lettre à la présidente démocrate de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi. Ces biens ne peuvent plus être transférés, payés, exportés, retirés ou manipulés.»

John Bolton, le conseiller à la sécurité nationale du président Trump,  assistant à un sommet régional à Lima (Pérou) ,affirmait: « Nous envoyons un signal aux parties tierces qui veulent faire des affaires avec le régime Maduro : soyez extrêmement prudents », a-t-il déclaré. La menace vise gouvernements, entreprises et ressortissants étrangers, notamment la Chine et la Russie, qui n’ont pas lâché M. Maduro. « Le temps du dialogue est terminé. Il est temps d’agir maintenant », avait lancé John Bolton lundi.. « Nous envoyons un signal aux parties tierces qui veulent faire des affaires avec le régime Maduro : soyez extrêmement prudents », a-t-il déclaré. La menace vise gouvernements, entreprises et ressortissants étrangers, notamment la Chine et la Russie, qui n’ont pas lâché M. Maduro. « Le temps du dialogue est terminé. Il est temps d’agir maintenant », avait lancé John Bolton lundi.

 

La Turquie défie les États-Unis et l’Otan avec ses missiles russes

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La livraison des missiles russes S-400, démarrée la veille, s’est poursuivie, samedi 13 juillet à Ankara, malgré les avertissements de Washington.

Les membres du Congrès appellent à des sanctions.

En quoi consiste le système de missile S-400 ?

– Le S-400 est un système de défense aérienne, fabriqué par le constructeur russe Almaz-Anteï. Une batterie de S-400 consiste en un centre de commande, différentes stations radar mobiles et jusqu’à 12 véhicules de lancement, dotés de quatre missiles chacun, d’une portée de 400 km. Plusieurs dizaines de batteries ont déjà été déployées à travers la Russie. La péninsule ukrainienne de Crimée, annexée par la Russie en 2014, a reçu quatre S-400 et deux batteries ont aussi été déployées en Syrie pour y protéger les bases russes de Tartous et Hmeimim.

La Chine a été le premier pays étranger à acheter quatre à six batteries en 2014 et les livraisons ont commencé en avril 2018. L’Inde a acheté cinq batteries dont la livraison doit débuter fin 2020. D’autres pays sont intéressés, notamment l’Irak, le Qatar et l’Arabie saoudite.

(…)

Quelle est la position de Donald Trump ?

– Donald Trump n’est pas totalement aligné sur le point de vue du Pentagone et des chefs militaires. Le président américain fait porter la responsabilité de la situation à son prédécesseur. Selon lui, les Turcs se sont sentis obligés d’acheter le système russe parce que Barack Obama n’avait pas réussi à leur vendre le système de défense aérienne américain Patriot. « C’est un gâchis » a-t-il commenté, fin juin, lors de la réunion du G20. « Et honnêtement, ce n’est pas vraiment la faute d’Erdogan ». À l’issue de sa rencontre avec Donald Trump à Osaka, Recep Tayyip Erdogan avait, lui, affirmé ne pas craindre d’exposer son pays à des sanctions américaines en achetant les S-400.

(… lire l’intégralité dans La Croix)

Le 4 juillet à la française de Donald Trump, des festivités polémiques

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Donald Trump s’est voulu rassembleur pour son 4 juillet à la française, mais il n ‘a pas été épargné par les polémiques. Un drapeau américain est même parti en fumée devant la Maison blanche. …

Nucléaire iranien : «La France vient officiellement de s’aligner sur la position américaine»

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La Real Politik: Entretien du 9/6/2019 avec Ardavan Amir-Aslani, avocat spécialiste de l’Iran et du Moyen-Orient. Il était invité à réagir aux critiques du président du Parlement iranien, Ali Larijani, à l’encontre d’Emmanuel Macron et de ses propos concernant l’Iran.


La tension monte encore entre les États-Unis et l’Iran, mais cette fois-ci, les choses se présentent différemment. Des navires de guerre américains, des bombardiers et un système de missiles Patriot se sont dirigés vers l’Iran, mais les fervents de guerre de l’administration Trump — notamment Pompeo et Bolton — ont déclaré qu’ils ne souhaitaient pas la guerre.

Étrange façon de le montrer. Alors, qu’en pense l’Iran ? Le chef des forces aériennes iraniennes a déclaré que ce qui auparavant aurait été considéré comme une menace pouvait maintenant être considéré comme une opportunité, ajoutant que « si les Américains agissent nous les frapperons à la tête ». Le vice-président du parlement iranien appelle la manœuvre américaine rien qu’une “guerre psychologique », soulignant qu’Israël est à la portée de l’Iran, si jamais l’Iran était obligé à réagir face à une attaque.

Que pense donc Israël de cette montée de tensions ? Et pourquoi tout cela se produit-il maintenant ? D’ailleurs, est-il possible qu’il y ait une rupture entre Trump et les néoconservateurs dans son gouvernement sur l’Iran? La semaine dernière, Trump a imploré publiquement les Iraniens de l’appeler. Ensuite, d’après CNN, la Maison Blanche a ensuite transmis un numéro de téléphone à l’ambassade de Suisse (qui représente les intérêts américains à Téhéran) au cas où l’Iran voudrait parler directement à Trump. Quelle sera la prochaine phase de ce drame ?

Actualités du jour: Soudan, Chine, Royaume-Uni

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Soudan, au moins 60 morts chez les manifestatnts: les militaires annulent les accords conclus avec l’opposition.

Chine: silence sur la répression des manifestants de la place Tien An Men, le 4 juin 1989

Buckingham Palace, Londres: banquet royal pour la visite d’Etat de Donald Trump

16 Etats contre l’urgence pour le mur de Trump

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Etats-Unis – Une plainte a été déposée par seize Etats devant un tribunal fédéral à San Francisco. Ils remettent en cause le caractère d’urgence décrété par Donald Trump pour la construction d’un mur à la frontière du Mexique.

Le président américain Donald Trump (photo: saisie d’écran)

Selon les plaignants, le 45e président des Etats-Unis a «plongé le pays dans une crise constitutionnelle de son propre fait». La plainte affirme que l’ordonnance du président contrevient à deux dispositions constitutionnelles, l’une définissant les procédures législatives, l’autre attribuant au congrès le dernier mot en matière de financement public.

Les plaignants remettent en cause le caractère d’urgence en se fondant sur des données publiées par des ministères ou administrations fédérales, comme les douanes (CBP) qui écrivent que «les entrées illégales sont au plus bas depuis 45 ans».

«Le département d’Etat reconnaît qu’aucune preuve crédible n’établit que les terroristes utilisent la frontière sud pour pénétrer aux Etats-Unis. Les données fédérales confirment que les immigrants ont moins tendance à commettre des crimes que les Américains nés dans le pays», précise le texte.

Demande de suspension

La plainte avance également que le ministère la sécurité intérieure a enfreint la loi sur la protection de l’environnement en n’évaluant pas l’impact environnemental du mur en Californie et au Nouveau-Mexique. Le recours contient par ailleurs une demande de suspension en référé de la déclaration d’urgence tant que se poursuit la bataille judiciaire, selon le quotidien «Washington Post».

(24heures)

Donald Trump’s entire State of the Union address

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Le président a appelé les démocrates à travailler avec lui sur des dossiers qui leur tiennent à cœur, sans renoncer à son mur sur la frontière.

Devant ses partisans enthousiastes côtoyant une opposition plus forte que jamais, c’est un président presque «normalisé» qui a tout à la fois défendu son bilan, offert des pistes de coopération entre les deux partis et campé sur ses priorités sans céder d’un pouce. «Nous devons rejeter la politique de la revanche, de l’obstruction et des représailles, a-t-il lancé aux démocrates. Nous devons choisir entre la grandeur et la paralysie, les résultats ou la résistance, la vision ou la vengeance, le progrès incroyable ou la vaine destruction. Ce soir, je vous demande de choisir la grandeur.»

(…–>> lire l’intégralité de l’article)

Donald Trump annonce un accord provisoire et la fin du « shutdown »

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DEAL REACHED, SHUTDOWN ENDS: President Trump Announces Budget Deal Until Feb. 15

President Trump said Friday that he will support a short-term spending bill to re-open the government, temporarily ending the partial government shutdown that has dragged on for more than a month — despite a day earlier saying Republicans would not “cave” on his demands for funding for a wall on the southern border.

Trump envoie plus de 5.000 soldats à la frontière avec le Mexique

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Répondant aux demandes de Donald Trump, l’armée américaine a annoncé lundi l’envoi de plus de 5.000 militaires à la frontière mexicaine pour bloquer l’entrée sur le territoire d’une caravane de migrants centraméricains fuyant la violence et la misère dans leurs pays.

Un groupe de migrants honduriens arrive au Mexique après avoir traversé le fleuve sur un radeau de fortune, à Ciudad Hidalgo, le 20 octobre 2018. — MOISES CASTILLO/AP/SIPA

« D’ici à la fin de la semaine, nous allons déployer plus de 5.200 soldats à la frontière sud-ouest » qui s’ajouteront aux quelque 2.100 membres de la Garde nationale déjà mobilisés, a affirmé lors d’une conférence de presse le général Terrence O’Shaughnessy. « C’est seulement le début de cette opération », a ajouté le commandant de la zone militaire nord-américaine, en confirmant un chiffre bien plus élevé que les 800 évoqués la semaine dernière.

Cette opération, baptisée « Patriote fidèle », doit permettre de renforcer les postes-frontières du Texas à la Californie et apporter un soutien logistique aux agents du service des douanes et de la protection des frontières (CBP) sur d’autres zones moins bien protégées.

« C’est une invasion de notre pays et notre armée vous attend »

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