Début octobre, quelque 35 missiles et 60 drones avaient été lancés par la Russie sur des sites de production de gaz en Ukraine, l’opérateur d’Etat Naftogaz évoquant « la plus grande attaque » sur de tels sites depuis le début de l’invasion de l’Ukraine par les troupes russes en 2022. Pour Serhi Koretsky, PDG de Naftogaz, « cet accord ouvre une nouvelle voie d’importation fiable pour l’hiver ». « Nous étendons progressivement notre zone d’approvisionnement afin de garantir un chauffage fiable aux Ukrainiens et de renforcer la sécurité énergétique de toute la région », a-t-il ajouté dans un communiqué.
Grèce
La Grèce et l’Ukraine s’accordent sur la livraison de GNL américain pour surmonter « l’hiver difficile »
L’Ukraine et la Grèce ont signé dimanche 16 novembre à Athènes un accord pour la fourniture de gaz naturel liquéfié américain à Kiev de décembre 2025 à mars 2026. Les sites de production de gaz ukrainiens ont été lourdement bombardés par la Russie ces dernières semaines.

« La Grèce devient un garant de la sécurité énergétique de l’Ukraine », s’est félicité, dimanche 16 novembre, le premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis, lors de la visite éclair à Athènes du président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui sera lundi à Paris et mardi à Madrid. « Nous nous dirigeons vers une indépendance définitive vis-à-vis du gaz naturel russe », a poursuivi le dirigeant grec. Quelques minutes auparavant, les responsables de la société publique grecque DEPA Commercial et de la société ukrainienne Naftogaz avaient annoncé la signature d’un accord garantissant à l’Ukraine l’approvisionnement en gaz naturel liquéfié (GNL) pour toute la période hivernale allant de décembre 2025 à mars 2026. Ce mémorandum permettra de « soutenir l’Ukraine au cœur d’un hiver difficile marqué par des attaques quotidiennes contre des civils », a souligné M. Zelensky.
(source: lemonde.fr)
Mondiale de robotique à Athènes : Médaille d’or pour la Team Madagascar !

Ils l’ont fait ! La Team Madagascar reviendra au pays, parée d’or après avoir participé au concours mondial de « FIRST Global Challenge » 2024 à Athènes, en Grèce, du 26 au 29 septembre 2024.
Sahaza, Emrick, Aina Finaritra, Grace et Maria, les cinq jeunes passionnés de robotique qui composent la Team Madagascar, ainsi que leur mentor, Sahaza et leur team manager, Hanitra Rasoanaivo, ont « fait le travail ». Ils ont été sacrés champions du monde, hier, à l’issue d’une finale palpitante de la compétition mondiale de robotique, FIRST Global Challenge 2024 (FGC2024), qui s’est tenue à Athènes où plus de 190 pays ont été représentés. L’équipe de Madagascar reviendra ainsi au pays avec une médaille d’or autour du cou, la récompense d’une année d’efforts intenses. Leur savoir-faire, la bonne stratégie qu’ils ont adoptée – car la compétition inclut des alliances avec d’autres équipes, conformément aux principes du jeu – et un mental d’acier, ont eu raison des difficultés rencontrées lors de cette prestigieuse compétition. L’équipe malgache soutenue par leurs deux coaches, a remporté la médaille d’or aux côtés de plusieurs autres équipes alliées dont la Chine, la Moldavie et les îles Cook. Les membres de la Team Madagascar ont préparé hier soir même leur retour au pays, fourbus de fatigue, certes, mais heureux !
STEM
Le FIRST Global Challenge, également appelé Robot Olympics pour son principe qui suit le modèle olympique, est une compétition internationale mettant en scène la robotique. Elle a été initiée par FIRST Global, un organisme public de bienfaisance basé aux États-Unis, créé par Dean Kamen, fondateur de FIRST (acronyme de « For Inspiration and Recognition of Science and Technology » (pour l’inspiration et la reconnaissance de la science et de la technologie). L’objectif de cet organisme est alors d’inspirer le leadership et l’innovation chez les jeunes de toutes les nations, en leur donnant les moyens d’agir grâce à l’enseignement des sciences, de la technologie, de l’ingénierie et des mathématiques, ou STEM (science, technology, engineering, and mathematics). Ainsi, le FGC est le mécanisme permettant à l’organisme initiateur d’atteindre son objectif : faire en sorte que les jeunes parviennent à relever collectivement les défis les plus pressants du monde, et à proposer des solutions améliorant la qualité de vie des humains. Ce, en favorisant la communication et la coopération interculturelles entre des lycéens des quatre coins du globe par le biais des STEM. Aussi dans le cadre de la compétition de robotique les équipes sont-elles amenées à travailler ensemble pour accomplir des tâches dans le jeu. C’est dans ce cadre que la compétition inclut des alliances stratégiques, permettant de mettre à profit leurs capacités techniques et leur imagination.
« Nourrir l’Avenir » !
Chaque année, le FGC a pour thème l’un des plus grands défis auxquels la planète est confrontée, y compris les 14 grands défis de l’ingénierie, dans le but de favoriser la compréhension et la coopération entre les jeunes à travers le monde. Cette année, le thème du FGC2024 est « Feeding the future » (Nourrir l’avenir). Un thème en lien avec l’alimentation, l’agriculture et l’eau, la production alimentaire durable étant l’un des défis majeurs du XXIe siècle. Ainsi, ce thème de 2024 met au défi les équipes participantes d’aborder les obstacles et les possibilités de fournir à la population mondiale une alimentation nutritive, équitable et respectueuse de l’environnement.
(source: Hanitra R. – Midi M/kara)
La Grèce et Rome, sources de l’Europe
Pour ce nouveau numéro de Parlez-Moi d’Histoire, Guillaume Perrault, rédacteur en chef au Figaro, en charge de l’Histoire, reçoit Michel de Jaeghere, fondateur et directeur du Figaro Histoire et Alexandre Grandazzi, professeur de littérature latine à la Sorbonne.
Grèce : à Athènes, l’Acropole ferme en raison de la canicule qui frappe le pays et une partie de l’Europe
Il fait plus de 40 degrés au sommet de l’Acropole, et « la température ressentie par le corps est considérablement plus élevée », a alerté le ministère de la Culture.

CANICULE – Il fait chaud chaud chaud. L’Acropole d’Athènes a fermé ses portes ce vendredi 14 juillet aux heures les plus chaudes de la journée et devrait très probablement le faire aussi samedi en raison de la canicule qui frappe le pays comme une partie de l’Europe, a annoncé la ministre grecque de la Culture.
« Pour la protection des travailleurs et (…) des visiteurs, au moins pendant les heures de +pic+ des températures de 12 heures à 17 heures [de 13 heures à 18 heures à Paris, NDLR], il faut une suspension du site archéologique », a indiqué Lina Mendoni sur la chaîne de télévision publique ERT.
« Il est très probable que demain (samedi) nous ayons la même démarche », a-t-elle ajouté. La ministre a expliqué que si des températures de 40 °C à 41 °C sont attendues à Athènes vendredi et samedi, au sommet de l’Acropole, « la véritable température ressentie (…) par le corps est considérablement plus élevée ».
L’Agora antique et d’autres sites restent ouverts
Auparavant, l’Ephorie archéologique de la ville d’Athènes avait annoncé dans un communiqué la fermeture aux heures les plus chaudes vendredi du site antique classé au patrimoine de l’humanité de l’Unesco et qui est le plus visité de Grèce.
Aux alentours du Rocher sacré, l’Agora antique ou le cimetière antique du Céramique, resteront, eux, ouverts.
Le prince héritier saoudien va se rendre en Grèce puis en France, première visite en Europe depuis l’affaire Khashoggi

Mohamed Ben Salman rencontrera les dirigeants grecs et français pour évoquer les moyens de renforcer les relations bilatérales, a indiqué la cour royale saoudienne.
Le prince héritier saoudien, Mohamed Ben Salman, va se rendre en Grèce mardi 26 juillet puis en France, pour sa première visite dans l’Union européenne depuis l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, selon l’agence officielle. Il rencontrera «les dirigeants de la Grèce et de la France pour évoquer les relations bilatérales et les moyens de les renforcer dans différents domaines», a indiqué l’agence SPA en citant un communiqué de la cour royale.
Cette visite intervient moins de deux semaines après celle du président américain, Joe Biden, dans le royaume, qui a consacré le retour du prince héritier sur la scène internationale, dans un contexte de guerre en Ukraine et flambée des prix de l’énergie.
Soulager le marché pétrolier
Mohammed ben Salmane (MBS), dirigeant de facto du royaume, avait été ostracisé par les pays occidentaux, après le meurtre macabre en 2018 du journaliste critique Jamal Khashoggi au consulat de son pays à Istanbul. Les services de renseignement américains ont pointé la responsabilité de Mohammed ben Salmane, envenimant les relations entre Ryad et Washington. Depuis le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, les pays occidentaux cherchent à convaincre le premier exportateur de brut à ouvrir les vannes pour soulager les marchés.
(source: lefigaro.fr)
Depuis la Grèce, Isaac Herzog réitère le soutien d’Israël à l’Ukraine
Confiant sa crainte de lourdes pertes humaines, le président a invité les Israéliens d’Ukraine à rentrer sans délai en Israël

À l’occasion d’une réunion à Athènes avec la présidente grecque, Katerina Sakellaropoulou, jeudi matin le président Isaac Herzog a déclaré prier pour une résolution pacifique du conflit en Ukraine.
« Ce matin, je ressens une grande tristesse, craignant une tragédie humanitaire et -Dieu nous en garde- la mise en danger de civils innocents », s’est confié Herzog, « et je prie, comme beaucoup dans le monde, pour que revienne la paix dans ce conflit entre la Russie et l’Ukraine. »
Herzog a réitéré le soutien d’Israël à « l’intégrité territoriale de l’Ukraine » et a appelé les citoyens israéliens à « rentrer sans plus attendre en Israël par des points de passage terrestres ».
Il a également promis de « prendre soin du sort de la communauté juive en Ukraine » et d’offrir « toute la coopération humanitaire possible » au gouvernement ukrainien.
Le président Isaac Herzog devrait rencontrer, jeudi, le président et le Premier ministre grecs à Athènes lors d’une visite-éclair qui devrait rester dans l’ombre de son prochain déplacement en Turquie, l’adversaire régional de la Grèce.
Cette visite d’une journée dans la capitale de la Grèce a lieu une semaine avant le départ de Herzog à Chypre, autre rival de la Turquie, dans le cadre d’un changement potentiel des alliances régionales maritimes à travers tout l’Est de la méditerranée.
Par ailleurs, la prochaine visite de Herzog en Turquie, qui doit avoir lieu dans les prochaines semaines même si aucune date n’a pour le moment a été finalisée et annoncée, sera au cœur des entretiens qu’aura Herzog à Athènes, ainsi que les partenariats énergétiques naissants concernant l’Est de la méditerranée.
Herzog s’entretiendra dans la journée de jeudi avec le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis, le président du parlement Konstantinos Tasoulas et enfin avec le chef de l’opposition Alex Tsipras. Le 2 mars, il devrait partir pour Chypre pour y rencontrer le président Nicos Anastasiades.
A Athènes, Isaac Herzog doit « insister sur le fait que la tentative d’améliorer les relations avec la Turquie ne se fera absolument pas aux dépends des relations avec la Grèce », a décrypté Oded Eran, chercheur à l’Institut national d’études stratégiques de Tel-Aviv.
Il devra mettre en évidence la volonté israélienne de « renforcer la coopération en Méditerranée orientale » avec les partenaires traditionnels de l’Etat hébreu, la Grèce mais aussi Chypre, où il se rendra la semaine prochaine.
Sous le couvert de l’anonymat, un responsable israélien a affirmé à l’AFP que « l’amélioration des relations avec la Turquie ne se fait pas aux dépens des relations très importantes avec la Grèce et Chypre ».
Dans un communiqué diffusé dimanche après-midi, Herzog a indiqué que pendant ses déplacements en Grèce et à Chypre, il évoquerait « des initiatives qui pourront élargir et approfondir à la fois la riche collaboration entre nos nations ».
Anastasiades et Mitsotakis étaient venus, au mois de décembre, en Israël à l’occasion d’un sommet tripartite avec le Premier ministre Naftali Bennett. Herzog avait accueilli des réunions de travail distinctes avec les leaders en séjour au sein de l’État juif.
Herzog avait initialement prévu de se rendre en Grèce à une date ultérieure de l’année mais le déplacement avait été avancé. Le voyage en Chypre est venu s’ajouter après l’annonce de la visite en Turquie, selon un responsable du bureau du président.

Les relations entre Israël, Chypre et la Grèce sont devenues de plus en plus amicales, ces dernières années.
La Grèce conclut un accord de défense de 1,68 milliard de dollars avec Israël
Selon le ministère de la Défense, l’accord sur 20 ans permettra à Elbit de créer une école de pilotage pour l’armée de l’air grecque, vendre et moderniser des avions d’entraînement

Le ministère de la Défense israélien a annoncé mardi que le gouvernement grec avait approuvé un accord de 1,68 milliard de dollars pour l’achat d’avions d’entraînement à Israël et pour qu’un entrepreneur israélien de la Défense établisse une école de pilotage pour l’armée de l’air grecque.
L’accord, qui doit encore être signé par les ministères de la Défense des deux pays, prévoit la création et l’exploitation par Elbit Systems d’une école de formation pour l’armée de l’air hellénique.
Il prévoit également la vente de 10 avions Aermacchi M-346, connus en Israël sous le nom de Lavi, et la mise à niveau et la maintenance par Elbit des avions d’entraînement T-6 de la Grèce.
L’UE sanctionne Minsk et met en garde Ankara
Les Européens se donnent jusqu’à décembre «au plus tard» pour riposter aux provocations turques en Méditerranée orientale.

Correspondante à Bruxelles
C’était un véritable imbroglio et beaucoup pariaient sur un désastre, mais les Vingt-Sept sont finalement parvenus à trouver un compromis sur la Biélorussie et surtout sur la Turquie.
Depuis vendredi, quarante personnalités, considérées comme responsables de la répression en Biélorussie, sont persona non grata sur le territoire de l’Union et ne peuvent plus avoir accès à leurs avoirs désormais gelés. L’homme fort de Minsk, Alexandre Loukachenko, passe à ce stade entre les gouttes, les Européens souhaitant donner toute sa chance au «dialogue inclusif» entre le pouvoir et l’opposition biélorusses qu’ils appellent de leurs vœux, mais aussi garder quelques «munitions» en cas d’échec.
Ces sanctions sont un soulagement pour les leaders européens. Le dossier, qui devait être réglé bien plus tôt, devenait, au fil des semaines, beaucoup trop encombrant pour l’Union. «Nous sommes crédibles», s’est félicité vendredi le président du Conseil européen, Charles Michel, à l’issue de ce sommet extraordinaire des Vingt-Sept consacré pour l’essentiel aux relations extérieures de l’UE.
Si un accord a pu être trouvé sur la question de la Biélorussie, c’est parce que les Vingt-Sept sont parvenus à convaincre Nicosie d’abandonner son veto. Il fallait pour cela trouver la bonne formule sur la Turquie, alors qu’Ankara poursuit ses forages illégaux des eaux chypriotes et que le président Nikos Anastasiades exigeait un message ferme de l’UE. Selon un haut responsable européen, les Vingt-Sept auront au final passé «8 à 9 heures» à identifier la voie de passage qui permettait d’afficher cette fermeté vis-à-vis d’Ankara sans, estiment-ils, ruiner totalement les avancées obtenues sur la Grèce au cours des dernières semaines.
Un cadre et un calendrier fixés
Le premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis, aurait joué un rôle important dans le dénouement, en affichant son soutien au président chypriote et, en l’invitant aussi de temps à autre, à une certaine modération dans ses demandes. Certes, il n’est pas encore question de dégainer de nouvelles sanctions contre Ankara, mais plutôt
Exercice militaire européen en Méditerranée orientale, sur fond de tensions gréco-turques
La Grèce, la France, l’Italie et Chypre commencent un exercice militaire conjoint en Méditerranée orientale. Le président turc a averti qu’il ne ferait « aucune concession » pour défendre ses intérêts gaziers.
« Chypre, la Grèce, la France et l’Italie se sont mis d’accord pour déployer une présence commune en Méditerranée orientale dans le cadre de l’initiative quadripartite de coopération », a annoncé mercredi le ministère de la défense grec. Cet exercice doit avoir lieu entre mercredi et vendredi en Méditerranée orientale, au sud et au sud-ouest de Chypre, selon une source militaire.
La France a averti mercredi la Turquie que la Méditerranée orientale ne pouvait pas constituer « un terrain de jeu » pour des « ambitions » nationales. « La Méditerranée ne doit pas être un terrain de jeu des ambitions de certains ; c’est un bien commun » où « le respect du droit international doit être la règle et non l’exception », a déclaré la ministre des armées française, Florence Parly, dans un Tweet, confirmant le début de cet exercice militaire conjoint.
L’Union européenne accuse la Turquie d’aggraver les tensions en Méditerranée orientale

Étant donné la découverte, ces dernières années, d’importants gisements de gaz naturel en Méditerranée orientale, la République de Chypre a autorisé plusieurs groupes pétroliers et gaziers, comme Total, ENI et ExxonMobil, à explorer sa zone économique exclusive [ZEE], divisée en 13 blocs, en vue d’une éventuelle exploitation.
Seulement, la Turquie entend s’inviter dans ces activités, prétextant défendre les intérêts de la République turque de Chypre-Nord [RTCN], une entité créée après son intervention militaire de 1974 [opération Attila], lancée à la suite d’une tentative de coup d’État ayant cherché à rattacher Chypre à la Grèce [Énosis].
L’appétit d’Ankara explique son soutien au gouvernement d’union nationale libyen [GNA], avec lequel elle a signé un mémorandum d’accord sur ses frontières maritimes. Ainsi, ce texte lui permettrait d’étendre la superficie de son plateau continental de plus de 30% et de « torpiller » le projet gazoduc EastMed qui, orienté vers l’Europe, est porté par la Grèce, la République de Chypre et Israël.
En attendant, la Turquie envoie régulièrement des navires dans la ZEE de la République de Chypre afin d’y mener des forages, malgré les avertissements de l’Union européenne [UE] et des États-Unis.
En juillet 2019, l’UE a sanctionné la Turquie en réduisant de 145,8 millions d’euros les fonds européens qui lui étaient destinés en 2020. Cette décision a été sans effet… Comme celle ayant consisté à geler les avoirs et interdire l’entrée à deux ressortissants turcs impliqués dans les opérations de forage dans la ZEE de la République de Chypre. Pour calmer les ardeurs européennes, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, se plaît à rappeler que son pays accueille plusieurs millions de migrants prêts à se rendre sur le Vieux Continent…