Royaume Uni

La reine Elizabeth II est morte à 96 ans (1926-2022)

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La reine Elizabeth II s’est éteinte à l’âge de 96 ans, le 8 septembre 2022, après 70 ans de règne. Revenons sur les principaux événements qui ont marqué sa vie et le Royaume-Uni.

Le Rwanda va accueillir des demandeurs d’asile au Royaume-Uni

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© Fournis par Journal de Bangui Le Rwanda va accueillir des demandeurs d’asile au Royaume-Uni

Le Rwanda a signé un accord de plusieurs milliards de francs CFA avec la Grande-Bretagne pour accueillir des migrants de diverses nationalités qui cherchent à entrer au Royaume-Uni, a appris APA jeudi.

C’est un accord initial de 120 millions de livres sterling, soit près de 95 milliards de francs CFA, conclu entre Kigali et Londres. Le gouvernement britannique cherchait depuis des mois des pays tiers pour envoyer les migrants en attendant de traiter leur dossier. Le Rwanda et le Ghana avaient été évoqués, mais Accra a fermement nié en janvier être en discussion avec le Royaume-Uni sur le sujet.

Le Premier ministre Boris Johnson espère en effet dissuader les traversées illégales de la Manche. Il s’engage, dans un premier temps, à financer ce dispositif à hauteur du montant évoqué. « Le Rwanda se réjouit de ce partenariat avec le Royaume-Uni pour accueillir des demandeurs d’asile et des migrants, et leur offrir des voies légales de résidence » dans ce pays d’Afrique australe, a déclaré dans un communiqué le ministre rwandais des Affaires étrangères Vincent Biruta.

Kigali précise que les migrants accueillis seront « intégrés dans les communautés du pays ». « Il s’agit de s’assurer que ces personnes sont protégées, respectées et habilitées à poursuivre leurs propres ambitions et à s’installer de façon permanente au Rwanda si elles le souhaitent », a ajouté M. Biruta. Un des sujets clés du Brexit, la campagne de retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne, le dirigeant britannique conservateur avait promis de contrôler l’immigration. Le nombre de clandestins traversant la Manche a triplé en 2021. Malgré tout, son projet de durcissement de la politique migratoire a été fortement critiqué par des organisations de défense des droits de l’Homme dénonçant son « inhumanité ».

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Crise diplomatique entre Washington et Paris au sujet des sous-marins australiens

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Canberra a rompu le « contrat du siècle » avec le français Naval Group, au profit de technologies nucléaires américaines et britanniques. Jeudi, le chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian, a évoqué un « coup dans le dos » de la part de l’Australie.

Le président américain, Joe Biden, en visioconférence avec les premiers ministres australien, Scott Morrison, et britannique, Boris Johnson, à la Maison Blanche, le 15 septembre 2021. ANDREW HARNIK / AP

« Aukus » est un acronyme abscons, mais ses implications paraissent déjà considérables. Souhaitant resserrer leurs liens face à la Chine dans la zone Indo-Pacifique, les Etats-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni ont annoncé, mercredi 15 septembre, un partenariat stratégique inédit. « Un pas historique », selon Joe Biden. Sa première traduction devrait permettre à l’Australie d’accomplir un énorme saut technologique et militaire, avec la construction de sous-marins à propulsion nucléaire. Un saut qui implique un rare partage de technologie américain, mais aussi un abandon très amer pour la France : celui des douze sous-marins à propulsion classique, qu’elle devait livrer dans le cadre d’un accord intergouvernemental et d’un contrat industriel scellés en 2019 pour cinquante ans.

Selon nos informations, la France n’avait pas été officiellement alertée avant les premiers articles de presse parus mercredi 15 septembre, puis l’annonce de la décision, en fin d’après-midi, lors d’une vidéoconférence réunissant Joe Biden, le premier ministre australien, Scott Morrison, et son homologue britannique, Boris Johnson. Le dirigeant australien n’a même pas mentionné la France dans son discours. Plus tard, devant la presse, il a évoqué « non pas un changement d’avis, mais un changement de besoin ». L’offre américaine aurait été impossible à rejeter, a-t-il dit, reconnaissant, « évidemment, une décision très difficile et décevante pour la France ».

Lors de la présentation à la Maison Blanche, Joe Biden, lui, s’est contenté d’une référence symbolique, qui ne dit rien de la crise diplomatique se dessinant entre Washington et Paris. La France « a une présence importante dans l’Indo-Pacifique, et il s’agit d’un partenaire et d’un allié-clé », a dit le président américain. Cette amabilité ne pèse guère au vu du revirement australien, sous pression probable des Etats-Unis, selon Paris, et ce alors que devait justement être finalisée, ce mois-ci, une nouvelle étape importante du contrat de Naval Group (ex-DCNS) avec Canberra concernant le basic design des sous-marins.

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Contre le Covid-19, un milliard de vaccins promis par le G7 aux pays pauvres

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Le G7 va aussi “présenter un plan pour étendre la production de vaccins » pour “mettre fin à la pandémie” liée au coronavirus en 2022.

TOBY MELVILLE via AFP Contre le Covid-19, un milliard de vaccins promis par le G7 aux pays pauvres (photo d’illustration)

CORONAVIRUS – Les dirigeants des pays riches G7 vont s’engager lors de leur sommet à distribuer un milliard de doses de vaccins anti-Covid aux pays pauvres afin de “mettre fin à la pandémie” en 2022, a annoncé ce jeudi 10 juin la présidence britannique du groupe.

Réunis de vendredi à dimanche dans le sud-ouest de l’Angleterre, les dirigeants de grandes puissances doivent “annoncer qu’ils fourniront au moins un milliard de doses de vaccins contre le coronavirus en partageant des doses et en les finançant”, a indiqué dans un communiqué le gouvernement britannique, qui assure la présidence du G7 cette année.

Ils doivent également “présenter un plan pour étendre la production de vaccins afin d’atteindre cet objectif”, a-t-il poursuivi.

“En vaccinant plus de personnes dans le monde, non seulement nous aiderons à mettre fin à la pandémie de coronavirus, mais nous réduirons aussi le risque pour la population au Royaume-Uni” en “diminuant la menace posée par des variants résistants aux vaccins apparaissant dans des zones ayant d’importants foyers épidémiques”, a-t-il ajouté.

“Mécanismes contre les futures pandémies”

Dans ce cadre, Londres a précisé donner 100 millions de doses excédentaires provenant de différents laboratoires grâce à l’avancée de son programme de vaccination, qui a déjà permis d’administrer près de 70 millions d’injections au Royaume-Uni. Cinq millions de doses seront fournies d’ici septembre, et le reste jusqu’en 2022, principalement via le dispositif Covax.

Les États-Unis se sont de leur côté engagés à fournir 500 millions de vaccins de Pfizer/BioNTech, dont 200 millions cette année. La présidence britannique souhaite aussi appeler les laboratoires pharmaceutiques à fournir des vaccins à prix coûtant durant toute la durée de la pandémie, à l’instar d’Oxford/AstraZeneca.

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Décès du prince Philip, mari de la reine d’Angleterre, à 99 ans

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Le mari d’Elizabeth II, décédé ce vendredi 8 avril à l’âge de 99 ans, a souvent provoqué la controverse avec des petites phrases aux allures de gaffes, parfois des remarques franchement racistes ou sexistes.

ROYAUME-UNI – Le prince Philip, décédé vendredi à l’âge de 99 ans, reste irrémédiablement associé aux blagues politiquement incorrectes – parfois même  teintées de racisme ou de sexisme – qu’il a distillées au cours de ses engagements officiels.

Voici le meilleur du pire de Philippe Mountbatten, répertorié par l’AFP.

– Inaugurant une plaque dans un stade de cricket à Londres en 2017: “Vous êtes sur le point de voir l’expert mondial des inaugurations de plaques”.

– A Malala Yousafzaï  qui a survécu à une attaque des talibans contre un bus d’écolières en 2013: Les enfants “vont à l’école parce que leurs parents n’en veulent pas à la maison”.

– A l’approche de son 90e anniversaire en 2011: “Ca commence à tomber en morceaux”.

– A une jeune femme qui lui offre des fleurs, en 1984 au Kenya, il lance: “Merci Madame… Vous êtes bien une femme, n’est-ce-pas ?”.

– “Je me ferais arrêter si j’ouvrais la fermeture éclair de cette robe”, s’amuse-t-il auprès d’un policier, en avisant une jeune femme blonde moulée dans une robe rouge zippée sur le devant, en 2012.

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Gun salutes planned across UK in tribute to Prince Philip

Défense : le Royaume-Uni considère Moscou comme la plus grande menace

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Selon la nouvelle doctrine britannique en matière de défense et de sécurité nationale, la Russie est la «menace directe la plus importante». Une analyse que Moscou regrette alors que les relations entre les deux pays sont au «point mort».

Le drapeau de l’Union Jack flotte à côté de Big Ben à Londres, le 11 septembre 2019.

 

D’après la nouvelle feuille de route géopolitique britannique (Integrated Review) qui fixe les priorités du pays en matière de défense et de sécurité nationale pour les prochaines décennies, la Russie reste la «menace directe la plus importante» pour la Grande-Bretagne. Ainsi peut-on lire dans ce document d’une centaine de pages : «Le Royaume-Uni respecte le peuple, la culture et l’histoire de la Russie [mais] jusqu’à ce que les relations avec son gouvernement s’améliorent, nous nous défendrons contre l’éventail des menaces émanant de la Russie.»

Le Premier ministre Boris Johnson a également affirmé que l’île resterait membre de l’OTAN (Organisation du traité de l’Atlantique nord) et qu’elle travaillerait avec ses «alliés et partenaires» pour relever les défis de sécurité du «monde physique» et en ligne. «Nous continuerons à dépasser la ligne directrice de l’OTAN et à consacrer plus de 2% de notre PIB à la défense et dédierons nos capacités nucléaires et cyberstratégiques à la défense des Alliés», a-t-il précisé.
C’est la première fois que le Royaume-Uni publie ses priorités en termes de défense et de sécurité nationale depuis la sortie du pays de l’Union européenne. Les relations entre Londres et Moscou se sont considérablement dégradées au cours des dernières années suite à plusieurs incidents et désaccord, tels que l’empoisonnement en mars 2018 de l’ancien agent double russe Sergueï Skripal dans la ville de Salisbury, les tensions persistantes dans le cadre de l’affaire Navalny ou les accusations de cyberattaques portées par Royaume-Uni à l’encontre de la Russie.
«La Russie n’a été et n’est l’ennemie de personne»
Autre point important de ce rapport qui doit être détaillé par le Premier ministre Boris Johnson devant les députés : la volonté du Royaume-Uni d’augmenter le plafond de son arsenal nucléaire, une première depuis la chute de l’Union soviétique. L’une des principales mesures prévoit que le Royaume-Uni porte de 180 à 260, soit une hausse d’environ 45 %, le plafond maximum de son stock d’ogives nucléaires.
Comme le rapporte l’agence RIA Novosti, le 16 mars, le porte-parole du président russe Dmitri Peskov a regretté la nouvelle stratégie de défense britannique. «Bien sûr, cette attitude de confrontation ne peut que susciter des regrets voire des inquiétudes», a déclaré le porte-parole du Kremlin, soulignant que cette approche n’avait rien à voir avec l’état réel des choses : «La Russie n’a été et n’est l’ennemie de personne, elle ne représente de menace pour personne. Au contraire, comme le président Poutine l’a déclaré à plusieurs reprises, nous sommes en faveur de la normalisation et du développement de bonnes relations mutuellement avantageuses avec tous les pays. Nous voulons de bonnes relations», a-t-il conclu.

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Pandemic: new restrictions in England and Scotland

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Britain re-enters sweeping lockdown

Prime Minister Boris Johnson imposed a strict new national lockdown that will remain until at least the middle of February, as Britain’s race to vaccinate its population risked being overtaken by a fast-spreading variant of the coronavirus.

Schools and colleges in England will close their doors and shift to remote learning. Mr. Johnson appealed to Britons to stay home for all but a few necessary purposes, including essential work and buying food and medicine.

The new, highly transmissible variant of the virus has taken hold in London and southeastern England, prompting an alarming spike in case numbers, to close to 60,000 a day, and putting hospitals under acute pressure.

Scotland first: The first announcement of a full-scale lockdown came from Scotland, where the first minister, Nicola Sturgeon, has consistently moved further and faster to try to tame the pandemic.

The U.S. distribution of vaccines has descended into turmoil, with federal, state and local officials blaming each other for botched logistics and funding shortfalls. In New York City, roughly 110,000 people out of more than eight million have received the first of two doses necessary to help prevent serious cases of the disease.

(source: New York Times)


Covid-19: plus de 60.000 nouveaux cas détectés en 24 heures au Royaume-Uni, un record

Une rue presque déserte à Londres, ce mardi, après l’annonce hier soir d’un reconfinement total. TOLGA AKMEN / AFP

Alors que le premier ministre Boris Johnson a annoncé hier un reconfinement total du pays, le nouveau variant du virus continue de se propager à toute vitesse.

C’est du jamais vu depuis le début de l’épidémie. Le Royaume-Uni a enregistré 60.916 nouvelles contaminations au coronavirus en 24 heures, le plus haut nombre de nouveaux cas jamais détectés à ce jour. 830 personnes sont décédées, portant le nombre total de personnes mortes suite à une infection au Covid-19 à 76.305 dans le pays.

(source: le Figaro)

Relations post-Brexit : l’Union européenne et le Royaume-Uni trouvent un accord in extremis

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Les ambassadeurs des 27 pays de l’Union européenne se réuniront vendredi à 10 h 30 pour commencer à examiner l’accord.

‘The deal is done ! »

 

Il leur restait une semaine pour se mettre d’accord. Jeudi 24 décembre, après une nuit et une matinée d’ultimes négociations, l’Union européenne (UE) et le Royaume-Uni ont trouvé un terrain d’entente sur leurs relations commerciales après la sortie effective du pays de l’UE, au 1er janvier.

Cet accord, « bon pour l’Europe et le Royaume-Uni », pose des « fondations solides pour le départ d’un ami de longue date » et « protégera les intérêts européens », a déclaré la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, lors d’une conférence de presse tenue dans l’après-midi avec le négociateur européen, Michel Barnier. « Nous pouvons laisser le Brexit derrière nous », a-t-elle poursuivi, ajoutant que « l’Union européenne [allait] pouvoir passer à une nouvelle étape ».

La secrétaire d’Etat au commerce international britannique, Liz Truss, a salué la nouvelle sur Twitter. « Nous aurons une relation commerciale solide avec l’UE et approfondirons nos échanges avec nos partenaires dans le monde entier grâce à notre politique commerciale indépendante », a-t-elle écrit. Le premier ministre britannique, Boris Johnson, a, quant à lui, publié sur Twitter une photo de lui exultant, bras écartés et pouces levés, avec pour légende : « L’accord a été trouvé ».

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Mutation du Covid-19: les Européens veulent éviter un chaos au Royaume-Uni

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Correspondante à Bruxelles

Le Royaume-Uni, coupé du monde et du marché unique, à dix jours de la fin de la période de transition et alors que les équipes de négociateurs continuent d’essayer de trouver un deal sur les relations futures entre l’allié britannique et l’UE. Dans leurs rêves les plus fous, les Européens n’auraient pu imaginer un scénario plus catastrophique.

A l’entrée du port de Douvres, dans le Kent, un panneau indique, lundi 21 décembre, que la frontière franco-britannique est fermée. WILLIAM EDWARDS/AFP

À quelques jours de Noël, les voilà pourtant obligés de gérer une situation aussi inquiétante que surréaliste, conséquence de la mutation du Covid-19 rendant le virus bien plus contagieux et peut-être plus dangereux, même s’il n’y a pas encore certitude là-dessus. Londres a lancé l’alerte, sans vraiment prendre garde aux conséquences qu’entraînerait un discours alarmiste. Et, comme souvent en pareille situation, les Vingt-Sept ont réagi dans l’urgence et… en ordre dispersé. «Comme beaucoup d’autres pays, nous avons pris des mesures immédiates ce week-end pour empêcher l’introduction incontrôlée de ce virus muté», a admis le chef de la diplomatie allemande Heiko Maas.

À ce stade, ils sont une vingtaine d’États membres à avoir refermé leurs frontières vis-à-vis du Royaume-Uni. Sans la moindre arrière-pensée, soulignent plusieurs diplomates européens. «L’idée n’est certainement pas de punir Londres à cause du Brexit, mais de se protéger», insiste l’un d’eux. La durée et la portée des mesures d’urgence varient beaucoup selon les pays.

Si la France, le Danemark, la Suède ou l’Irlande ont choisi à ce stade de ne les prendre que pour 48 heures, l’Allemagne et les Pays-Bas ont édicté des consignes valables durant dix jours, soit jusqu’au 31 décembre. Si Berlin et La Haye ferment l’accès de leur pays aux seuls voyageurs, Paris – qui doit composer avec le tunnel sous la Manche – a décrété la fermeture de l’Hexagone aux voyageurs mais aussi aux marchandises «accompagnées» – c’est-à-dire au transport routier.

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Transition: le Royaume-Uni lance sa “révolution industrielle verte”

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Le gouvernement britannique a présenté mercredi 18 novembre des mesures censées créer des dizaines de milliers d’emplois tout en plaçant le pays sur le chemin de la neutralité carbone à l’horizon 2050. Si la fin de la vente des voitures thermiques en 2030, l’une des annonces phare, est accueillie avec enthousiasme, le montant des investissements ne satisfait pas tout le monde.

Une élionne surplombe la ville de Blyth, dans le nord-est de l’Angleterre, le 13 décembre 2019. LINDSEY PARNABY / AFP

Voitures électriques, éolien, isolation des logements : le gouvernement britannique a dévoilé mercredi 18 novembre un plan en 10 points “pour un futur plus vert”. L’objectif, à un an de la COP26 organisée à Glasgow, au Royaume-Uni : donner au pays les moyens d’atteindre la neutralité carbone, un objectif fixé à l’horizon 2050 par Londres.

Cette “révolution industrielle verte”, comme l’appelle le Premier ministre conservateur, Boris Johnson, “devrait permettre de créer et de soutenir quelque 250 000 emplois”, explique The Guardian. Parmi les points clés listés par le quotidien londonien :