Andriantsilavonandriana

Protégé : ANDRIANTSILAVONANDRIANA – Andafiavaratra: Tatitra fifampiarahabana

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Pourquoi l’Éthiopie n’a jamais été colonisée ?

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Au XIXe siècle, alors que les européens s’emparent en quelques années du continent Africain, l’Empire d’Éthiopie est un cas unique, puisqu’il s’agit du seul état africain à avoir échappé à la colonisation…


Considéré par certains comme le plus grand modernisateur d’Éthiopie, marquée par son empreinte culturelle, le négus Haïlé Sélassié, est aussi l’homme qui a laissé son peuple mourir de faim lors de plusieurs grandes famines. Déchu lors d’un coup d’État en 1974, l’histoire du dernier empereur d’Éthiopie a été jetée aux oubliettes durant des années… avant de revenir sur le devant de la scène en 2019. Nos reporters sont partis sur les traces de son héritage controversé.

Comment l’Éthiopie est devenue la première puissance Chrétienne de l’Histoire ?

TANTARA: 29 Mars 1947

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Révolte des Malgaches contre la colonialisme français, appelée pudiquement « les Evènements de Madagascar » par les politiques français. Séquelles, traumatismes et douleurs demeurent vivaces dans le coeur de ce peuple « naïvement » épris de paix dans cette région de l’Océan Indien.


Le 29 mars 1947 à travers les yeux d’un témoin

(+ documentaires en français)


Pour Chirac, la répression de 1947 était «inacceptable»

Décès – Le général Sylvain Razafimandimby n’est plus

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À 78 ans, le général de division Sylvain Razafimandimby s’en est allé hier aux alentours de midi. L’armée et la grande famille politique du pays perdent un grand homme. Au début des années 2000, lors du premier mandat du président Marc Ravalomanana, le général Razafimandimby a occupé le poste de chef d’état-major général de l’armée malgache (CEMGAM). Il a également été le secrétaire général de la Défense nationale.

(source: Ravo Andriantsalama – lexpress.mg)


Livre(s) d’histoire(s)

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Je n’ai jamais saisi la méfiance, et c’est un euphémisme, qui semble avoir accompagné la carrière intellectuelle de Jean-Pierre Domenichini. Ce Français qui a choisi de se faire Malgache, depuis son arrivée en 1965 et jusqu’à se faire enterrer en 2018 dans un «Tanindrazana» qui ne fut certainement pas celui de ses ancêtres, avait pourtant lancé des hypothèses scientifiques, qu’il fut le premier, toujours de concert avec son épouse Bakoly Ramiaramanana, à explorer. Parmi son abondante littérature, j’ai retrouvé cette saillie qui devait alimenter un récent exposé. Guillemets.

La culture malgache moyenne dans le domaine de l’histoire de la Grande Ile tient, d’une part, à la nature des programmes malgaches officiels pour l’enseignement en lycée – lesquels tendent à former de parfaits petits néo-colonisés – et d’autre part, à la faiblesse de la recherche sur la période du Fanjakan’Andriana, antérieure donc à la conquête. A la responsabilité de nos décideurs politiques autant qu’à celle de nos intellectuels – je devrais plus justement dire nos universitaires – qui peinent à penser ce que fut l’histoire malgache et préfèrent se limiter – se contenter – à la période coloniale.

On aurait pu se souvenir de l’année 1829 où eut lieu la Première guerre franco-malgache. Les Sénégalais du capitaine de vaisseau Gourbeyre occupèrent Tamatave, Tintingue, Pointe-à-Larrée, mais échouèrent à Foulpointe, parfaitement défendue par son gouverneur et ses militaires. puis ils abandonnèrent ces positions. Pour la Deuxième guerre franco-malgache, en 1845, le commandant anglais Kelly et l’amiral français Romain-Desfossés bombardèrent Tamatave, puis débarquèrent et attaquèrent les forts. Ils furent rejetés à la mer et laissèrent de nombreux morts dont les têtes durent longtemps exposées au bord de la mer au sommet de piques plantées dans le sol.

Pour la Troisième guerre franco-malgache de 1883, que l’histoire officielle appelle la « première guerre franco-hova », le gouverneur de Vohémar, nous rappelle Hubert Deschamps dans son Histoire, préféra se sacrifier plutôt que de se rendre. Le gouverneur de Maroantsetra, lors de cette guerre, défendit la ville et obligea les troupes françaises qui voulaient occuper la ville à se réembarquer et à abandonner leur désir de conquérir la baie d’Antongil, dont les bureaux de la Marine voulaient depuis longtemps faire une base navale.

«JPD» avait clos cette énième apostrophe par cette interpellation, qui était seulement invite : «voilà un enseignement dont auraient pu être fiers les lycéens malgaches».

Nasolo-Valiavo Andriamihaja


Fandaharana fohy mirakitra ny niforonan’ny Fanjakana Merina sy ireo Mpanjaka nifandimby nitondra Fanjakana ka nahatonga ny Firenena Malagasy nankatoavin’ireo Firenen-dehibe tamin’ny taona 1817. (Lilindraza – TVM – 2018)

Mémoires: la mort de Rasoaray relatée dans les archives de la London Missionary Society [LMS]

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« La mort de Ramatoa Rasoaray, la dernière survivante des sœurs du Premier ministre Rainilaiarivony, qui a eu lieu le 19 Juillet, est un événement d’importance pour le public, et n’a pas été sans influence sur le travail de la Mission. Ramatoa Rasoaray a été respectée et aimée par toutes les classes de la population, et sa mort a produit une douleur universelle. Elle était une femme de rare intelligence et de bon sens, et était un véritable ami pour tous ceux qui étaient en difficulté. Elle était la compagne constante de la Reine et  la conseillère permanente de son frère le Premier ministre. En ce qui concerne le bien-être de la nation, elle en a pris un vif intérêt, et a toujours été reconnue comme l’ami des pauvres et des opprimés. Elle est devenue un membre de l’église de Ambohipotsy en Juillet 1868 , et a été un chrétien cohérent, zélé dans toute bonne œuvre, et libérale dans ses contributions à la diffusion de l’Evangile. Dernièrement, elle a été liée à l’Eglise du Palais, et était l’un de ses plus brillants ornements. Bien qu’étant la seconde dame dans le royaume , elle n’a jamais abusé de son rang, et était remarquable par sa douceur et sa gracieuse disposition. C’était très agréable au moment de sa mort d’écouter les représentants des différentes classes du peuple, comment ils ont exprimé leur chagrin et font mention de certains des nombreux bienfaits qu’ils avaient reçus d’elle; mais le plus intéressant de tous était un originaire de la Mozambique récemment libéré, qui, au nom de ses compagnons, est venu pour parler de la bonté qu’elle avait montré envers eux, et de leur profonde tristesse d’avoir perdu l’un de leurs meilleurs amis. Nous espérons que ses enfants, ainsi que beaucoup d’autres, peuvent être amenés à suivre son exemple ». (source: Jean-Luc [un « billet » des Etats-Unis]

JLA – Jean Luc Andrianjatovo: un passionné d’Histoire doublé d’un sportif de haut niveau

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Auteur du livre  » Les Généraux Andafiavaratra et la France au XIXe siècle à Madagascar »

Une publication de Jean Luc Andrianjatovo

[Cliquer sur l’image pour commander]

Ce livre a été nominé à un grand Prix littéraire aux Etats-Unis (domaine: Histoire coloniale).

Parcours et Palmarès de Jean Luc Andrianjatovo en tant que joueur de haut niveau de Tennis de table.

Ayant vécu en France pendant 15 ans il a émigré aux États-Unis en 1995.

– Participation au Championnat de Madagascar Benjamin en 1968
– Finaliste au Championnat de Madagascar Minime en 1972
– Finaliste au Championnat de la Province d’Antananarivo Cadet en 1973
– Finaliste au Championnat de Madagascar Cadet en 1973
– Champion de la Province d’Antananarivo 2ème Série en 1974
– Quart de finaliste au Championnat d’Afrique du Caire en 1974 (Division Cadet)
– 2ème Joueur de l’équipe nationale malgache lors la sélection pour les Jeux Africains d’Alger en 1978
– Champion par équipes Division Nationale 3 (Régions du Sud-Ouest, Ouest, Sud, et Sud-Est) avec le TAC de Toulouse en 1986
– Entraineur des équipes de Blagnac et du TAC Toulouse
– 3ème au tournoi international de Cary Cup 2008 ,dans la Catégorie C, Caroline du Nord, États-Unis (après 20 ans d’arrêt).


Membre de l’équipe nationale malgache de tennis de table entre 1974 (médaille de bronze par équipe – Caire – Egypte) et 1978 … entraineur de Tennis Table équipes niveau national en France (1982-1990), entraineur « Expat » de l’équipe nationale malgache (2011 Jeux Africains Maputo Mozambique, 2013 Championnat du Monde Paris) puis à nouveau joueur (2014 Championnat du Monde, Tokyo).

Sur le plan professionnel, JLA est un expert en matière de « Cybersecurity Strategy, Management et Technologies » ayant travaillé aux Etats-Unis pour la grande compagnie américaine de Télécommunications Verizon Communications, la Banque Centrale Américaine (The Federal Reserve Bank), le Fond Monétaire International (FMI).

Il enseigne aussi occasionnellement « Cybersecurity : Diplôme Master) au George Washington University (Washington DC, U.S.A) en que « Adjunct Professor » (Docteur-Ingénieur en Télécommunications et Réseaux Informatiques). En France, Il avait travaillé sur les projets AIRBUS à Toulouse entre 1990-1994

7e art : la vie de Victoire Rasoamanarivo, adaptée au cinéma

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« Nous avons travaillé à partir des livres et documents d’archives pour écrire le scénario, qui a été présenté au préalable à l’archevêque d’Antananarivo, Monseigneur Jean de Dieu Raoe­lison. Le texte a déjà reçu son aval. C’est un texte biographique qui revient sur les grandes périodes de son histoire, depuis sa prime jeunesse où elle a aban­donné le culte ancestral pour se convertir au christianisme, ses premiers sacrements et ses missions d’évangélisation, présentés dans une dimension historique, culturelle et religieuse », confie Mampionona Raharilanto, scénariste et fondateur de Miga’L Prod, le porteur du projet.

« L’histoire s’articule principalement autour de Victoire Rasoa­manarivo, son époux Radriaka et le chef du gouvernement royal Rainilaiarivony », a-t-il ajouté.
Pour son deuxième long-métrage, la maison de production lance un appel à casting, prévu ce 16 mars à l’Oriental International Ankazomanga. « Nous recrutons plus d’une trentaine de personnes ».

Le tournage démarre au mois d’avril et la sortie en salle prévue le 21 août, date d’anniversaire du décès de cette première chrétienne malgache béatifiée, célébrée chaque année par l’église catholique.

(source: Joachin Michaël – newsmada.com)


Vohipeno: béatification de Ramose Lucien Botovasoa

Taom-baovao malagasy: firy ihany no hiafarany? 11 Mars sy 06 Septembre ve?

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Nisy fivoriana teny Anatirova


Fankalazana ny Taom-baovao malagasy: « efa miravona tanteraka ny olana », hoy ny « Communauté Royale de Madagascar »


Mpandalina fomban-drazana nivory tao amin’ny IKM [Ivotoerana Koltoraly Malagasy, Antsahavola]: mangataka ny hanovana ny fomba fanampahan-kevitra i Aly Manankasy, MMHM (Malagasy Manonga Hasina eto Madagasikara

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CULTURE – Entente sur les dates du Taom-baovao malagasy

Les défenseurs de la tradition lors de la rencontre avec la presse ce samedi au Rovan’i Madagasikara

Le «Taom-baovao malagasy», programmé pour le 11 mars, ainsi que le 9 septembre, suscite le désir des gardiens des traditions de le voir devenir un jour férié national.

Dans un geste de préservation culturelle, les défenseurs de la tradition malgache appellent à l’inclusion du «Taom-baovao malagasy» dans la liste des jours fériés nationaux à Madagascar. Cette année, le «Taom-baovao malagasy» se déroulera le 11 mars pour la purification et le 9 septembre pour la demande de bénédiction, ce qui revêt une signification particulière pour les défenseurs de la culture malgache.

Ces dates, déterminées en scrutant la lune et les signes de la nature, incarnent un moment de solidarité et de réconciliation avec les ancêtres. «Tous les Malgaches devraient célébrer le «Taom-baovao malagasy», et cela devrait être un jour férié dans le pays. «J’insiste sur l’importance de l’unité nationale autour de ces célébrations, en appelant à la participation de tous les Malgaches à ces rituels ancestraux. Nous avons choisi le président Andry Rajoelina comme parrain de la tradition malgache car il témoigne d’un profond respect envers les traditions de chaque ethnie», souligne Fenosoa Ratsimamanga Ralandison, princesse et descendante royale, organisatrice de l’événement.
Identité culturelle

De nombreux pays accordent une importance particulière à leurs célébrations traditionnelles en les déclarant jours fériés, comme le Nouvel An chinois le 10 février dernier suivant le calendrier lunaire, ainsi que le Nouvel An du calendrier grégorien le 1er janvier. Les rituels liés au «Taom-baovao malagasy», transmis à travers les générations, continuent de rassembler les héritiers royaux, en particulier en réunissant différentes générations autour des douze collines d’Andrianampoinimerina ainsi que tous les Malgaches. «Mon souhait est que tous les Malgaches participent à ces célébrations, renforçant ainsi le lien avec notre histoire et notre identité culturelle, même juste en portant des tenues traditionnelles lors de ces dates», termine-t-elle.

(source: Nicole Rafalimananjara – lexpress.mg)