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Reconnaissance de l’État de Palestine : Israël et les États-Unis fustigent la décision de la France

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La France va reconnaître l’État de Palestine en septembre à l’ONU, a annoncé jeudi le président Emmanuel Macron, espérant créer une dynamique collective en ce sens. Une décision aussitôt décriée par Israël comme une « récompense de la terreur » et « fermement » rejetée par les États-Unis.


Reconnaissance de la Palestine : « La solution à deux États est la seule solution (…) La solution à deux États par la reconnaissance de l’État de Palestine est devenue un engagement de la France », Laurent Saint-Martin, ministre chargé du Commerce extérieur et des Français de l’étranger.

« Ce qui se passe à Gaza est totalement insoutenable (…) La question est la suivante : est-ce que la France peut faire basculer par la reconnaissance de l’État de Palestine l’histoire et permettre un processus de paix durable, c’est ce que fait le président », ajoute-t-il.



Jerusalem: le Troisième TEMPLE sera-t-il reconstruit ?

Deux États, colonies, terrorisme… Quelle est la position officielle de la France sur le conflit israélo-palestinien ?

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Emmanuel Macron avec Benjamin Netanyahou lors de sa dernière visite en Israël, en octobre 2023. CHRISTOPHE ENA / AFP

FOCUS Emmanuel Macron a annoncé mercredi que la France pourrait reconnaître un État palestinien en juin. Jusqu’à maintenant, elle s’était contentée de promouvoir la solution à deux États, sans franchir le pas de la reconnaissance.

«On doit aller vers une reconnaissance et donc dans les prochains mois, on ira»Emmanuel Macron pourrait faire ce qu’aucun de ses prédécesseurs n’a jamais osé faire : reconnaître un État palestinien, et ce dès le mois de juin, à l’occasion d’une conférence avec l’Arabie saoudite à New York. «Notre objectif c’est, quelque part en juin, avec l’Arabie saoudite de présider cette conférence (sur la solution à deux États, NDLR) où on pourrait finaliser le mouvement de reconnaissance réciproque par plusieurs», a-t-il ajouté. «Je le ferai (…) parce que je pense qu’à un moment donné ce sera juste et parce que je veux aussi participer à une dynamique collective, qui doit permettre aussi à tous ceux qui défendent la Palestine de reconnaître à leur tour Israël, ce que plusieurs d’entre eux ne font pas», a-t-il poursuivi.

(…lire l’article)

Guerre en RDC – Conseil de Sécurité ONU : la MONUSCO au centre des débats entre les USA et le RWANDA

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RDC – Guerre dans l’Est : Une nouvelle réunion du Conseil de sécurité s’est tenue ce jeudi 27 mars au siège de l’ONU, où de nouvelles recommandations ont été faites par les é’Etats membres, participants, sur la situation sécuritaire dans l’Est de la RDC. Des interventions ont également concerné la MONUSCO.


République démocratique du Congo : conflit avec le Rwanda (réunion complète) | Conseil de sécurité

Et les îles Eparses ?

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Et ce sujet revient de nulle part. Depuis, on n’en parle plus ! On le croyait enterré quelque part. Sujet tabou, interdit ou fâcheux ?

Que de questionnements autour du sort réservé à ces joyaux baignant le Canal de Mozambique ! Cheval de bataille du candidat numéro treize durant la campagne présidentielle de 2018 qui a enthousiasmé l’audience, les îles Eparses furent quasi absentes en 2023. En tout cas, elles disparaissent de l’écran de radar des grands débats. Et même certaines formations politiques qui ont affiché leur engagement à la lutte pour la restitution de ces îles se taisent. La presse non plus n’a pas fait grand cas. Elle les a quelque peu oubliées. Sans parler de l’omission généralisée des candidats députés d’évoquer ce cas fâcheux.

Par miracle, le sujet réapparait ! Le 7 octobre 2024, la France, par la voix de son ambassadeur Arnaud Guillois, plaide pour la poursuite des discussions. Interrogé sur les îles Eparses, l’ambassadeur évoque la nécessité de continuer les débats. Une France égale à elle-même. Au moment où l’on n’en parle plus, elle le remet sur table. En 1958, quand les nationalistes se taisent, dix ans après la tuerie de 1947, De Gaulle leur « offre » l’autonomie ou l’indépendance. Lire la suite »

«C’est sans précédent dans l’histoire» : Israël interdit l’UNRWA et provoque un tollé international

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Une distribution d’aide humanitaire de l’UNRWA dans la bande de Gaza le 28 septembre 2024. Omar Ashtawy/apaimages/Imago/ABACAPRESS.COM

L’adoption inédite de deux lois entravant les activités de l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens met en jeu la vie de centaines de milliers de civils.

La première interdit toutes les activités de l’agence de l’ONU sur le territoire israélien, autrement dit dans la partie orientale de Jérusalem, qu’Israël a annexée. Le deuxième texte va entraver gravement le fonctionnement de l’UNRWA en multipliant les obstacles bureaucratiques et en bloquant, notamment, les transferts de fonds pour assurer les salaires et le paiement des fournitures.

Si cette interdiction est mise en œuvre, « c’est un désastre, notamment en raison de l’impact qu’elle aura probablement sur les opérations humanitaires à Gaza et dans plusieurs parties de la Cisjordanie », occupée par Israël, a déclaré à l’AFP Juliette Touma, la porte-parole de l’UNRWA. Elle rappelle que l’agence est « la principale responsable, (….) notamment en matière d’abris, de nourriture et de soins de santé de base ». Des actions essentielles dans l’enclave palestinienne de Gaza, dévastée par plus d’un an de bombardements israéliens, qui ont tué plus de 40.000 Palestiniens, selon le Hamas, dont au moins 223 membres du personnel de l’UNRWA.

(… lire les motivations d’Israël)

 

Guerre au Proche-Orient : les coups de boutoir d’Israël contre les Nations unies

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Le gouvernement de Benyamin Nétanyahou multiplie les attaques contre la Finul et l’UNRWA, l’agence pour les réfugiés palestiniens. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a été déclaré persona non grata sur le sol israélien.

Des troupes israéliennes patrouillent près d’une base de la Force intérimaire des Nations unies au Liban, dans la région de Naqoura, dans le sud du Liban, le 13 octobre 2024. MENAHEM KAHANA/AFP

Le message a le mérite d’être clair. Dimanche 13 octobre, deux chars israéliens ont enfoncé à l’aube le portail d’une base de la Finul, au Liban, et fait irruption, par la force, à l’intérieur d’une enceinte des Nations unies dans un contexte où les tirs israéliens ont déjà blessé cinq casques bleus de la force d’interposition, les jours précédents. Ce nouvel incident ajoute à la pression exercée par Israël pour obtenir le retrait du sud du Liban des forces des Nations unies. Pour forcer le trait, le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a enjoint, dans la même journée, aux casques bleus d’évacuer le sud du pays, où son armée est entrée le 1er octobre pour y combattre le Hezbollah. Adressant cette requête musclée au secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, déclaré persona non grata en Israël, le 2 octobre, M. Nétanyahou a menacé : « Votre refus d’évacuer les soldats de la Finul les a transformés en otages du Hezbollah. Cela met en danger leur vie comme celle de nos soldats. »

Toujours dans la journée de dimanche, l’armée israélienne a tenté de minimiser la portée de l’événement du matin à l’entrée de la base de la Finul, avançant que l’une de ses unités avait été prise sous le feu du Hezbollah, lors d’une attaque ayant fait une vingtaine de blessés parmi ses soldats, et que l’intrusion d’un char dans l’enceinte de la force des Nations unies relevait d’une manœuvre d’évacuation. Dans la soirée, Stéphane Dujarric, porte-parole d’Antonio Guterres, a rappelé que « les attaques contre des soldats du maintien de la paix sont une atteinte au droit international, y compris au droit humanitaire international. Elles peuvent constituer un crime de guerre ». Quarante pays contributeurs de la Finul ont appelé, dans une déclaration commune, à la protection des casques bleus au Liban.

Cela n’a en rien fait dévier la position israélienne, qui s’inscrit dans une charge plus large contre les Nations unies et les institutions de la justice internationale. Les attaques récurrentes de l’Etat hébreu visent à la fois la légitimité de l’ONU et son organe judiciaire, la Cour internationale de justice, mais aussi celle de la Cour pénale internationale, deux institutions qui mettent en cause des dirigeants israéliens, la manière dont est menée la guerre à Gaza et l’occupation israélienne des territoires palestiniens.

(source: lemonde.fr)

Blinken : Israël a un « problème réel et légitime » avec le Hezbollah, mais il doit être résolu par la diplomatie

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Le Secrétaire d’État américain affirme être en train de travailler avec des partenaires présents à l’Assemblée générale de l’ONU sur un plan de désescalade entre le Hezbollah et Israël

Le Secrétaire d’État américain Antony Blinken participe à une conférence de presse au palais Tahrir au Caire, en Égypte, le 18 septembre 2024. (Evelyn Hockstein/Pool Photo via AP)

Le Secrétaire d’État américain Antony Blinken estime que si Israël a un « problème réel et légitime » avec l’organisation terroriste Hezbollah, la question doit être résolue par la diplomatie plutôt que par la guerre.

« Israël a un problème réel et légitime », déclare Blinken à la chaîne de télévision NBC. « Après les terribles événements du 7 octobre perpétrés par le Hamas dans le sud d’Israël, le Hezbollah du Liban s’est joint à eux et a commencé à tirer des roquettes sur Israël ».

« Les habitants du nord d’Israël ont dû évacuer leurs maisons. Des villages ont été détruits, des maisons ont été détruites et 70 000 Israéliens ont été forcés de quitter leurs maisons, et Israël a commencé à riposter », explique-t-il à l’émission « Today ».

« Il y a eu un échange de tirs, les gens du Sud-Liban ont également dû quitter leurs maisons », ajoute-t-il. « Et ce que tout le monde veut, c’est un environnement sûr dans lequel les gens peuvent simplement rentrer chez eux, les enfants peuvent retourner à l’école. C’est ce que recherche Israël ».

« Le meilleur moyen d’y parvenir n’est pas la guerre, ni l’escalade, mais un accord diplomatique. Même si le problème est tout à fait légitime, nous ne pensons pas que la guerre soit la solution », ajoute-t-il.

Antony Blinken indique que les États-Unis travaillent avec des partenaires internationaux à l’Assemblée générale des Nations unies sur un plan de désescalade de la situation.

« Une guerre généralisée ne résoudrait pas le problème», a-t-il affirmé.
« Nous sommes favorables à une résolution du problème par la diplomatie et non par la guerre ».

(source: fr.timesofisrael.com)

Sommet de l’Avenir – Madagascar appelle à un multilatéralisme inclusif pour affronter les crises mondiales

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Lors du Sommet de l’Avenir qui s’est tenu hier à New York, sous le thème « Des solutions multilatérales pour un avenir meilleur », la ministre des Affaires Étrangères Rafaravavitafika Rasata a insisté sur l’urgence d’une réponse collective face aux crises globales.

Proposition

Devant un auditoire international, elle a souligné l’importance d’une coopération mondiale pour répondre aux défis tels que le changement climatique, les inégalités sociales, les conflits armés et les pandémies. Dans son discours, la ministre a mis l’accent sur la nécessité d’un multilatéralisme réinventé. Selon elle, « nous avons la responsabilité, et le devoir de repenser le multilatéralisme ». Elle a plaidé pour un système plus équitable et représentatif, notamment pour les pays en développement, soulignant que « les besoins des pays vulnérables, des pays insulaires comme Madagascar, doivent être mieux pris en compte ». Madagascar, particulièrement vulnérable aux effets du réchauffement climatique, a demandé un soutien accru des partenaires internationaux. Le financement de projets énergétiques durables, qui sont essentiels pour la compétitivité et la résilience des économies insulaires, a été au cœur des propositions avancées par la ministre. Elle a aussi insisté sur la nécessité d’investissements verts, en particulier pour répondre aux aspirations de la jeunesse malgache.

Population jeune

« Les jeunes de Madagascar veulent voir des actions concrètes et rapides pour un avenir durable », a souligné la Rasata Rafaravavitafika. Elle a rappelé que le pays est jeune, avec plus de 70% de sa population constituée de jeunes, et aspire à une politique publique qui inclut les questions climatiques et énergétiques. Madagascar espère ainsi que les projets de transition énergétique soient au centre des discussions internationales sur l’avenir. Madagascar a profité de ce sommet pour lancer une campagne nationale intitulée « Donnons la voix à l’avenir ». Cette initiative vise à donner une place centrale à la jeunesse dans les débats et les processus décisionnels. Une déclaration de la jeunesse malgache a été partagée, mettant en lumière leurs attentes, telles que l’inclusion dans les politiques publiques, l’accès aux processus décisionnels et la promotion de l’entrepreneuriat. Elle a conclu son intervention en citant le Président Andry Rajoelina : « L’Afrique n’est pas un problème. L’Afrique est la solution ». Elle a réaffirmé l’importance d’impliquer l’Afrique et sa jeunesse dans la recherche de solutions globales aux crises actuelles, soulignant que les jeunes représentent une force essentielle pour un avenir plus juste et durable.

(source: moov.mg)

 

Le Pape en Océanie, péril sur l’or bleu des îles du Pacifique

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Faiblement peuplées, les nations insulaires du Pacifique rejettent moins de 0,02% des émissions mondiales annuelles de gaz à effet de serre. Pourtant, cet ensemble d’îles volcaniques et d’atolls coralliens est victime en premier des effets du réchauffement planétaire. Une vulnérabilité que vient défendre le Pape dans la région lors de son 45e voyage apostolique, alors que la situation se fait de plus en pressante, alerte le Forum des îles du Pacifique qui vient de s’achever.

Jeunes militants pour le climat, en marge du 53e Forum des îles du Pacifique, à Nuku’alofa, capitale de l’archipel des Tonga, dans l’océan Pacifique sud, le 27 août 2024. (ANSA)

Delphine Allaire – Cité du Vatican

Dans les îles Tonga pour le 53e sommet des dirigeants du Forum des îles du Pacifique (FIP) jusqu’au 29 août, le secrétaire général de l’ONU a de nouveau interpellé la communauté internationale sur la détresse des petits États insulaires, déjà vulnérables et pourtant menacés en premier par l’élévation du niveau de la mer et le réchauffement de la température de l’eau. Précédant dans le Pacifique la venue du Pape François qui se rend dans un autre État océanien, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, voix de poids au sein du FIP (18 États), du 6 au 9 septembre, Antonio Guterres sera aussi reçu à Singapour le 1er septembre pour une visite officielle dont l’un des thèmes est la protection de l’environnement. Un sujet d’importance pour l’urbanisme et la durabilité de la cité-État du sud-est asiatique qui accueillera le Pape du 11 au 13 septembre prochain.

Des nations insulaires vulnérables

Outre cette convergence calendaire, le Saint-Siège et les Nations unies partagent de longue date une préoccupation climatique pour la vulnérabilité des îles du continent bleu. Les deux institutions plaident en effet au niveau multilatéral pour l’annulation de la dette de ces pays ainsi que pour une participation accrue des pays riches au financement de «fonds climatiques» pour dédommager les États du Pacifique et les aider dans leur adaptation. Dans certains cas, l’aide au développement a ainsi été substituée par une aide à l’adaptation au changement climatique. Des mesures saluées par l’observateur de la vie insulaire du Pacifique qu’est Tamatoa Bambridge, directeur de recherche au CNRS, rattaché au centre d’études insulaires et observatoire de l’environnement (Criobe) à Moorea en Polynésie française: «Toutes ces solutions sont cumulatives. Il n’y en a pas une qui exclut les autres. Au contraire, il faudrait allier plusieurs types de financements». Ces investissements réalisés à moyen et long-terme ont le défaut de ne pas être perçus immédiatement par les populations locales. Or, l’avenir est inquiétant pour ces habitants dispersés sur 35 millions de km2 à travers l’océan. Les ressources naturelles des lagons turquoise du Pacifique sont mises en péril à cause du réchauffement de l’eau, «une tendance longue accrue par l’impact anthropique», et des houles submersives liées aux cyclones. Un phénomène climatique de plus en plus fréquent, conduisant certaines îles à perdre de l’espace, d’autres à en gagner, observe Tamatoa Bambridge. Les îles du Pacifique sont en effet particulièrement exposées: l’altitude moyenne est d’un à deux mètres au-dessus du niveau de la mer, environ 90% de la population vit à moins de cinq kilomètres de la côte et la moitié de toutes les infrastructures se trouvent à moins de 500 mètres de la mer.

Les différentes facettes de l’adaptation climatique

L’adaptation climatique est la pièce maîtresse d’un tel contexte. «Sans elle, les fortes précipitations ou les grandes sécheresses, tout événement extrême va amener l’augmentation des maladies transmissibles ou non transmissibles, la diminution des réserves alimentaires, pour le moins la capacité à les cultiver ou à les extraire de l’océan», prévoit le chercheur polynésien. Lire la suite »

Atrikasa : Miomana sahady amin’ny mety ho ambana amin’ny fampiasana fitaovam-piadiana mahery vaika i Madagasikara

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Manatanteraka atrikasa miaraka amin’ny Filankevitry ny fiarovana eo anivon’ny Firenena mikambana mikasika ny fifanarahana momba ny fitaovam-piadiana biôlôjika ny Ministeran’ny Foloalindahy. Haharitra telo andro izany, izay hifarana ny alarobia izao. Tanjon’ity atrikasa ity ny ho fanamafisana ny fantanterahana ny « Résolution 1540 ».

Fitaovam-piadiana nokleary, simika ary biôlôjika

Nanaiky tao anatin’ny Firenena Mikambana i Madagasikara fa tsy hampiasa na hanaiky ny fampiasana ny fitaovam-piadiana nokleary, simika ary biôlôjika. Izany indrindra no voarakitr’ity « Résolution 1540 » ity. Etsy andaniny anefa dia anisan’ny firenena maro mpivezivezy eto Madagasikara ka mbola manano sarotra ny mety hiadiana amin’izany. Araka izany dia efa miomana sahady amin’izany isika eto Madagasikara amin’izao. « Na ho ela na ho haingana dia mety ho tafiditra eto amintsika ihany ireo. Tsy maintsy miomana mialoha isika ka izay indrindra no anton’ity atrikasa ity. Tsy hoe rehefa misy tranga vao mandray andraikitra fa mila atao mialoha izany », hoy ny Minisitry ny Foloalindahy, ny Jeneraly Sahivelo Lala Monja Delphin, nanatrika ny atrikasa androany. Manam-pahaizana avy amin’ny Firenena Mikambana no mizara ny traikefany amintsika eto Madagasikara. Ao anatin’izany ireo tafika Malagasy dia afaka manamafy ny fahaiza-manaony.

Manana drafitra roa

Anatin’io fehin-kevitra 1540 (2004) voalaza io, ny Filankevitry ny filaminana dia nanapa-kevitra fa : « Ny Firenena mpikambana rehetra dia tsy afaka manome fanohanana na inona na inona endriny, ho an’ireo mpisehatra tsy miankina amin’ny fanjakana manandrana mamolavola, manamboatra, mitazona, mitondra, mamindra na mampiasa nokleary simika na biolojika, na koa fitaovam-piadiana sy izay fomba hanatanterahana izany”. Ho an’ny Madagasikara manokana dia efa manana drafitra miisa roa isika manoloana izany olana izany. Ny iray tamin’ny taona 2019 ary ny iray efa andalam-pamaranana. Ny fanamafisana ny fandrafetana ireo drafitrasa nasionaly novolavolaina tamin’ny taona 2019 izay nohavaozina ho an’ny taona 2023 # 2026 no nampiharana azy ho antsika Malagasy. Niarahaba an’ny Madagasikara ihany koa ny avy ao amin’ny Firenena Mikambana, izay solointenan’i Josiane Yaguibou, izay Filohan’ny UNFPA eto, ny amin’ireo drafitrasa izay efa hananana ireo.

(source: moov.mg)