communauté internationale

BREAKING: King Abdullah II of Jordan: « We Cannot Afford An Israeli Attack on Rafah »

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President Biden and King Abdullah II of Jordan delivered remarks on Monday about the war between Israel and Hamas.

Trois pays mettent en garde Israël

sraël persiste dans son projet d’offensive à grande échelle à Rafah, où se terrent plus d’un million de Palestiniens, malgré des mises en garde internationales encore redoublées jeudi et des tractations en arrière-plan pour une trêve à Gaza avec le Hamas. Trois pays du Commonwealth ont mis en garde l’État hébreu contre une opération «catastrophique» à Rafah. Le gouvernement israélien, lui, a autorisé Starlink sur son territoire.

Après les États-Unis, principal allié d’Israël, qui disent s’opposer à une offensive sur Rafah sans «garanties» pour la sécurité des civils, l’Australie, le Canada et la Nouvelle-Zélande ont mis en garde jeudi le gouvernement Nétanyahou en garde contre une opération «catastrophique» à Rafah.

(source: lefigaro.fr)

 

Guerre en Ukraine – Madagascar choisit le non-alignement

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Le Premier ministre Christian Ntsay a répondu à la communauté internationale.

Le Premier ministre affirme la posture de Madagascar sur la guerre entre la Russie et l’Ukraine. Pour l’heure, la Grande île reste neutre et garde sa ligne qui consiste en une diplomatie tous azimuts.

L a neutralité. Sans le dire directement, c’est le sens des mots de Christian Ntsay, Premier ministre, au sujet de la posture de Madagascar vis-à-vis de la guerre entre la Russie et l’Ukraine. Une déclaration faite en réponse à la presse, hier, mais qui est, aussi, une réplique à la démarche conjointe, d’une partie de la communauté internationale, présentée à Patrick Rajoelina, ministre des Affaires étrangères, lundi.

Dans sa réponse, le locataire de Mahazoarivo n’a ni condamné, ni soutenu les actions russes dans le conflit qui se déroule actuellement en Europe de l’Est. Il a insisté sur le fait que dans sa politique internationale, Mada­gascar table sur une diplo­matie tous azimuts. «Nous Malgaches, avons choisi de travailler avec tous les pays. Il n’y a plus de pays qui prend le parti d’un tel ou un tel. Le monde est en difficulté à cause de cette situation entre la Russie et l’Ukraine. Notre politique à Madagascar est de coopérer avec tous les pays, que ce soit ceux de l’occident, que ce soit la Russie », est la réponse du chef du gouvernement.

Christian Ntsay ajoute, la situation évolue, nous la suivons de près, en concluant ses propos par, c’est tout ce que je peux dire pour le moment.

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«Attaque injustifiée», «invasion illégale», «le mépris de la Russie»: la communauté internationale condamne l’invasion russe en Ukraine

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De nombreux dirigeants ont vivement condamné l’invasion de l’Ukraine par la Russie. ALEXANDER ERMOCHENKO / REUTERS

La communauté internationale a unanimement dénoncé une «guerre préméditée» et une «invasion illégale» après que Vladimir Poutine a annoncé «une opération militaire» pour défendre les séparatistes de l’est du pays.

«Le président Poutine a choisi (de lancer) une guerre préméditée qui entraînera des souffrances et pertes humaines catastrophiques». Le président américain Joe Biden a vivement condamné, mercredi soir, «l’attaque injustifiée» de la Russie contre l’Ukraine. L’annonce par le président russe Vladimir Poutine d’une «opération militaire» en Ukraine jeudi, suivie d’explosions dans plusieurs villes ukrainiennes, a, en effet, suscité de nombreuses réactions dans le monde. «La Russie, seule, est responsable de la mort et de la destruction que cette attaque provoquera», a insisté le président américain dans un communiqué, précisant qu’il s’exprimerait jeudi sur «les conséquences» pour la Russie de cette annonce.

«De paisibles villes ukrainiennes sont en train d’être attaquées. C’est une guerre d’agression. L’Ukraine se défendra et gagnera. Le monde peut et doit arrêter Poutine. Il est temps d’agir maintenant», a tweeté le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Dmytro Kouleba, en réaction à l’invasion. La France, à travers la voix de son ambassadeur à l’ONU, a dénoncé le «mépris» affiché par la Russie à l’égard des Nations unies. «La Russie a fait le choix de la guerre. La France condamne dans les termes les plus forts le déclenchement de ces opérations», a ajouté Nicolas de Rivière. «Nous appelons la Russie à respecter le droit international humanitaire en toutes circonstances, nous appelons à la protection et au respect de tous les civils, notamment les personnes vulnérables, les femmes et les enfants, et le personnel humanitaire», a-t-il également lancé.

Outre-manche, Boris Johnson s’est dit «consterné par les horribles événements en Ukraine».    Lire la suite »

Israël-Palestine : l’impuissance internationale

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Le conflit israélo-palestinien révèle, comme d’autres crises, une évidence : il n’y a pas de « communauté internationale », mais un monde éclaté, concurrentiel, tourmenté, sans puissance hégémonique.

Editorial. Est-ce par réflexe, faute d’alternative ou par peur du vide et du silence gêné ? Les chancelleries occidentales ont accompagné l’escalade militaire entre les factions armées de Gaza et d’Israël de leurs mots usés et classiques. « Retour au calme », appel au « dialogue ». Ce décrochage entre la sémantique diplomatique et la réalité terrifiante sur le terrain, constaté depuis des années, porte atteinte à la crédibilité des capitales. Le Conseil de sécurité de l’ONU a illustré cette semaine cette impuissance internationale.

Le blocage y a été américain. Une réunion doit enfin se tenir, dimanche. Mais une déclaration de pure forme n’aurait guère d’impact, de toute façon. Le conflit israélo-palestinien révèle, comme d’autres crises, une évidence : il n’y a pas de « communauté internationale », mais un monde éclaté, concurrentiel, tourmenté, sans puissance hégémonique. L’épidémie de Covid-19 a accéléré la désintégration des cadres multilatéraux classiques.

Les Européens, divisés et pétrifiés, ne sont pas audibles. Certains pays – en particulier la France – craignent une nouvelle importation du conflit sur leur sol et une recrudescence des actes antisémites. D’autres, en Europe orientale, bloquent toute initiative dite « anti-israélienne ». Dès lors, l’Union européenne a renoncé à exercer la moindre pression sur Israël, alors que l’occupation se poursuit sans fin,

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Terrorisme : les pays du G5 Sahel réclament l’aide de la communauté internationale

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A l’occasion d’un sommet tenu le 15 décembre à Niamey, les présidents des Etats membres du G5 Sahel ont tiré la sonnette d’alarme au sujet de la menace terroriste qui plane sur la région malgré la présence d’un important dispositif sécuritaire.
Les cinq présidents des Etats membres du G5 se rencontrent à Niamey pour évoquer la situation sécuritaire dans la région, le 15 décembre (2019). © BOUREIMA HAMA Source: AFP
Cinq Etats sahéliens ont décidé le 15 décembre à Niamey de renforcer leur coopération et ont appelé la communauté internationale à les soutenir pour endiguer le péril djihadiste qui frappe de plus en plus violemment ces pays. «Les chefs d’Etat réitèrent leur volonté de tout mettre en œuvre pour améliorer la coordination entre la force conjointe, les forces nationales et les forces internationales alliées», selon le communiqué final du sommet qui a réuni les présidents du Niger, du Burkina Faso, du Mali, du Tchad et de la Mauritanie, qui forment le G5 Sahel. Les chefs d’Etat du G5 ont également lancé un appel aux autres pays de la grande région pour «un renforcement de la coopération entre les services de sécurité et de renseignement dans la lutte contre le terrorisme et la criminalité transfrontalière», selon le communiqué. Les présidents ont encore demandé à la communauté internationale de «renforcer son soutien» contre «la menace terroriste», et redemandé à l’ONU de renforcer le mandat de sa force militaire conjointe anti-djihadiste et celui de la Minusma au Mali, selon le communiqué final. Le même jour, le chef de la diplomatie française Jean-Yves Le Drian a mis en garde sur les ondes de France Inter contre la constitution d’«un arc de groupes terroristes» du Sahel jusqu’au Proche-Orient.

 

Le rôle de la France au Sahel conforté ?

Dans une allusion à la polémique sur la présence des forces étrangères au Sahel, parfois contestée par les populations, le président nigérien Mahamadou Issoufou a estimé que «pour combattre le terrorisme, [les pays sahéliens avaient] besoin non pas de moins d’alliés mais de plus d’alliés». 

Jules Razafimbahiny: an outstanding malagasy Public servant

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In our #historytime series: Jules Alphonse Razafimbahiny, the second Ambassador of Madagascar to the United Kingdom from 1965 to 1967.

Jules Alphonse Razafimbahiny was born on April 19, 1922 in Mananjary, where his parents lived for a while.

A former student at the Institute for High Political Studies of the University of Paris, he graduated from the Institute of business law at the Law School of Paris then became one of the first Malagasy PhD graduates in Economics. His thesis was about semi-public companies in developing countries. Thereafter he was seconded to the Office de la Recherche Scientifique et Technique Outre-mer (O.R.S.T.O.M.), now called Institute of Research for Development (IRD).

As a union leader in the mid-50’s, he was a member of the French Confederation of Christian Workers. He has joined the administrative service in 1956 as an Attaché in the office of René Coty, then President of the Assembly of the French Union. From 1958 to 1960 he was the President of the commission of African countries associated with the Economic and Social Council of Common Market and EURATOM.

After the independence, he was appointed as the technical counsellor of his personal friend Jacques Rabemananjara, then State Minister in charge of National Economy. He was also appointed as the chairman of the board of the company “Energie de Madagascar” in May 1961

From September 1961 to September 1964, he became the first Secretary-General of the Organisation Commune Africaine et Malgache (OCAM), grouping French-speaking African territories created in september 1961. He was the Director-General of the Ministry of Foreign Affairs led by Albert Sylla from 1964 to 1965

On April 2, 1965 he was appointed as the Ambassador to Britain – the position was vacant since 1964 – and was also accredited in Italy, Greece and Israel. Two years later, he became the State Secretary of Foreign Affairs in charge of African and External economic affairs (1967-1970). In Italy, he has contributed to the creation of the « Association de l’Amitié Italo-Malgache » in 1970.

SEM l’ambassadeur Jules Razafimbahiny reçu dans les locaux de la Communauté Economique Européenne à Bruxelles

Afterwards, he was appointed as the second Malagasy Ambassador to the United States in February 1970, succeeding to Louis Rakotomalala. After the political crisis of 1972, he became a senior adviser of the Foreign Ministry in June 1972, then led by Capt. Didier Ratsiraka. In November 1973, he became the Malagasy Ambassador to Belgium and the Permanent Representative to the European Economic Community in Bruxelles, also accredited to Luxemburg, Netherlands, Switzerland, Holy See and the German Democratic Republic. He held this position until 1978, then became a top international civil servant once again.

After being an Interregional Adviser at the UN Department of Co-operation (DTCD, New York) and a Director at the World Food Programme in 1979, he became the UNDP Representative in Burundi from 1979 to 1983, assuming the Coordination of the UN System’s activities in 1981.

A renowned analyst of international relations, he was a member of the Editorial board of the Society for Institute Development (Washington, D.C.), and of the College of Economic and Social Studies, Institut d’Etudes de Développement Economique et Social of Paris. A member of the “Club of Dakar”, he was also part of the economic council of the ORSTOM. During the mid-80s, he created an international foundation called FIDAEM (based in London) in order to support the economic development of Madagascar.

Also a leader of the liberal and catholic wing of the Social Democratic Party (PSD) of Philibert Tsiranana, he has represented Madagascar at the 56th Congress of the French Section of the Workers’ International (SFIO, which later became the Socialist Party) in 1967.

A great pianist, he was the son of Marguerite Ramasinoro and Alphonse Razafimbahiny. The latter was shot on Mey 8, 1947 for his participation to the insurrection of March 1947 and was a descendant of Ambassador Andriantsitohaina and King Andriambelomasina.

#UKMadagascar #history #internationalrelations

Photo: https://buff.ly/38lwnTa

Chevening Alumni Madagascar