Europe

Guerre en Ukraine : Volodymyr Zelensky fait le plein d’armes lors d’une tournée européenne

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À l’issue de son entretien avec le premier ministre britannique Rishi Sunak, le président ukrainien s’est également dit optimiste sur la fourniture d’avions de combat.

Après Rome, Berlin et Paris, le chef d’Etat ukrainien a poursuivi sa tournée européenne dans le cadre très bucolique de la résidence de campagne de Chequers des premiers ministres britannique, au nord-ouest de Londres. Il cherche un engagement militaire supplémentaire de ses alliés, dans la perspective de la contre-offensive que l’armée ukrainienne prépare face aux forces russes

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La poudrière libyenne : menace aux portes de l’Europe

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Située à peine à 300 km des côtes européennes, la Libye est au bord du chaos. Il n’y a plus d’État, plus de pouvoir officiel. Le pays, grand comme trois fois la France, est divisé entre milices ennemies et gouvernements rivaux. Tous s’affrontent pour la reconquête du pouvoir.

 

La principale banque russe Sberbank quitte le marché européen

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La banque est frappée de plein fouet par les sanctions occidentales. Ses clients retirent massivement leurs liquidités.

Sberbank est une banque de crédit russe. LEONHARD FOEGER / REUTERS

Le groupe Sberbank, la principale banque de Russie, a annoncé mercredi se retirer du marché européen, après avoir été touché par des sanctions financières massives en représailles à l’invasion de l’Ukraine par Moscou.

«Sberbank a décidé de se retirer du marché européen. Les banques filiales du groupe sont confrontées à des sorties de fonds anormales et à des menaces concernant la sécurité de leurs employés et de leurs bureaux», a indiqué le groupe dans un communiqué cité par les agences de presse russe. Selon ce communiqué, Sberbank n’est pas en mesure de fournir des liquidités à ses filiales européennes, en raison d’une ordonnance de la Banque centrale de Russie.

Sberbank était présent dans huit pays européens: l’Allemagne, l’Autriche, la Croatie, la République Tchèque, la Hongrie, la Slovénie, la Serbie et la Bosnie-Herzégovine. «Les filiales (européennes) de Sberbank disposent d’un niveau élevé de capital et d’actifs, les fonds des clients sont assurés en conformité avec les législations locales», a assuré la banque.

Mardi soir, le régulateur bancaire de l’UE avait annoncé qu’une procédure de dépôt de bilan allait être ouverte concernant la principale filiale en Europe de Sberbank, fragilisée par les sanctions financières. Cette filiale basée en Autriche, Sberbank Europe AG, qui emploie près de 4.000 personnes, va faire l’objet d’une «procédure d’insolvabilité» dans ce pays, avait précisé cette autorité, le Conseil de résolution unique (CRU).

(source: lefigaro.fr)

Guerre en Ukraine – Madagascar choisit le non-alignement

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Le Premier ministre Christian Ntsay a répondu à la communauté internationale.

Le Premier ministre affirme la posture de Madagascar sur la guerre entre la Russie et l’Ukraine. Pour l’heure, la Grande île reste neutre et garde sa ligne qui consiste en une diplomatie tous azimuts.

L a neutralité. Sans le dire directement, c’est le sens des mots de Christian Ntsay, Premier ministre, au sujet de la posture de Madagascar vis-à-vis de la guerre entre la Russie et l’Ukraine. Une déclaration faite en réponse à la presse, hier, mais qui est, aussi, une réplique à la démarche conjointe, d’une partie de la communauté internationale, présentée à Patrick Rajoelina, ministre des Affaires étrangères, lundi.

Dans sa réponse, le locataire de Mahazoarivo n’a ni condamné, ni soutenu les actions russes dans le conflit qui se déroule actuellement en Europe de l’Est. Il a insisté sur le fait que dans sa politique internationale, Mada­gascar table sur une diplo­matie tous azimuts. «Nous Malgaches, avons choisi de travailler avec tous les pays. Il n’y a plus de pays qui prend le parti d’un tel ou un tel. Le monde est en difficulté à cause de cette situation entre la Russie et l’Ukraine. Notre politique à Madagascar est de coopérer avec tous les pays, que ce soit ceux de l’occident, que ce soit la Russie », est la réponse du chef du gouvernement.

Christian Ntsay ajoute, la situation évolue, nous la suivons de près, en concluant ses propos par, c’est tout ce que je peux dire pour le moment.

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«Une offensive est en cours contre les fondements de toutes les religions du monde», selon Lavrov

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Le ministre russe des Affaires étrangères a déclaré que les pays occidentaux menaient une offensive contre les religions et le «code génétique» des civilisations, dans le but d’abattre tous les obstacles sur la voie du libéralisme.

Le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov lors d’une conférence de presse avec le ministre vénézuélien des Relations extérieures Jorge Arreaza à Moscou le 22 juin 2021 (image d’illustration). © YURI KOCHETKOV Source: Reuters

Dans un article paru le 28 juin dans la revue russe d’analyse des relations internationales Russia in Global Affairs et relayé par RT France, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov analyse longuement l’attitude et les ambitions des pays occidentaux en matière de relations internationales, Etats-Unis et Union européenne en tête.

A ce titre, Lavrov déplore le remplacement progressif du droit international par des «règles» édictées par les Occidentaux, qui conduisent à une politique du «deux poids, deux mesures» évoluant au gré de leurs intérêts. Ce processus se manifeste selon lui par une attaque non seulement contre le droit international mais également contre la «nature humaine».

Lavrov déplore une attaque contre «le code génétique des principales civilisations de la planète»

Selon le chef de la diplomatie russe, «dans les écoles de plusieurs pays occidentaux, on cherche à persuader les enfants dans le cadre des programmes scolaires que Jésus-Christ était bisexuel».

D’après lui, les tentatives des hommes politiques «sains d’esprit» de protéger les enfants contre «la propagande agressive des LGBT» se heurtent à des protestations belliqueuses sous couvert d’une «Europe éclairée».

Evoquant dans ce sillage une «offensive en cours contre les fondements de toutes les religions du monde» et même contre «le code génétique des principales civilisations de la planète», le ministre russe considère que les Etats-Unis ont pris «la tête d’une ingérence étatique flagrante dans les affaires de l’Eglise, cherchant ouvertement à diviser l’orthodoxie mondiale, dont les valeurs sont perçues comme un puissant obstacle spirituel sur la voie constituée par la conception libérale d’une permissivité sans limites».

Ces propos ne sont pas sans rappeler les récentes prises de position de plusieurs pays membres de l’UE, qui ont dénoncé une loi hongroise visant à interdire la promotion de l’homosexualité auprès des mineurs. 17 Etats membres, dont la France, l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Italie et la Belgique, ont adressé une lettre au président du Conseil européen, Charles Michel, à la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et au secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, pour déplorer des «menaces contre les droits fondamentaux et en particulier le principe de non-discrimination en raison de l’orientation sexuelle». Le 23 juin, la présidente de la Commission avait qualifié cette loi de «honte».

(source: russia today)

Le PIB de la zone euro devrait renouer, fin 2021, avec son niveau d’avant la pandémie

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La sortie de crise se dessine en Europe. Après avoir chuté de 6,6 % en 2020, et s’être encore contracté au premier trimestre le produit intérieur brut devrait rebondir de 4,3 % cette année, selon les prévisions publiées par la Commission européenne, mercredi.

Au fil des mois, la Commission européenne se fait moins pessimiste. Même s’il ne s’agit pas encore de crier victoire, alors que la pandémie de Covid-19 continue à sévir et que le risque de voir de nouveaux variants apparaître reste d’actualité, ses dernières prévisions économiques, publiées mercredi 12 mai, esquissent la sortie de crise. Après avoir chuté de 6,6 % en 2020, et s’être encore contracté au premier trimestre, le produit intérieur brut (PIB) de la zone euro devrait rebondir pour augmenter de 4,3 % (4,2 % au sein de l’Union européenne) cette année, puis croître de 4,4 % (dans les deux cas) en 2022. En février, la dernière fois que les experts de la Commission se sont livrés à l’exercice difficile de la prévision, ils misaient sur une croissance inférieure d’environ un demi-point, que ce soit pour 2021 ou 2022.

« L’ombre du Covid-19 commence à se retirer de l’économie européenne », résume Paolo Gentiloni, le commissaire à l’économie. La montée en puissance des campagnes de vaccination – à ce jour, 27,7 % de la population européenne s’est vue injecter une première dose – et la levée progressive des restrictions qui pèsent sur l’activité constituent le terreau sur lequel la croissance continentale peut se redéployer. Plusieurs moteurs devraient dès lors l’alimenter. La consommation intérieure d’abord, dopée notamment par une épargne forcée énorme. Mais aussi, une demande extérieure en hausse en provenance du reste du monde. Et tout particulièrement des Etats-Unis : le plan de relance de Joe Biden devrait ainsi apporter 0,3 point de croissance à l’Europe en 2021 et 0,2 en 2022.

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Relations Chine-Europe: le point de non retour ?

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Avis de tempête sur les relations entre Pékin et l’Union Européenne… Coup sur coup les ambassadeurs chinois en France, en Belgique, en Allemagne et au Danemark se sont vus convoquer pour répondre de sanctions.

De son côté, la Chine a sanctionné 10 personnalités européennes dont l’eurodéputé français Raphael Glucksman, tous coupables aux yeux des autorités chinoises d’être un peu trop sensibles au sort des Ouïghours. Une situation qui a justement incité l’Union Européenne cette semaine à sanctionner quatre dirigeants passés ou actuels du Xinjiang.

Bulgarian fossils show early arrival of Homo sapiens into Europe

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WASHINGTON (Reuters) – Fragmentary bone fossils and a molar found in Bulgaria dated to roughly 45,000 years ago show that Homo sapiens populations swept into Europe – until then a bastion for the Neanderthals – earlier than previously known, scientists said on Monday.

Researchers engage in excavations at Bacho Kiro Cave where Homo sapiens bones dating back about 45,000 years were recovered along with a rich stone tool assemblage, animal bones, bone tools and pendants near Dryanovo, Bulgaria, in an undated picture released May 11, 2020. Tsenka Tsanova/Handout via REUTERS

Researchers said DNA from the five fossils from Bulgaria’s Bacho Kiro cave demonstrated they belonged to anatomically modern Homo sapiens. This evidence resolved a debate over who made a remarkable array of artifacts at the site including stone and bone tools and pendants made of the teeth of cave bears – it was our species in the cave and not Neanderthals.

The research pushes back by thousands of years the arrival of Homo sapiens in Europe, a milestone in the history of a species that arose in Africa about 300,000 years ago and then spread worldwide.

Human remains from the cave range from 43,000 to 46,000 years old while associated artifacts were up to 47,000 years old, said paleoanthropologist Jean-Jacques Hublin, director of the Department of Human Evolution at the Max Planck Institute for Evolutionary Anthropology in Germany.

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Élections européennes : Les deux plus grands groupes perdent leur majorité au Parlement européen

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“This Europe must be changed, this Europe of bureaucrats, do-gooders, bankers, boats of migrants, it has to be changed,” Ms. Ceccardi, the 32-year-old mayor of Cascina, Italy, roared to smatters of applause.

She is among scores of nationalist candidates from across the Continent who are vying to win an office at the heart of the European Union — so they can break it from the inside.

Not so long ago, Europe’s populist movements were advocating a departure from the bloc, or at least from the euro currency area. But with voters overwhelmingly in favor of staying in — an attitude hardened by two years of Brexit chaos — that strategy has changed: Now they are promising an insurgency from within.

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Marine Le Pen : «Un signal lancé par les Français à l’Union Européenne»

Le SPD vote pour une « Grande coalition » avec Merkel, l’Allemagne va enfin avoir un gouvernement

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ALLEMAGNE – C’est un grand « Ja » (« oui »). Le parti social-démocrate allemand (SPD) a annoncé ce dimanche 4 mars le résultat très attendu du référendum interne qui s’est tenu du 20 février au 2 mars auprès de ses quelque 463.000 membres. La majorité des militants du SPD a donc voté pour une nouvelle « Grande coalition » avec Angela Merkel, la chancelière sortante et cheffe de file des conservateurs (CDU), ont rapporté les médias allemands.

La direction du parti a rapidement confirmé, précisant qu’un peu plus de 66 % des militants avaient approuvé cette alliance gouvernementale. « J’ai informé le président (Frank-Walter Steinmeier) et la chancelière (Angela Merkel) de ce résultat », a indiqué le chef par intérim du SPD, Olaf Scholz.

Angela Merkel -sortie victorieuse mais affaiblie des élections du 24 septembre- franchit ainsi le dernier obstacle pour entamer son quatrième mandat. C’est aussi pour la première économie européenne, la fin d’un long et inédit imbroglio post-électoral, au moment même où l’UE, secouée par la crise du Brexit et la montée des nationalismes, a plus que jamais besoin d’un exécutif solide en Allemagne.

Angela Merkel devrait être intronisée par la chambre des députés mi-mars, le 14 probablement. Mais sa troisième grande coalition s’annonce plus délicate que les précédentes.

Macron salue une « bonne nouvelle pour l’Europe »

Les partenaires de la CDU/CSU et du SPD détiennent seulement une courte majorité au Bundestag (53,5%). Et signe de défiance réciproque, ils ont négocié une clause de sortie de leur alliance au bout de deux ans.

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