Le président américain a accepté jeudi soir de rencontrer le leader nord-coréen d’ici la fin mai. Pyongyang s’est également engagé à arrêter les essais nucléaires ou de missiles et à œuvrer à la « dénucléarisation » de la péninsule.
états-unis
Afghanistan: reprise des négociations de paix entre Washington et les talibans
Un nouveau cycle de pourparlers entre les Etats-Unis et les talibans a débuté samedi à Doha, selon les talibans, en vue d’un accord pour permettre le retrait des troupes américaines en Afghanistan après 18 ans d’intervention. «Les négociations ont commencé», a indiqué à l’AFP le porte-parole des talibans à Doha, Suhail Shaheen.
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Washington met les bouchées doubles afin d’arracher un accord politique avec les talibans avant l’élection présidentielle afghane, prévue le 1er septembre. «Nous avons fait beaucoup de progrès. Nous parlons», a assuré vendredi Trump aux journalistes.
En échange d’un désengagement militaire, les Etats-Unis exigent des talibans qu’ils s’engagent à un cessez-le-feu et coupent tout lien avec le groupe djihadiste Al-Qaïda.
Le 7 octobre 2001, moins d’un mois après les attentats du 11-Septembre aux Etats-Unis ayant fait près de 3.000 morts, Washington et ses alliés de l’Otan ont lancé une vaste opération militaire en Afghanistan.
«Nous visons un accord de paix, non pas un accord de retrait (des troupes): un accord de paix qui permettent le retrait», a rappelé vendredi sur Twitter Zalmay Khalilzad, l’émissaire américain pour l’Afghanistan, à son arrivée à Doha.
(france24 avec AFP)
Consultations commerciales sino-américaines: Livre Blanc
#GuerreCommerciale# Le 2 juin, à 10 heures de Beijing, le Bureau d’information du Conseil des Affaires d’État publie un livre blanc rappelant la position de la Chine dans les consultations commerciales sino-américaines, et tient une conférence de presse.
Le Pape François modifie “Anglicanorum coetibus”
Le Pape François a approuvé une version revue des normes complémentaires apportées à la constitution apostolique Anglicanorum coetibus signée par Benoît XVI le 4 novembre 2009, afin d’organiser l’entrée dans la pleine communion de l’Église catholique les laïcs et clercs anglicans qui le souhaitent, en préservant les éléments distinctifs de leur patrimoine spirituel et liturgique.
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Marie Duhamel – Cité du Vatican
Le Pape a approuvé, le 8 mars dernier, une nouvelle version des normes complémentaires de la Constitution apostolique, établies par la Congrégation pour la Doctrine de la foi, afin de régir la vie des ordinariats personnels chargés d’accueillir ces anglicans dans le respect de leur patrimoine spirituel et liturgique.
Dix ans après la promulgation d’Anglicanorum coetibus, «une mise à jour (était) nécessaire après un rodage temporel» explique L’Osservatore Romano, le journal officiel du Saint-Siège, qui annonce ce mardi la tenue d’un congrès international sur les dix ans de la Constitution en novembre prochain, à l’université pontificale Grégorienne de Rome.
Article IV sur les ordinaires
Dans l’article IV consacré à l’Ordinaire, il est désormais établi que celui-ci a la faculté d’incardiner dans son ordinariat des clercs anglicans entrés dans la pleine communion avec l’Église, en particulier «ceux qui furent déjà incardinés dans un diocèse en vertu de la Pastoral Provision (créée en 1980 aux États-Unis pour accueillir d’anciens prêtres anglicans mariés) ainsi que les candidats appartenant à son ordinariat et promus par ses soins aux Ordres Sacrés». Il est également souligné que les clercs souhaitant être incardinés dans son ordinariat doivent être détachés de leur diocèse d’origine.
Article V sur les fidèles
En ce qui concerne les fidèles des ordinariats dont traite l’article V, il est maintenant fait mention des personnes ayant été baptisées au sein d’une autre communauté en dehors de l’Église catholique. Si certains d’entre eux expriment le désir de s’unir à l’Église catholique grâce aux efforts et à la mission évangélisatrice de l’ordinariat, ils pourront être admis et appartenir à l’ordinariat «s’ils entrent dans la communion et reçoivent les sacrements de la confirmation et de l’Eucharistie». Cela s’applique également à ceux qui n’ont pas reçu un baptême valide, mais qui ont découvert la foi grâce à l’ordinariat.
Article X sur la formation du clergé
Une nouveauté également dans l’article X qui concerne le clergé. Auparavant, les candidats à la prêtrise pouvaient recevoir une formation sacerdotale selon «un programme particulier au sein d’un même séminaire ou d’une maison de formation spécifiquement érigée» pour garantir la transmission du patrimoine anglican. Désormais, il est dit que les séminaristes «recevront leur formation théologique avec les autres séminaristes dans un séminaire ou une faculté de théologie, en accord avec l’évêque diocésain ou les évêques concernés».
Il est également stipulé que la formation permanente des clercs doit être favorisée. L’ordinaire doit ainsi promouvoir leur participation aux rencontres locales organisées par la conférence épiscopale ou par l’évêque diocésain.
Article XV sur la célébration du Culte Divin
Avec cette mise à jour des normes complémentaires, un article sur le Culte divin fait son apparition. Dans l’article XV, il est établi que le missel spécifique des ordinariats personnels, appelé Divine Worship, préserve «la culte catholique et le digne patrimoine liturgique anglican, compris comme ce qui a alimenté la foi catholique dans toute l’histoire de la tradition anglicane et qui a poussé les aspirations à l’unité ecclésiale».
Retour aux origines, en 2009
Parce que le Pape «a reçu du Seigneur le mandat de garantir l’unité de l’épiscopat et de présider et protéger la communion universelle de toutes les Églises», Benoît XVI avait promulgué Anglicanorum coetibus le 4 novembre 2009, soucieux de répondre au souhait de certains groupes anglicans qui demandaient à être accueillis dans la pleine communion de l’Église catholique.
La Constitution apostolique offrait une norme générale pour régir l’institution et la vie des ordinariats personnels, chargés d’accueillir ces anglicans dans le respect de leur patrimoine spirituel et liturgique. Aujourd’hui, trois ordinariats personnels existent: celui de Notre-Dame de Walsingham en Angleterre, celui de la Cathédrale Saint-Pierre aux États-Unis et de Notre-Dame-de-la-Croix-du-Sud en Australie.
(source: vaticannews.va/fr)
L’Onu cassée par l’« exceptionnalisme » états-unien
Affaiblis par rapport à leurs compétiteurs russe et chinois, les États-Unis retrouvent leurs réflexes historiques. En matière de relations étrangères, ils abandonnent l’ordre libéral international et reviennent à la doctrine exceptionnaliste. En remettant en cause leur propre engagement au Conseil de sécurité, ils viennent d’ouvrir la voie à une déconstruction du Droit international et à la fin des Nations unies. Cette évolution, qui surprend les Européens de l’Ouest et les plonge dans le désarroi, avait été anticipée par la Russie et la Chine qui s’y préparaient.
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L’ancien ambassadeur à l’Onu du président Bush Jr. et actuel conseiller de sécurité nationale du président Trump, John Bolton, est opposé à un aspect particulier des Nations Unies. Il n’est pas question pour lui que quiconque puisse contraindre son pays sur quelque sujet que ce soit. Par conséquent, les cinq puissances membres permanentes du Conseil de sécurité de New York forment un directoire mondial qui dit le droit entre les nations… mais ne peut pas imposer aux États-Unis quoi que ce soit.
Cette opinion, l’« exceptionnalisme », a toujours été celle de Washington, même si le reste du monde ne s’en est pas encore rendu compte [1]. Elle réapparait aujourd’hui dans un contexte international particulier et va bouleverser le monde que nous connaissons.
L’« exceptionnalisme » états-unien se réfère au mythe des « Pères pèlerins » : des Puritains, persécutés en Angleterre où ils étaient perçus comme de dangereux fanatiques, se sont réfugiés aux Pays-Bas, puis aux Amériques où ils arrivèrent à bord du Mayflower (1620). Ils y édifièrent une société nouvelle, fondée sur la crainte de Dieu. Ce fut « la première nation démocratique », une « Lumière sur la colline », appelée à éclairer le monde. Les États-Unis sont donc à la fois un « exemple » pour les autres et ont une « mission », celle de convertir le monde à la Volonté Divine.
Bien sûr la réalité historique est très différente de cette narration, mais ce n’est pas le sujet.
Depuis deux siècles, tous les présidents des États-Unis, sans exception, se sont référés à cette falsification historique. En vertu de quoi,
ils négocient, signent et adoptent des traités tout en émettant des réserves afin de ne pas les appliquer en droit interne ;
ils préjugent qu’ils suivent la « Volonté de Dieu » tandis que leurs ennemis s’y refusent et donc les condamnent pour les mêmes faits avec plus de sévérité qu’eux-mêmes (double standard) ;
ils refusent toute juridiction internationale qui s’applique à leurs affaires intérieures.
Cette attitude porte à quiproquo, d’autant que les Européens sont persuadés être ouverts d’esprit alors qu’ils ne font aucun effort pour comprendre les particularités des autres.
Les Etats-Unis annoncent leur retrait du traité de désarmement avec la Russie, suivi par cette dernière
Les Etats-Unis sont sortis, dès samedi 2 février, du traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI) signé en 1987 par Ronald Reagan et Mikhaïl Gorbatchev. Le président russe Vladimir Poutine a annoncé samedi que son pays suspendait aussi sa participation au traité de désarmement nucléaire FNI en réponse à la suspension américaine entrée en vigueur le même jour.
L’administration Trump, soutenue par ses alliés de l’OTAN, avait confirmé cette décision lors d’une réunion ministérielle de l’Alliance atlantique à Bruxelles, en décembre 2018. D’ultimes négociations entre les diplomates américains et russes, menées à Genève puis à Pékin, n’ont permis aucun progrès, et, jeudi 31 janvier, Andrea Thompson, sous-secrétaire d’Etat au contrôle des armements, a confirmé la décision de Washington.
Les Etats-Unis accusent la Russie de violer les dispositions d’un texte bilatéral visant à l’élimination de tous les missiles de croisière et missiles balistiques lancés depuis le sol et ayant une portée se situant entre 500 et 5 500 km. Or, selon le Pentagone et l’OTAN, Moscou possède dans son arsenal le missile Novator 9M729 (ou SSC-8), qui serait en mesure de frapper des villes européennes. Moscou conteste, affirmant – sans en apporter la preuve – que la portée de cet armement est limitée à 480 km.
7 milliards de dollars d’actifs de la compagnie pétrolière nationale du Venezuela PDVSA ont été gelés par le Etats-Unis
Les Etats-Unis, qui tentent d’isoler le Venezuela sur la scène internationale, ont annoncé ce 28 janvier des sanctions contre la compagnie pétrolière nationale vénézuélienne PDVSA. 7 milliards de dollars de ses actifs ont été gelés.
Les Etats-Unis ont annoncé ce 28 janveir de nouvelles sanctions contre la compagnie pétrolière nationale vénézuélienne PDVSA. Washington a en effet décidé de lui interdire toute relation commerciale avec des entités américaines et a gelé dans le même temps ses avoirs à l’étranger, dont le montant est évalué à sept milliards de dollars. «Les Etats-Unis vont demander des comptes à ceux qui sont responsables du déclin tragique du Venezuela et nous continuerons à user de toute la panoplie d’outils économiques et diplomatiques pour soutenir le président par intérim [autoproclamé] Juan Guaido, l’Assemblée nationale et le peuple vénézuélien afin de restaurer leur démocratie», a prévenu le secrétaire américain au Trésor Steven Mnuchin lors d’une réunion organisée à la Maison Blanche.
Afghanistan: les pourparlers de paix Etats-Unis/talibans progressent
Les États-Unis et les talibans ont fait état samedi de « progrès importants » au bout d’une semaine de pourparlers de paix pour mettre fin à 17 années de guerre en Afghanistan, même s’ils butent toujours sur certains obstacles majeurs.
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Le représentant spécial des États-Unis pour la réconciliation en Afghanistan, Zalmay Khalilzad, s’est dit satisfait après six jours de dialogue au Qatar. « Les rencontres ici ont été plus productives qu’elles ne l’avaient été par le passé. Nous avons fait des progrès importants sur des enjeux cruciaux », a-t-il tweeté.
Interrogé par l’AFP, un haut gradé des talibans basé au Pakistan a partagé cet optimisme, assurant que les deux camps étaient « tombés d’accord sur des points majeurs ». « Nous avançons et nous avons déjà fait beaucoup de progrès », a-t-il ajouté.
Le ministre des Affaires étrangères du Qatar, cheikh Mohamed ben Abdulrahman Al-Thani, a également fait part de progrès accomplis: « Ces progrès sont une étape importante dans l’histoire de la paix et de la réconciliation en Afghanistan », a-t-il tweeté.
« Nouvelles encourageantes », a commenté le secrétaire d’État américain Mike Pompeo sur Twitter. « Les États-Unis s’impliquent pour trouver la paix, en empêchant l’Afghanistan d’être encore un refuge du terrorisme international et en ramenant nos soldats à la maison ».
Nucléaire nord-coréen : Donald Trump accepte une rencontre historique avec Kim Jong-un
C’est une rencontre considérée jusqu’ici comme improbable qui a été annoncée jeudi 8 mars à la Maison Blanche. Invité par Kim Jong-un, Donald Trump a accepté de rencontrer le dirigeant de la Corée du Nord d’ici la fin du mois de mai prochain. L’annonce a été faite dans la soirée par le conseiller sud-coréen à la Sécurité nationale, Chung Eui-yong, en visite à Washington pour présenter le message de Kim Jong-un.
Kim Jong-un « comprend que l’exercice militaire conjoint de routine entre la République de Corée et les États-Unis doit continuer et il a fait part de son désir de rencontrer le président Trump le plus vite possible », a annoncé le responsable sud-coréen. « Le président Trump a apprécié le compte-rendu et a dit qu’il rencontrerait Kim Jong-un d’ici fin mai pour parvenir à la dénucléarisation permanente », a-t-il ajouté.
« De grands progrès », selon Trump
Donald Trump n’a pas tardé à s’exprimer sur Twitter : « Kim Jong Un a discuté de dénucléarisation avec les représentants sud-coréens, pas seulement d’un gel » des activités nucléaires, a écrit le président américain. « Également, pas de tests de missiles de la Corée du Nord pendant cette période », c’est à dire pendant d’éventuelles négociations, a-t-il poursuivi. « De grands progrès ont été réalisés mais les sanctions demeurent jusqu’à ce qu’un accord soit trouvé. Rencontre prévue ! »
(france24)
La Cour suprême des États-Unis a validé la troisième version du décret migratoire de Trump
Bloqué à plusieurs reprises par les juges dans sa politique anti-migrants, le président américain, Donal Trump, a cette fois enregistré une victoire : la Cour suprême des États-Unis a validé le 4 décembre la troisième version de son décret migratoire, signée le 24 septembre et suspendue depuis le 17 octobre.
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Ce texte interdit de façon permanente aux ressortissants de sept pays (Yémen, Syrie, Libye, Iran, Somalie, Corée du Nord et Tchad), ainsi qu’aux responsables gouvernementaux vénézuéliens de franchir les frontières américaines, pour des raisons « de sécurité nationale ». Il était partiellement appliqué depuis novembre : seuls les étrangers qui pouvaient « démontrer une relation authentique avec une personne ou une entité aux États-Unis » pouvaient y poser le pied.
Lutte anti-terroriste en cause
Le Tchad, qui ne faisait pas partie de la liste établie lors du précédent décret, a été ajouté à celui du 24 septembre, les États-Unis invoquant des manquements à la sécurité et la présence de groupes terroristes sur le territoire. Washington reproche en outre à N’Djamena, pourtant considéré comme « un partenaire important et de valeur pour le contre-terrorisme », de ne pas « partager pas de manière adéquate les informations concernant la sécurité du public et le terrorisme ».
Une décision qui n’avait « pas de sens », avait réagi dans Jeune Afrique John Campbell, ancien ambassadeur des États-Unis au Nigeria et chargé de recherches sur les questions africaines au Council on Foreign Relations, tandis que la France avait exprimé sa « surprise » et l’Union africaine sa « perplexité ».
Une bataille juridique loin d’être terminée
Aux États-Unis, les réactions des organisations de défense des droits civiques et des réfugiés ne se sont pas faites attendre. Ainsi, Omar Jadwat, un responsable del’Union américaine pour les libertés civiles (Aclu) a dénoncé les « préjugés anti-musulmans du président Trump » et s’est engagée à « se battre pour la liberté, l’égalité et pour tous ceux qui sont injustement séparés de leurs proches », tandis que la responsable de l’International Refugee Assistance Project (IRAP), Mariko Hirose, a dénoncé « les conséquences dévastatrices de cette décision » pour de très nombreuses personnes et au-delà pour toute la communauté musulmane.
Mais la bataille est loin d’être finie. La mesure avait été suspendue le 17 octobre, la veille de son entrée en vigueur, par un juge de Hawaï. Celui-ci estimait que le texte peinait à démontrer en quoi l’entrée de plus de 150 millions de ressortissants étrangers des pays visés « nuirait aux intérêts des Etats-Unis ». Un juge du Maryland a également bloqué la mesure. La décision de la Cour suprême ne fait donc qu’autoriser le décret en attendant qu’une décision sur le fond ne soir rendue en appel devant diverses juridictions fédérales du pays. Et que, sans doute, la Cour suprême ne soit à nouveau saisie…
(Jeune Afrique)
Guerre de visas entre les Etats-Unis et la Turquie
La Turquie a annoncé hier dimanche 8 octobre 2017, arrêter de délivrer des visas à des Américains, hors visas d’immigration, après une décision similaire prise par Washington.
Cette suspension concerne toutes les demandes de visas de tourisme, de voyages professionnels.
L’ambassade américaine à Ankara a d’abord déclaré dimanche que les Etats-Unis ont décidé de suspendre la délivrance des visas depuis la Turquie.
En réponse à cette décision, la Turquie a annoncé une décision similaire, faisant copier-coller du communiqué américain.
« Les événements récents ont contraint le gouvernement turc à réévaluer l’engagement du gouvernement des Etats-Unis en faveur de la sécurité des installations et du personnel de la mission turque », poursuivait sur Twitter l’ambassade turque à Washington.
La décision de Washington intervient suite à l’arrestation d’un employé du consulat américain à Istanbul qui a été placé en détention provisoire accusé de liens avec le prédicateur exilé aux Etats-Unis Fethullah Gülen, désigné par Ankara comme le cerveau du coup d’Etat avorté de juillet 2016, source de tension persistante entre les deux pays.
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