Paris
Défilé du 14-Juillet : 155 véhicules et 92 motos sur l’avenue
Place aux troupes motorisées sur les Champs-Élysées, avec en ouverture la 7e brigade blindée, surnommée la « bonne de guerre ». Au total, 155 véhicules et 92 motos défilent ce 14-Juillet.
La 2e session de la Commission mixte sur les îles Éparses s’est tenue à Paris, hier. Selon les informations sur la teneur de la réunion, Madagascar insiste sur la restitution de sa souveraineté sur ces îles, en ajoutant quelques lignes à ses prérequis, dont une demande d’indemnisation.

Une demande de réparation. C’est une des lignes que Madagascar ajoute à ses prérequis dans les négociations sur le dossier Îles Éparses. Il s’agit d’une des principales informations qui ressort de la 2e manche de la réunion de la Commission mixte qui s’est tenue, hier, à Paris, France.
Jusqu’à l’heure où nous avons mis sous presse, le communiqué conjoint de la réunion n’a pas été publié. Toutefois, les informations qui ressortent de la réunion d’hier indiquent qu’en plus de « la restitution de sa souveraineté » sur ce que les Nations unies désignent comme les «îles malgaches», Madagascar pose également sur la table des négociations une demande d’indemnisation. « Réparation des préjudices et pertes économiques subies par Madagascar durant les années où elle n’a pu exercer sa souveraineté sur les îles », figure dans la liste des demandes formulées.
Le décor pour le deuxième round des négociations sur la question des « îles malgaches » a été posé au Quai d’Orsay, siège de la diplomatie française. Autour de la table, il y a eu d’un côté la délégation malgache conduite par Rafaravavitafika Rasata, ministre des Affaires étrangères, et de l’autre, Jean-Noël Barrot, ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères. Les informations qui ressortent de la rencontre ne donnent pas d’indications sur la position mise en avant par la France. Le communiqué conjoint pourrait en dire plus sur ce point.
À l’issue de la première réunion de la Commission mixte, au palais d’Andafiavaratra, le 18 novembre 2019, il a été rapporté dans le communiqué conjoint que les deux parties ont acté un différend sur la question de la souveraineté. La missive avait indiqué que la délégation malgache avait mis l’accent sur le fait que « la restitution de la souveraineté de Madagascar sur ces îles reste une question fondamentale dans la négociation et constitue une question devant être abordée préalablement à l’examen et à l’adoption d’une solution commune de développement ».
Une 3e manche à Madagascar
Une revendication réaffirmée à Paris, hier, vraisemblablement. Aussi, selon les informations venant de Paris, « la délégation malgache a été ferme sur la revendication concernant le retour de la souveraineté de Madagascar sur ces îles, considérées comme un symbole de l’identité nationale et un droit légitime, déjà reconnu par les Nations unies ». Lire la suite »
Îles Éparses : plus de 900 organisations de la société civile appellent à une position ferme des négociateurs
Ireo solontena valo (8) mandrafitra ny delegasiona malagasy.
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Alors que s’ouvre ce lundi 30 juin 2025 à Paris la deuxième réunion de la commission mixte franco-malgache sur les Îles Éparses, près de 900 organisations de la société civile malgache exhortent la délégation officielle à défendre sans compromis l’intégrité territoriale de Madagascar.
À l’occasion de cette nouvelle session de discussions bilatérales entre la France et Madagascar concernant les îles dites « Éparses » – Nosy Sambatra (Glorieuses), Nosy Ampela (Europa), Nosy Kely (Juan de Nova) et Nosy Bedimaky (Bassas da India) – la société civile malgache fait entendre sa voix. Dans une déclaration publiée le 28 juin, plus de 910 organisations locales et nationales affirment leur soutien indéfectible à la souveraineté pleine et entière de Madagascar sur ces territoires.
Restitution des îles éparses
Tsiahy
La délégation malgache, dont la composition a été rendue publique samedi 28 juin par le ministère des Affaires étrangères, est conduite par la ministre Rafaravavitafika Rasata. Elle comprend notamment le ministre de la Pêche Paubert Mahatante, la sénatrice Lalatiana Rakotondrazafy, l’ambassadeur Djacoba Tehindrazanarivelo, ainsi que des hauts fonctionnaires et experts issus de plusieurs institutions étatiques, dont le vice-amiral Antoine Ranaivoseheno. Dans leur communiqué, les OSC malgaches réaffirment que ces îles « sont une partie intégrante et inaliénable du territoire de la République de Madagascar ». Elles appellent les négociateurs à tenir une ligne sans concession, en accord avec le droit international, notamment la Résolution 1514 de l’ONU sur la décolonisation. La poursuite de l’administration française sur ces îles y est qualifiée d’« anomalie historique, juridique et politique » contraire aux principes de souveraineté des peuples.
Intérêt supérieur de la nation
Les signataires encouragent l’ensemble des citoyens malgaches à exprimer leur solidarité avec la démarche de restitution. Elles appellent aussi les pays africains, les États de la région et les organisations internationales à soutenir la revendication malgache, présentée comme un combat légitime et fondé sur la justice, la mémoire historique et la dignité du peuple. En conclusion, les OSC assurent leur vigilance et leur mobilisation continue jusqu’à la restitution totale et non négociable des îles à Madagascar. Elles disent accorder leur confiance aux membres de la délégation et leur adressent leur « Tsodrano » pour mener les négociations dans l’intérêt supérieur de la nation.
(source: moov.mg)
A la tête de Sciences Po, Luis Vassy, un diplomate de « sang-froid » pour « faire baisser la pression »
Ex-directeur de cabinet au Quai d’Orsay, ce fils d’un réfugié uruguayen a pris ses fonctions mardi 1ᵉʳ octobre à la tête d’une école qu’il refuse de voir comme « un objet politique ».

Pour mieux se glisser dans sa nouvelle peau de directeur de Sciences Po, Luis Vassy, 44 ans, est remonté aux sources. Quoi de mieux qu’une biographie d’Emile Boutmy, bâtisseur de l’Ecole libre des sciences politiques en 1871 ? A l’évocation du physique du père fondateur, décrit comme « frêle », « avec un léger strabisme », par François et Renaud Leblond, auteurs d’Emile Boutmy, le père de Sciences Po (Anne Carrière, 2013), il n’a pu s’empêcher de faire le rapprochement avec sa propre apparence. « Chacun en déduira ce qu’il veut ! », ironise-t-il, lunettes sur le nez.
Mardi 1er octobre, l’ex-directeur du cabinet de l’ancien ministre des affaires étrangères Stéphane Séjourné a investi son nouveau bureau, rue Saint-Guillaume, à Paris. Adoubé les 19 et 20 septembre par une majorité des membres du conseil de l’Institut d’études politiques et du conseil de la Fondation nationale des sciences politiques, il prend les rênes d’une école de 15 000 étudiants, dotée de 250 millions d’euros de budget, qu’il a lui-même fréquentée à la fin des années 1990, simultanément avec l’Ecole normale supérieure de Cachan et avant de passer par l’ENA – promotion Sédar Senghor, la même qu’Emmanuel Macron.
La démission de son prédécesseur, Mathias Vicherat, au mois de mars, renvoyé devant la justice avec son ex-compagne pour des faits de violences conjugales, puis la mobilisation étudiante déclenchée par la guerre menée par Israël à Gaza à la suite de l’attaque terroriste du Hamas du 7 octobre 2023 ont marqué l’établissement, qui voudrait bien ouvrir une nouvelle page. L’ancien ambassadeur à La Haye entre 2019 et 2022 fait justement de l’« apaisement » son mantra. Ses projets sont multiples, parmi lesquels l’« adaptation des procédures » de recrutement, la création d’une « école de la gouvernance et des politiques du climat », la formation des étudiants en bachelor aux méthodes de la recherche en sciences humaines.
Répression
Lorsqu’il vivait, enfant, dans un HLM de Fontenay-sous-Bois (Val-de-Marne), Luis Vassy se voyait architecte, dessinant sans cesse des plans de maisons. Il s’est passionné ensuite pour l’informatique, avant de réaliser que l’ouverture au monde offerte par les carrières diplomatiques correspondait à ce qu’il cherchait.
L’histoire familiale des Vasilskis est faite de ruptures, de départs forcés, de violences. « Réfugié politique en France en 1974, mon père a francisé (…suite dans lemonde.fr)
Cérémonie de clôture des Jeux Paralympiques : les meilleurs moments !
Revivez en 6 minutes les meilleurs moments de la cérémonie de clôture des Jeux Paralympiques de Paris 2024 !
La cérémonie en intégralité : https://bit.ly/replayPara Mise en scène par Thomas Jolly, la cérémonie de clôture a célébré les parathlètes des jeux et réuni de nombreux artistes comme Santa, Amadou et Mariam, Jean-Michel Jarre, Martin Solveig, Kungs, Cassius, Irène Drésel.
Concert à Paris – Bessa, Lola, Bodo et Poopy enchantent la diaspora

Le concert célébrant le 80e anniversaire de Bessa a affiché complet samedi au Théâtre de Longjumeau en France, avec la participation de sa femme Lola, ainsi que de Bodo et Poopy.
L’ambiance était chaleureuse samedi au Théâtre de Longjumeau, à 35 km de Paris, où Bessa et Lola ont embrasé la scène avec leur musique, en compagnie de Poopy et Bodo. Les billets se sont vendus à guichets fermés, attirant plus de neuf cents spectateurs qui ont chanté avec les artistes du début jusqu’à la fin du spectacle. «Même les artistes étaient surpris par l’enthousiasme du public, du début jusqu’à la fin. Les spectateurs étaient ravis de célébrer le 80e anniversaire de Rabe Samuel Rakotovao, alias Bessa,» déclare le manager de Bessa et Lola.
Le spectacle, d’une durée de deux heures, a débuté exactement à 19 heures comme prévu. «C’était la première fois que Bessa, Lola, Bodo et Poopy se produisaient ensemble sur scène en interprétant les titres de Bessa», ajoute le manager. Bessa a ouvert le concert en solo avec «Miala tsiny», suivi d’un duo avec son épouse Lola qui l’a rejoint pour interpréter «Jangobo». Ce moment fort a suscité des applaudissements nourris du public, qui a chanté en chœur avec les artistes, créant une atmosphère chaleureuse et festive.
Complicité sur scène
Le duo Bessa et Lola a ensuite enchanté l’audience avec des classiques comme «Antsirabe», «Omena anao», «Ny itiavako anao», «Harmonia» et bien d’autres.
Sommet des présidentes d’Assemblée : Christine Razanamahasoa invitée à Paris

La présidente de l’Assemblée nationale, Christine Razanamahasoa, est actuellement en voyage officiel en France. Depuis avant-hier, elle est présente à Paris pour prendre part au premier sommet mondial des présidentes d’Assemblée. Cet événement d’envergure internationale, qui se déroule sur deux jours, a débuté hier et se poursuit aujourd’hui. Vingt-quatre présidentes d’Assemblée, issues des quatre coins du globe, se réunissent dans la capitale française pour cet évènement historique. Parmi les personnalités notables présentes, on compte également Nancy Pelosi, ancienne présidente du Congrès américain.
Petite délégation
Le programme de la présidente de la Chambre basse malgache est chargé durant ces deux jours d’événement, avec un agenda préétabli par la Présidence française de l’Assemblée nationale dans le cadre de ce sommet. Cependant, un éventuel entretien avec la présidente de l’Assemblée nationale française, Yaël Braun-Pivet, n’a pas encore été officiellement confirmé par la partie malgache. Christine Razanamahasoa est accompagnée pendant ce voyage par une petite délégation composée de cinq personnes, indique une source concordante.
Droit de vote
Selon les informations officielles, la première journée du sommet est consacrée à une réunion autour de femmes inspirantes telles que Oleksandra Matviichuk, lauréate du Prix Nobel de la paix 2022, et Nancy Pelosi, membre de la Chambre des Représentants des États-Unis et ancienne présidente de la Chambre, qui adressera un message vidéo aux participantes. Par la suite, les participantes auront l’opportunité de visiter l’exposition « Aux urnes, citoyennes ! », qui célèbre l’obtention du droit de vote et d’éligibilité des femmes en France.
Modèle féminin
La deuxième journée du sommet sera marquée par des tables rondes abordant des sujets tels que l’éducation à l’égalité, la lutte contre les violences faites aux femmes et la santé. Une autre table ronde sera dédiée à l’égalité et la parité en politique ainsi qu’à la promotion de modèles féminins dans ce domaine.
(source: Rija R. – Midi M/kara)
Paris et Washington exhortent la classe politique libanaise à des « réformes »
Un an après la double explosion dans le port de Beyrouth, une conférence promet plus de 300 millions d’euros d’aides humanitaires. Emmanuel Macron dénonce les dirigeants libanais qui font « le choix du pourrissement ».

La date n’a pas été choisie au hasard. Un an après l’explosion cataclysmique qui dévastait le port de Beyrouth et les quartiers voisins, et alors que le souvenir des victimes a été célébré par les Libanais, mercredi 4 août, la France a tenu une troisième conférence d’aide internationale pour le pays du Cèdre. Quelque 370 millions de dollars (312 millions d’euros) ont été promis, dont 100 millions d’euros par la France. Organisé avec les Nations unies, ce rendez-vous en visioconférence a rassemblé une quarantaine de pays et d’organisations. Paris comme Washington ont de nouveau appelé à des « réformes », dans un pays en plein effondrement.
Ces engagements financiers n’enrayeront pas la dégradation fulgurante du pays, ils couvrent une période assez courte – les douze prochains mois. Mais l’aide promise doit répondre aux besoins urgents identifiés par les Nations unies. Cette nouvelle enveloppe constitue un peu d’oxygène. Une mise sous perfusion. Elle concerne, entre autres, la santé, l’éducation et la sécurité alimentaire – ce terme-là, les Libanais n’avaient jamais pensé qu’il s’appliquerait à leur pays, qui se targuait d’être décrit comme la « Suisse du Moyen-Orient ». La dépendance de familles aux colis alimentaires est pourtant devenue une bouleversante réalité.
Les modalités de distribution de l’aide ne changent pas. Dès la première conférence internationale, organisée le 9 août 2020 à l’initiative d’Emmanuel Macron, quand le Liban se trouvait dans un état de sidération après la double explosion survenue dans le port de Beyrouth, la nécessité d’un « monitoring étroit » par les Nations unies avait été évoquée. Cette supervision se poursuit. Le soutien direct aux associations est privilégié par Paris, afin, dit-on, de ne pas nourrir le système politique clientéliste.
« Faute historique et morale »
Dans son allocution, le président français a eu des mots cinglants pour les dirigeants libanais, qui « semblent faire le choix du pourrissement ». Il a déploré une « faute historique et morale » et fustigé les « dysfonctionnements injustifiables » de la classe politique. (… lire l’intégralité)
Hisy zotra manokana karakarain’ny Fanjakana avy any sy mankany Paris
Fantaro ireo daty voafaritra ny amin’izany sy ireo fepetra tokony ho harahana mandritry ny fotoana voafetra.
L’Odyssée / The Odyssey:: Mythologie grecque, Hélène de Troie
L’ODYSSEE/THE ODYSSEY – 1/4 – (Franco Rossi, 1968)
L’ODYSSEE/THE ODYSSEY – 2/4
L’ODYSSEE/THE ODYSSEY – 3/4
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